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Je m'intéresse à l'art sensuel à travers ses différentes productions artistiques.

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Le saviez vous ?!

Vendredi 15 décembre 5 15 /12 /Déc 17:23

Une toison sans fausse honte.

Retour et "fin" sur le sujet d'il y a 10 jours.

La toison pubienne féminine a de quoi être fière: contrairement à la toison pubienne masculine, elle s'est avérée une source intarissable de discussions au fil des siècles et elle est encore aujourd'hui à la base d'avis opposés. Couvrir – pas couvrir, mais raser – pas raser, car utile – inutile, mais décorative – à négliger, sale – hygiénique… Il était grand temps de parler de la toison pubienne sans la moindre fausse honte.

Les poils pubiens apparaissent chez la jeune fille vers l'âge de 11 à 12 ans. Au fil des deux années suivantes, ils s'épaississent et prennent une couleur plus foncée. Vers la quatorzième année, la quantité augmente et la toison prend la forme triangulaire bien connue sur le mont de Vénus. Lorsque la jeune fille atteint l'âge d'environ 15 ans, la toison pubienne est "adulte": sa croissance est achevée et elle a pris sa forme définitive. Des recherches démontrent que les jeunes filles considèrent cette évolution comme étant tout sauf agréable. Là où l'on apercevait auparavant la petite "fente" lisse, nue, apparaît brusquement une touffe de poils perçue comme étant "animale" et "masculine"… et tombe alors la question inévitable : "maman, papa, à quoi sert cette toison ?”

Trois réponses plausibles peuvent être données. Premièrement, l'apparition de la toison pubienne serait un signe extérieur de la maturité sexuelle. A l'époque préhistorique, où tout le monde vivait nu, la toison pubienne permettait à la jeune fille de faire savoir qu'elle était physiquement prête pour les contacts sexuels. Le fait que la croissance de la toison pubienne soit achevée vers l'âge de 15 ans semble soutenir cette hypothèse. Quinze ans est en effet l'âge moyen du début de l'ovulation, l'âge où la jeune femme a la possibilité biologique de se reproduire. L'absence des poils pubiens aurait alors rempli la fonction d'un feu rouge pour les appétits sexuels de nos ancêtres masculins, tandis que la présence de la toison pubienne faisait passer le feu au vert.

En second lieu, la toison pubienne est un séducteur odorant. Dans la partie pubienne du corps se trouvent des glandes cutanées, qui dégagent des substances odorantes particulières, appelées phéromones. Inconsciemment, les hommes adultes percevraient ces odeurs comme étant sexuellement excitantes et attractives. Compte tenu du fait que ces phéromones persisteraient mieux dans la toison pubienne que sur la peau lisse, cette touffe de poils remplirait un rôle de séducteur odorant.

Troisièmement, la toison pubienne ferait office de tampon chez la femme afin de protéger le mont de Vénus de dommages éventuels en cas de contacts sexuels violents. Même si cette fonction est souvent citée, elle paraît peu vraisemblable: avez-vous déjà entendu des femmes au pubis rasé se plaindre de douleurs insupportables lorsqu'elles font l'amour ?
 

Extrait de: Desmond Morris, La femme nue. Une étude du corps féminin, MOM, 2005, ISBN 90 269 6574

Par Maxime - Publié dans : Le saviez vous ?!
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Mardi 12 décembre 2 12 /12 /Déc 18:00

Aujourd'hui a été un jour d'expérience nouvelle...

Il avait en stock depuis quelques semaines, une paire de boules de Geisha qui n'avaient jamais été utilisées ... Dommage non ? Alors un ami  a essayé ! Et bien oui ! Pourquoi seules les dames bénéficieraient-elles d'introductions en tout genre et pas nous les hommes ?!. Il raconte  :

Ce matin, un peu avant de partir au boulot, je m'allonge sur mon lit et enduit largement de gel l'objet : deux oeufs en plastique bleu et dure, reliés par une petite ficelle. A l'intérieur de chaque coquille rigide, une lourde bille (d'acier ? de verre ?) circule librement et se "balade" à chaque mouvement, venant frapper la coquille pour produire des ondes de choc que l'on dit délicieuses ... On verra bien !

Je pose le premier oeuf sur mon anus un peu contracté, le masse lentement de la pointe et laisse le sphincter se détendre peu à peu. Le premier anneau brun s'écarte lentement et laisse pénétrer la pointe de l'objet. Je me détends encore et pousse la chose plus avant. La partie la plus large de la boule écartèle lentement le second sphincter qui "grogne" un peu et se relâche brutalement pour avaler d'un seul coup l'instrument ovoïde...

Et d'un ! La sensation est un peu bizarre mais pas désagréable ! Il faut dire que cette partie de l'anatomie humaine est fortement innervée. Bien plus en tout cas qu'un vagin (eh oui !).

Je pousse le second projectile dans mon fondement, il cogne un peu sur le précédent, le repousse et s'engouffre dans mon rectum alangui. Je rattrape la ficelle un peu en catastrophe, craignant que tout disparaisse à l'intérieur. Mais non ! La chose est bien étudiée, et la ficelle dépasse de dix bons centimètres (très "classe" !!!).

Je renfile mon pantalon et marche un peu. Je sens en effet très bien les chocs des billes d'acier sur les coquilles. Cela me résonne dans tout le bassin jusqu'au milieu du dos !

Plus gênant, le silence étant parfait, j'entends très distinctement le bruit de ces chocs ! J’espère au moins que, dehors, la rumeur de la ville couvrira facilement tout ça !

Je descends les escaliers pour démarrer la voiture et filer au boulot.

Inutile de préciser que dans les escaliers (je n'ai surtout pas pris l'ascenseur) c'est un délice ! En courant c'est encore mieux : les boules cognent alternativement en haut puis en bas en cadence, whaou !

Dans la voiture ce n'est pas mal non plus. Bon sur l'autoroute : nul. Par contre, sur la petite route un peu chaotique qui mène à mon employeur, c'est beaucoup mieux !

Je rentre, salut mon patron, mon équipe et m'installe à mon bureau. Je sens très bien les deux boules dilater mon rectum et les billes se promener au moindre mouvement de ma chaise !

Mais au bout d'une heure, la sensation s'estompe. Je me lève pour faire le point sur un dossier avec l'une de mes jeunes collaboratrices ... En marchant vers elle je sens le massage profond des oeufs magiques enfouis en moi. Je bande à moitié depuis prés de deux heures ! J'espère que rien ne se remarque ! Mais surtout j'ai un mal fou à me concentrer : je ne pesnes qu'à ça !

Le tableau que nous offrons me fait presque éclater de rire ! Elle, sérieuse mignonne et attentive en train de me faire le point sur son dossier, et moi debout à côté d'elle, sodomisé par un engin en plastique qui remue sans cesse et imaginant des tas de choses avec elle !

Surtout ne pas rire !

Je rentre rapidement dans mon bureau et me relâche un peu.

La sensation s'estompe encore un peu.

J'en profite pour contracter mes sphincters à la recherche de sensations. Je sens bien, à chaque contraction, les oeufs remonter d'un cm ou deux et redescendre au relâchement.

Excellent exercice !

Bref, il est midi et je rentre chez moi. J’ôte la chose avec un brin de déception, je pensais que les sensations seraient plus fortes et plus durables.

et là j'aurais quelques questions à vous poser :

- messieurs : qui a essayé et pourrait me décrire son ressenti ?

- mesdames : qui aurait essayé de ce côté et également de l'autre ? Il parait que certaines femmes ne peuvent plus marcher au bout de quelques minutes et se tordent de jouissance à chaque pas ... Vu mon expérience de ce jour, j'en doute un petit peu. C’est assez bon au début mais delà à défaillir tous les 5 mètres …

Vos avis ?

Par Maxime - Publié dans : Le saviez vous ?!
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Mardi 28 novembre 2 28 /11 /Nov 16:38

Il était une fois...La toison pubienne.

Le Brésilien, le sphinx, le cœur, la piste d'atterrissage, la coupe Playboy, la moustache,… ce ne sont que quelques exemples des tendances les plus à la mode dans les salons de coiffure pubiens du vingt et unième siècle. Nous devrons hélas décevoir les femmes parmi vous qui pensent être la figure de proue de la femme moderne parce qu'elles rasent leurs poils pubiens. L'élimination de la toison pubienne a écrit sa propre histoire depuis très longtemps.

L'élimination de la toison pubienne remonterait aux Egyptiens. Les femmes égyptiennes n'étaient pas très heureuses de ses toisons et en éliminaient la moindre trace à l'aide d'une "cire", un mélange poisseux de miel et d'huile.

Ce "voile de la nature" était aussi un obstacle indésirable pour les Grecs de l'Antiquité. L'épilation était la règle sous la devise que ce qui est caché peut être vu. Trois méthodes étaient utilisées à cet effet: l'extraction des poils, un par un, le brûlage de la toison à l'aide d'une bougie ou le brûlage des poils au moyen de cendre… brrr, à vous de choisir, mesdames !

Les romains auraient également été d'ardents défenseurs de l'épilation. Tout comme les Grecques, les Romaines reconnaissaient l'extraction des poils comme étant une technique efficace, mais elles utilisaient à cet effet un instrument spécial, la "volsella", à savoir la pincette actuelle. Elles appliquaient en outre des crèmes dépilatoires ou une forme de cire à base de poix ou de résine.

Pour les femmes turques du seizième siècle, le fait de laisser pousser la toison pubienne était paraît-il considéré comme un péché. Les bains publics comptaient dès lors des salles spéciales pour l'épilation de la région pubienne.

 

A l'époque victorienne, la toison pubienne était déjà un tabou en soi, à plus forte raison son épilation. Ce n'est qu'après la libération sexuelle des années soixante que l'épilation est à nouveau devenue un phénomène de mode. Au cours des années soixante dix, les années du féminisme, le triangle naturel a été rétabli dans toute sa gloire et la rectification de la toison est redevenue un "faux pas".

Cette tendance a pourtant connu un nouvel essor à la fin du vingtième siècle, sous l'influence de la nouvelle mode en matière de tenues de plage. Peu à peu, la ligne de base du maillot est remontée afin de créer l'illusion d'avoir de plus longues jambes. Cette évolution faisait apparaître de-ci de-là quelques poils pubiens audacieux, un phénomène évidemment considéré comme étant indésirable. Ces "ornements" ont donc été éliminés afin de masquer ce qui se cachait effectivement sous ce bout de tissu. Cette évolution a donné le signal de départ d'une réduction toujours plus prononcée de la toison pubienne, jusqu'à ce que… il n'en subsiste rien, tout comme c'était le cas pour les Egyptiennes, les Romaines et les Grecques de l'Antiquité… et c'est ce que nous appelons un phénomène nouveau, moderne, "in" et uniquement adapté à la mode d'aujourd'hui.

Extrait de: Desmond Morris, La femme nue. Une étude du corps féminin, MOM, 2005, ISBN 90 269 6574 5

Par Maxime - Publié dans : Le saviez vous ?!
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