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Je m'intéresse à l'art sensuel à travers ses différentes productions artistiques.

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Mardi 20 juin 2 20 /06 /Juin 21:35
 
Marlène 5 : Fouille au corps
 

Ce samedi matin, j’allais faire un tour en ville, tout simplement, enfin je le pensais …

J’adore bien m’habiller, mais aujourd’hui je resterai à l’aise pour marcher en ville.

J’ôte ma chemise de nuit encore nimbée de mon odeur. En la faisant voler par-dessus le canapé, j’accroche du coin de l’œil mon profil que me renvoi le grand miroir du salon. Ma peau est blanche comme du marbre et mes épaules sont couvertes d’un fin crin blond. Je baise un peu les yeux et admire un instant ma poitrine ronde et ferme. Mes seins sont bien ronds et leur aréole est d’une très grande sensibilité. Il ne faut pas grand chose pour les voir se dresser fièrement et toiser celui ou celle qui les admire avant de les déguster du bout de la langue (j’adore ! …). Plus bas, mon nombril brille de la pierre verte qui le transperce délicatement. Ce piercing m’a été offert par mon amant en titre l’an passé. Mon regard poursuit sa route et s’arrête, attendri, sur la courbe de mon ventre plat qui s’enfonce entre mes cuisses musclées. Je fais beaucoup de sport et pas mal de danse, ce qui me permet parfois des positions pour le moins acrobatiques et me procure une réputation locale bien méritée ! En me retournant, je ne peux m’empêcher de flatter du regard mon postérieur : ses deux globes parfaits sont d’une rondeur exquise, le profond sillon obscur qui les sépare est encore marqué d’un minuscule triangle encore plus pâle, témoin de la marque de mon mini-string pour plage non-naturiste, on ne peut pas rester libre et nue partout !. Il se prolonge par une paire  de longues jambes aux contours forgés par l’effort. J’aime les mettre en valeur par de beaux talons hauts qui font toujours saillir mes mollets et me cambrent magnifiquement les reins.

Mais ce matin, non, je mets un simple jean par-dessus un sage string d’un blanc immaculé, vu la fraîcheur de l’hiver je rajoute une paire de bas et descends me perdre dans les ruelles de Grenoble …

Je me suis vite retrouvée au milieu du joyeux brouhaha d’une manifestation. Pour qui, pour quoi ? Je ne sais plus, mais l’ambiance étant sympathique et bon-enfant, je suis restée à écouter les slogans et à déambuler avec eux.

Soudain des bruits de vitrine que l’on brise … des cris … des sirènes et … la police qui se déploie …

Me voila embarquée ! Cette manif était pourtant bon enfant, mais comme souvent des gens en ont profités pour casser. Et pas une vitrine de bar : une bijouterie ! Avec ma chance habituelle j'étais ou il ne faut pas et me suis fait embarquer.

Le panier à salade: nous étions compressés la-dedans, et les flics ne nous ont pas  ménagés. Puis le commissariat, les menottes,  la cellule, où nous sommes restés au moins deux heures… et puis  on nous a changés d'endroit et j'ai été mise dans une cellule a part.

Personne ne m'a rien  demandé, pas de vérification d'identité qui m'aurait permis de me justifier et sans aucun doute
de me libérer.
Apres une longue attente, deux « policières » sont entrées. Il y avait une blonde plantureuse et très blanche et une métis sèche et toute petite. La blonde avait l'air  sympa et j'ai essayé d’expliquer que je n’y étais pour rien, qu’il s’agissait d’un simple malentendu. J'ai demandé à partir.
-Tes explications, tu les gardes pour le commissaire, nous on est chargées de faire une fouille complète. Lève toi et laisse nous faire notre travail. Moins tu feras de problèmes, mieux ce sera pour toi ! OK ?!
Résignée, je me suis levée et la blonde s’est approchée de moi et a commencé à me palper les  vêtements. Elle m'avait fait mettre debout, les bras levés. Ses mains ont parcouru mon corps,  retourné les poches de mon jean. Puis elle m'a palpé au niveau de la poitrine un instant avant de me  donner l'ordre de quitter mon chemisier et d'enlever mon soutien-gorge, pour fouiller l'armature m'a  t-elle dit. Elle a ouvert les menottes et j'ai obéi sans discuter et me suis mise torse-nue comme elle l'avait exigé : la métis  suivait tous mes gestes avec minutie, en retrait devant la porte refermée derrière elle. Je lui ai  tendu mon soutien-gorge mais j'avais mis mes mains instinctivement sur mes seins, ce que n’a pas eu l'air
d'apprécier ma surveillante qui m'a ordonné sèchement de me tourner et de mettre mes mains sur  le mur, en me penchant en avant, jambes écartées. Les menottes se sont de nouveau refermées sur mes poignets douloureux  puis ont été également suspendues à un crochet présent sur le mur. J'ai obéit sans discuter et me suis mise en position, comme au cinéma, ma poitrine libre et légèrement pendante à cause de l'inclinaison de mon buste.

Je me rendais bien compte du ridicule de la situation : moi, là, appuyée et attachée au mur à moitié nue et ces deux rombières qui manifestement prenaient plaisir à m’humilier. La blonde plantureuse a posé mon soutien-gorge, elle est venue derrière moi et a continué son travail de fouille en tâtant chaque jambe par-dessus mon  jean. Ses mains enserraient mes cuisses au niveau du genou puis elles sont remontées jusqu'a mon entre-jambes, appuyant au passage sur mon pubis, ce qui me fit sursauter. Puis elles sont redescendues, ont palpé les chevilles, elle m'a fait lever une jambe, puis l'autre. J'ai été déchaussée et mes chaussures visitées.  Elle a essayé de quitter mes chaussettes, mais je portais des collants sous mon jean. Chaque  jambe a été minutieusement palpée, jusqu'au bout des pieds. Elle s'est relevée et a dit à sa  collègue qu'elle ne pouvait pas vérifier entre mes orteils à cause des collants.
- Quitte-lui son jean et ses collants ! Aboya la métis dans un rictus.
Révoltée par ces attouchements, je me suis redressée et leur ai dit d'arrêter, que c'était insultant  pour moi et dégradant :

- Je vais le quitter moi-même ce pantalon et comme ça vous verrez que je n'ai rien piqué !.
La surveillante m'a ordonné de me remettre dans la position de fouille et en me menaçant avec la  matraque et de les laisser faire leur travail. Elle m'a envoyé un coup sur les fesses sans l'appuyer.
Je me suis remise en position sans discuter.
La fouilleuse a déboutonné mon jean et a essayé de me le quitter. Comme il était serré, elle  a eu du mal et je n'osais pas l'aider. Je gardais mes mains menottées sur le mur. Elle a enfin réussi, mais  tout est venu : jean, collant et string ! J’étais devenue toute rouge de honte et la peur commençait à me gagner. Mais que voulaient-elles à la fin ?
Elle a beaucoup travaillé pour passer l'obstacle de mes fesses et je sentais ses mains sur ma peau, ses doigts frôlaient mon intimité ou se promenaient sur mes fesses pour tirer sur les vêtements.
Il a fallu que je ramène mes jambes pour lui permettre de descendre complètement mon pantalon et mes dessous.  Mais sitôt l'opération terminée, j'ai reçu l'ordre de reprendre la position, mais en me penchant davantage.

- Mais pourquoi faire bon sang ?!!!

- Tais-toi, ont fait notre travail ! Me suis-je vu répondre.
Un coup au niveau de la cheville droite, pour que je l’écarte davantage, un coup sur l’autre, voyant ma souplesse elle donna  encore un coup supplémentaire. Je me maudissais presque d’avoir fait tant de danse et de leur donner ce spectacle d’une belle blonde aux jambes très largement écartées et au sexe ouvert. Elles fouillaient méthodiquement les vêtements, les ourlets, elles ont retourné mes collants et chiffonné mon petit string transparent, en me laissant dans cette position infamante.  Mes vêtements abandonnés par-terre, j'ai reçu un léger coup sur le creux des reins avec l'ordre de me cambrer davantage. J’obtempérais.

Elles avaient maintenant une vue dégagée sur toute mon intimité. Je ne pouvais rien faire. Cuisse écartée je sentais confusément  leurs regards s’attarder sur mon dos, descendre sur mes fesses rondes et bien fermes. La position ne faisait que mieux faire saillir ma croupe dont j’étais, je le reconnais, assez fière, mais ce n’était pas le moment !  La  position devait laisser voir mon anus sombre, étroit et bien épilé qui se prolongeait par un bref intervalle de peau ultra sensible et plongeait rapidement sur mes petites lèvres glabres, fines et largement saillantes. Je sentais d’ailleurs l’air frais s’engouffrer entre elles au bord de mon vagin béant. Plus haut elles allaient débusquer un bouton d’amour tout en rondeur, proéminent à souhait et délicatement rosé. Elles découvriraient  alors l’extraordinaire protubérance de mon pubis épilé de frais, fendu comme une belle pêche d’un long et profond sillon de chair tendre et rosée… Rien, non rien ne me protégeait plus et je regrettais amèrement de m’être rendue ce matin chez Cécile, ma copine esthéticienne, dont la remplaçante m’avait convaincue de faire une « totale ».

Sans se presser, ma fouilleuse m'a alors lentement écarté les fesses ! Je me suis crispée et ai laissé s’échapper un petit cri, ce qui eu pour effet de propulser une nouvelle fois la matraque contre mes chevilles. L’écart de mes jambes s’aggrava et ouvrit naturellement les deux belles pommes de mon postérieur.

- Haiie !!!

-Tais-toi si tu ne veux pas en prendre davantage ! Me jeta la métis qui s’était approchée tout près.

Penchée sur mon postérieur, elle a admiré-je suppose- quelques instants le spectacle de mes chairs débarrassées de leurs pilosités. Elle s’est alors rapprochée de moi, a revêtu un gant de caoutchouc : j’avais compris, elle voulait voir si je ne cachais rien dans mon intimité ! Elle a passé son doigt ganté de plastique dans le sillon de mes fesses et en le suivant, a effleuré l’anus et s'est engouffrée dans mon vagin, d’un coup sec, m’arrachant une plainte.

Elle l’a alors fouillé méthodiquement et longuement, ressortant et replongeant son doigt comme si elle y prenait plaisir. J'avais fermé les yeux de honte, de la sueur perlait de mon front et j'attendais  la suite avec angoisse.
Son doigt est ressorti de mon vagin, de moins en moins sec et y replongea accompagné d’un second puis très rapidement d’un troisième.

Terrifiée, j'ai senti qu'elle m'écartait les fesses. Je sentais son souffle derrière moi.

Et cette matraque qui m'obligeait à me cambrer toujours plus. ..
La blonde s’est alors approchée à son tour, a revêtu également un gant, a appliqué une pommade sur le doigt inquisiteur et m'en a mis sur l'anus ! Mes jambes maintenant tremblaient : mais où étais-je donc tombée ?!!!
Après avoir marqué une pause à l’orée de mon fondement, elle a tranquillement appliqué son doigt sur mon œillet brun et a poussé lentement. J'ai senti son doigt me pénétrer les entrailles, il s’enfonça lentement. Il n’en finissait plus de s’enfoncer,  toujours plus profond. Enfoncé jusqu’à la garde il se replia et explora les parois de mon rectum, il ressortit et se ré-enfonça de nouveau, puis encore et encore…

-Elle n'a rien, dit la fille a genoux derrière moi en ressortant son doigt luisant.
-T'es sur ? Vérifies encore, c'est pas possible, on va être obligées de lui faire une radio !
Leur dialogue sur ma personne se faisait sans s'occuper de moi qui restais appuyée au mur, les bras tendus, les mains attachées par ces foutues menottes qui marquait mes poignets délicats d’un large sillon violet, et les reins cambrés, leur offrant toute mon intimité luisante des deux côtés.
- Refais un touché des deux cotés, cette salope l'a sûrement enfoncé loin en elle. Remet de la vaseline, comme ça, ca le fera tomber tout seul, en la faisant sauter, mais il faut bien l'ouvrir auparavant.
- Bon ok chef ! Répondit la blonde,
Et la voila qui présente à nouveau son tube de crème. Une noix sur ma vulve et une noix sur mon anus. Elle m'écarte les grandes lèvres et m'enduit la vulve de crème. Frôlant au passage au passage mon clitoris, elle m'arrache un sursaut de nouveau, mais son geste a été suffisamment doux pour m’arracher malgré moi,  une plainte qui n’est pas de douleur. Lorsque son doigt pousse a l'intérieur de mon vagin, il trouve sans doute une  humidité suspecte qui lui fait dire à sa collègue que « pour ici ça descendra tout seul ». Un second doigt rejoint alors rapidement le premier, puis un troisième et elle fait quelques aller-retours en moi et montre ses doigts enduits de crème, mais aussi de cyprine.

- il me semble que j’ai senti quelque chose susurra la blonde,

- alors fouille encore et attrape la marchandise, elle ne l’a tout de même pas mise dans l’utérus !

Un nouveau coup sur ma cheville gauche me fait descendre encore les fesses de quelques centimètres. Maintenant mon sexe baille littéralement sous la tension de mes abducteurs étirés.

La blonde reprit son inspection avec trois doigts et tenta d’introduire le pouce et l’annulaire également afin d’attraper  son paquet imaginaire.

- Ca ne rentre pas ! cria t elle,

- tu parles, elle résiste pour qu’on ne trouve pas la marchandise ! Force donc !

Je suis au supplice. Les yeux révulsés, le souffle court, je ne parviens plus à penser. Je suis trempée de sueur, mais c’est de sueur froide dont il s’agit. Et cette main qui tente de me pénétrer sans ménagement …

La blonde ressort finalement sa main qui n’a pu faire son office, elle l’inonde de la crème du tube resté au sol et l’approche de mon sexe, les doigts regroupés en pointe, en forme de missile éventreur…

La pulpe des cinq doigts me pénètre en premier, je ferme les yeux, me mord les lèvres et rejette la tête en arrière, elles sont folles elles vont me déchirer !

Les trois premières phalanges passent assez rapidement grâce à la préparation précédente. Je sens alors les têtes des métacarpiens disjoindre les lèvres fragiles, meurtrir mes muqueuses. D’un coup sec elle force le passage et englouti toute sa main jusqu’au poignet dans mon vagin brûlant.

Hébétée je jette un regard furtif à la scène obscène : de chaque côté de ma vulve martyrisée, mes grosses lèvres sont tellement écartelées qu’on ne les distingue plus au milieu de cette débauche de chair rougie. Au centre mon sexe  semble vomir  l’avant bras de la blonde planté là et dont la main disparaît dans mes entrailles.

-  Il n’y a rien ! éructe la blonde,
Sa collègue me regarde sans rien dire,

-enlève ta main de là ça doit être de l’autre côté !

La blonde retire d’un coup sa main. Mon sexe la rejette dans un bruit de bouteille que l’on ouvre. Je respire un peu mieux. Mais dans ma position, mon sexe est resté largement ouvert et mes petites lèvres, violentées par l’intrusion pendent dorénavant piteusement.

La brune s’approche de nouveau et je sens que mon calvaire n’est pas terminé. Elle écarte mes fesses pour la seconde  inspection rectale. Son doigt me pénètre avec plus de facilité que la première fois. Il m'ouvre et laisse le passage pour un deuxième. Je pleure, gémit mais sans effet. Au contraire, un troisième doigt me poignarde également l’anus et s’enfonce jusqu’à la garde. Les trois doigts ressortent lentement et je ne peux m’empêcher d’accompagner leur sortie en me cambrant et en craignant la suite. Ils sont sortis, mon anus est encore ouvert, le les sens à quelques centimètres …

Brutalement ils replongent dans mes entrailles, je sursaute en criant. Ils entament alors une série de violents aller-retour agrémentés de rotations des phalanges.

Je n’en peu plus, ma conscience s’étiole et je ne vais pas tarder à m’évanouir.
Alors je sens sa collègue qui me caresse les reins en me disant de me calmer, de me laisser aller… Sa main se promène sur mes fesses, puis descend sur mon sexe et caresse mon clitoris ! Ses doigts attrapent mes petites lèvres violacées, les étire fortement comme pour les allonger et les froissent sans ménagement. Je crie ! Sa main empoigne mon mont de vénus, si parfaitement lisse, si sensible donc et flatte sa proéminence outrageusement suggestive. Elle l’enveloppe et le masse, remonte sur mon ventre, le caresse, puis viens sur mes seins. Elle me les palpe, me caresse le corps partout… Sa collègue a cessé son touché rectal et me caresse le sexe également. Ses doigts excitent mon clitoris et malgré moi, je me laisse aller à ressentir une montée libératrice de plaisir. Elles s’en aperçoivent et intensifient leurs gestes, les mains me palpent, me caressent, les doigts m’écartent les chairs en me pénétrant à nouveau  en tout sens. Mes muqueuses largement distendues laissent passer toutes les intrusions. Je ne sais plus où je suis, ce que je fais ici mais ces quatre mains qui me parcourent sont un supplice horrible et délicieux. La matraque me caresse également la vulve de haut en bas, pivote sur elle-même dans un mouvement de rotation mécanique et s’enfonce tout à coup sèchement et sans aucune résistance jusqu’au fond de mon vagin liquide, il en ressort et se ré-enfonçe encore, en ressort de nouveau de plus en plus vite, glisse plus bas pour se poser sur l’anneau étroit de muscle qui protége mes entrailles. Il s’y engouffre alors d’un coup jusqu’à la garde, sans état d’âme …

Un violent orgasme finit par me secouer tout entière...
- regarde la cochonne, dit une des femmes, elle jouie !


Mes deux gardiennes m'on laissée là, pantelante.

Je me suis effondrée sur la paillasse et j'ai pleuré longtemps avant que le commissaire ne vienne m'interroger et ne me relâche sans autre explication que de me dire que, la prochaine fois, il vaudrait mieux que je fasse attention ou je pose les pieds quand je manifeste.

Par Maxime - Publié dans : Récits érotiques
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Commentaires

Belle histoire, mais attention aux fautes d'orthographe, c'est dommage
commentaire n° :1 posté par : Robert le: 29/08/2006 à 18h36
j'ai pris un récit au hasard et je me suis laissée captiver. Je peux vous dire que la situation est cocasse, heureusement imaginaire, mais qui ne m'a sensiblement pas laissée froide.
commentaire n° :2 posté par : charnelle le: 17/10/2006 à 00h28
Merci ! Je suis également abonné au site de Masseur sensuel : pas mal et diablement tentant,  j'assisterait bien à une séance afin de parfaire ma science en la matière !
Maxime
réponse de : Maxime le: 08/11/2006 à 18h00
Hum merci....je viens de me régaler en savourant deux parties...et j'avoue que la deuxième ne m'a  pas laissé indifférente...

Je reviendrais, c'est certain... vos mots me plaisent de plus en plus
commentaire n° :3 posté par : Soleildejuillet le: 02/04/2007 à 16h49
Vous n'êtes pas indifférente ... est-ce à dire que quelques rivières souterraines ont commencé à sourdre ? que quelques trésaillements prometeurs ont ébranlé votre ventre ? En ce cas , mission accomplie et je ne peux qu'engager le lecteur à parcourir votre prose et vos formes ! Tout est parfait !
Bises , Maxime
réponse de : Maxime le: 06/04/2007 à 23h42
C'est pas mal c'est vrai, mais dommage que les fouilles au corps ne se font pas par les hommmes, la je monte au septieme ciel...lol
commentaire n° :4 posté par : Emilie le: 02/09/2008 à 11h07

Une fouille au corps très bien écrite, sensuelle et sans vulgarité. Je l'ai lue par hasard et j'ai trouvé un livre de chevet intéressant.

commentaire n° :5 posté par : Alex 68 le: 13/11/2011 à 09h58

Merci Alex !!!

 

réponse de : Maxime le: 18/12/2011 à 16h50

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