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Je m'intéresse à l'art sensuel à travers ses différentes productions artistiques.
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C'était en 1962, Colette Renard devançait Gainsbourg en chantant l'amour des corps ... Ecoutez, c'est surprenant pour l'époque !
Les changements dans les pratiques sexuelles seraient responsables de l'augmentation nette des cancers de la cavité buccale, selon des chercheurs.
Les cancers de la cavité buccale augmentent nettement depuis une trentaine d'année en raison d'infection de papillomavirus transmis sexuellement lors de rapports bucco-génitaux, signe d'un changement des pratiques sexuelles, selon des travaux parus mercredi.
"Plusieurs recherches montrent un accroissement de la fréquence des cancers oropharyngés avec une proportion croissante de ces tumeurs résultant d'une infection de papillomavirus humains chez des sujets devenus sexuellement actifs très jeunes et ayant eu de multiples partenaires", écrivent les auteurs de cette recherche.
"Les causes possibles de cette augmentation font l'objet de nombreuses discussions mais les changements de pratiques sexuelles ces dernières décennies à savoir l'accroissement des relations bucco-génitales et du nombre de partenaires" paraissent être les principales raisons, soulignent-ils dans cette communication publiée par les Centres fédéraux américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC).
Ils citent également une petite étude menée auprès d'étudiants américains selon laquelle "embrasser avec la langue" pourrait aussi être liée à ces cancers.
"Nous observons ainsi une lente épidémie de cancers de la voie buccale, aux Etats-Unis et dans des pays d'Europe du nord, provoqués par des papillomavirus transmis sexuellement", ajoutent-ils.
Ce constat a conduit le Centre international de recherche sur le cancer à reconnaître ces papillomavirus comme un facteur de risque des cancers oropharyngés en plus du tabagisme et de la consommation d'alcool, les causes traditionnelles.
Ces virus étaient jusqu'alors connus pour être responsables de la plupart des cas de cancer du col de l'utérus contre lequel il existe désormais deux vaccins efficaces chez les jeunes filles avant qu'elles ne deviennent sexuellement actives.
"La possibilité que nous soyons confrontés à une épidémie de cancers de la voie buccale résultant d'infections avec des papillomavirus exige toute l'attention", jugent le Dr Torbjörn Ramqvist, professeur au Karolinska Institutet en Suède, coauteur de cette étude.
Exemple de cette épidémie, à Stockholm, l'incidence de cancer de l'amydale résultant d'une infection de papillomavirus a été multipliée par sept en trente ans.
Les cancers oropharyngés provoqués par une telle infection représentent désormais le tiers des cancers de la cavité buccale diagnostiqués chaque année en Suède.
Si cette tendance se poursuit, ces tumeurs buccales transmises sexuellement compteront pour la moitié des cancers oropharyngés en Suède et probablement aussi aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne et aux Pays-Bas entre autres, estiment ces chercheurs.
Les différentes études analysées révèlent que le pronostic de survie est meilleure pour un cancer de la cavité buccale résultant d'une infection de papillomavirus que ceux provoqués par le tabac et l'alcool.
Les chances de survie pour les cancers oropharyngés sont de 25% cinq ans après le diagnostic.
Le cancer de l'amydale et de la base de la langue représentent 90% des cancers de la cavité buccale.
(source AFP)
Les premières traces de l'acomoclitisme se trouvent chez les Égyptiens (même si les premières pinces a épiler se trouvent dans des tombes préhistoriques). Le pharaon Ramsès II imposait l'épilation intégrale à son harem. Les prêtres et prêtresses étaient également fréquemment épilés en signe de pureté.
Il est très difficile de déterminer laquelle, de l'attirance sexuelle ou de la pratique, est née en premier.
Dans le monde gréco-romain, l'épilation était d'usage et considérée comme allant de soi. Dans les religions musulmane et judaïque l'épilation intime est parfois pratiquée dans certaines régions.
En Europe, l’épilation, courante à certaines époques du Moyen Âge, est devenue plus rare à la suite principalement de deux événements :
Plus récemment, les mouvements féministes de la fin des années 1960 s'opposaient à l'épilation.
À la fin des années 1990, le monde occidental redécouvre l'acomoclitisme.
Plus récemment, les naturistes se sont mis également à s'épiler. Ceux qui le font sont appelés des "Smoothie". Mais un Smoothie est une boisson réalisée à partir d'ingrédients frais et naturels tels que des fruits, des légumes mixés et de jus. Jus d'orange, de pamplemousse, de citron… Sans ces jus, le smoothie ne serait qu'une vague purée ou panade de fruit.
Qu'on se le dise : l'éjaculation n'est plus réservée aux hommes !
Alors que le phénomène a longtemps fait l'objet de vives controverses, il semble aujourd'hui admis que certaines femmes « éjaculent » au moment de l'orgasme. On leur a même donné un nom : « les femmes fontaines ».
Réaction souvent déroutante pour elles comme pour leurs partenaires, l'orgasme s'accompagne chez certaines femmes de l'émission d'un liquide. Mais d'où vient cette substance ?
Simple : les femmes auraient également une « prostate » !
En 1950, Ernest Gräfenberg décrit une zone anatomique située sur la face antérieure du vagin : c'est
le fameux point G. Selon lui, c'est cette zone qui gonfle et produit un liquide lors de l'orgasme. Mais des travaux plus récents permettent de mieux comprendre ce phénomène.
Pour le Docteur Zaviacic qui étudie cette question depuis de nombreuses années, les femmes auraient une prostate. Ce chercheur a en effet démontré que les tissus des petites glandes qui se
trouvent entre le vagin et l'urètre et autour de l'urètre (appellées les glandes de Skène ou glandes para-urétrales) étaient similaires à ceux de la prostate de l'homme. Et qu'elles produisaient
comme chez l'homme, une substance fabriquée naturellement par la prostate, un antigène prostatique spécifique autrement appelé PSA. Devant tant de similitudes, le Docteur Zaviacic propose de
rebaptiser les glandes de Skène : « prostate féminine » !. Cette prostate féminine correspond anatomiquement au point G.
Le schéma ci dessous permet de mieux
situer la position interne de ces glandes.
Les 2 photos qui suivent (rares) permettent de voir parfaitement les 3 orifices des canaux excréteurs des glandes de Skène :
Ci dessous surtout on voit trés bien (c'est assez rare) les 3 canaux de "sortie" des glandes de Skene autours de l'urètre :
La prostate féminine serait la source de la « fontaine » ?
Le problème de l'éjaculat féminin n'est pas pour autant réglé. Où est-il sécrété ? En effet si la femme a une prostate celle-ci pèse moins de 5 g (chez l'homme la prostate pèse 15 à 25 g). Cette petite prostate ne pourrait donc excréter que quelques gouttes de liquide… Ou bien lors de l'excitation cette glande devrait se gonfler particulièrement… Espérons que les recherches en cours nous éclaireront sur ce sujet !
L'éjaculat est décrit comme inodore, de goût neutre et liquide comme de l'eau. La quantité varie de quelques gouttes à 50 ml. Il ne tache pas le drap. Pendant longtemps aux Etats unis, on a opéré des femmes pour incontinence urinaire pendant l'orgasme, maintenant elles seraient diagnostiquées comme des "femmes fontaines".
Toutes les femmes sont-elles « Femme fontaine » ?
Sans doute, mais cette dénomination est surtout appliqué lorsqu'une grande quantité de liquide s'échappe lors de l'orgasme. Le docteur Cabello Santa Maria qui a travaillé sur ce phénomène, indique que 75 % des femmes étudiées par son équipe expulsent un liquide lors de l'orgasme. Mais la sécrétion est souvent insuffisante pour être perçue. Ses expérimentations ont permis de mettre en évidence que les sécrétions des glandes de Skène (ou prostate féminine) entrent dans la composition de la lubrification vaginale, un phénomène jusqu'ici méconnu.
Dans une enquête faite auprès d'un grand échantillon de femmes travaillant dans le milieu de la santé, 39,5 % affirmaient ressentir une éjaculation au moment de l'orgasme.
Autrefois, avant la découverte de l'ovulation, on pensait que la femme comme l'homme avait une "semence" qui s'évacuait lors de l'orgasme, semence indispensable à la mise en route d'un bébé. Peut-être que cette croyance s'appuyait sur ce vécu. Le Kamasutra évoque également l'éjaculation féminine.
Nous ne faisons que redécouvrir un phénomène déjà connu. Mais nous n'en comprenons pas encore toute sa physiologie.
Sources :
1 - Zaviacic M, Ablin RJ. The female prostate and prostate-specific antigen.
Immunohistochemical localization, implications of this prostate marker
in women and reasons for using the term "prostate" in the human female.
Histol Histopathol 2000 Jan;15(1):131-142
2 - Cabello Santa Maria Paco, communication au XVème congrès mondial
de sexologie, Paris, juin 2001
3 - Darling, C. A., Davidson J. K. and Conway-Welch C.,1990, Female
ejaculation : perceived origins, the Gräfenberg spot/area, and sexual
responsiveness, Archives of sexual behavior, vol.19, n°1, p. 29-47
4- Dr Agnès Mocquard
Un orgasme ça va, 300 orgasmes par jour... Bonjour les dégâts. Aprés la célébration de la journée mondiale de l'orgasme (Global Orgasm For Peace), un événement pacifique censé nous protéger des guerres grâce aux ondes positives du plaisir - et fixé au 22 décembre, un petit groupe de filles sur terre aimerait enfin arrêter de jouir en permanence.
Leur problème ?
Une maladie rare connue sous le nom de
«syndrome de l'excitation continue» ou PSAS pour « Persistent Sexual Arousal Syndrome ».
Par un étonnant sort de la nature, ces filles vivent en continu dans un état pré-orgasmique, qui peut les conduire à jouir plusieurs centaines de fois par jour sans
aucune caresse ni relation sexuelle. Une secousse en voiture ou en train ? Elles jouissent.
Un portable qui vibre dans la poche ? Elles décollent...
Une séance d'essayage dans une boutique ? Elles ne ressortent plus du vestiaire.
Au Japon, la star nationale du manga Akira Narita, considéré comme un dieu vivant pour ses 1000 conquêtes sexuelles, s'est récemment exprimé sur cette maladie, encore taboue pour le grand public
: « J'ai connu une quinzaine de filles qui jouissaient toutes seules parce que je les regardais dans les yeux. Parfois, le simple fait de leur prendre les mains pouvait les faire partir à la
renverse. » On peine à y croire, tant le phénomène semble incompréhensible. Surtout dans une époque où l'anorgasmie fait la fortune des sexologues et des thérapeutes.
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