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Je m'intéresse à l'art sensuel à travers ses différentes productions artistiques.
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Marlène 5 : Fouille au corps
Ce samedi matin, j’allais faire un tour en ville, tout simplement, enfin je le pensais …
J’adore bien m’habiller, mais aujourd’hui je resterai à l’aise pour marcher en ville. J’ôte ma chemise de nuit encore nimbée de mon odeur. En la faisant voler par-dessus le canapé, j’accroche du coin de l’œil mon profil que me renvoi le grand miroir du salon. Ma peau est blanche comme du marbre et mes épaules sont couvertes d’un fin crin blond. Je baise un peu les yeux et admire un instant ma poitrine ronde et ferme. Mes seins sont bien ronds et leur aréole est d’une très grande sensibilité. Il ne faut pas grand chose pour les voir se dresser fièrement et toiser celui ou celle qui les admire avant de les déguster du bout de la langue (j’adore ! …). Plus bas, mon nombril brille de la pierre verte qui le transperce délicatement. Ce piercing m’a été offert par mon amant en titre l’an passé. Mon regard poursuit sa route et s’arrête, attendri, sur la courbe de mon ventre plat qui s’enfonce entre mes cuisses musclées. Je fais beaucoup de sport et pas mal de danse, ce qui me permet parfois des positions pour le moins acrobatiques et me procure une réputation locale bien méritée ! En me retournant, je ne peux m’empêcher de flatter du regard mon postérieur : ses deux globes parfaits sont d’une rondeur exquise, le profond sillon obscur qui les sépare est encore marqué d’un minuscule triangle encore plus pâle, témoin de la marque de mon mini-string pour plage non-naturiste, on ne peut pas rester libre et nue partout !. Il se prolonge par une paire de longues jambes aux contours forgés par l’effort. J’aime les mettre en valeur par de beaux talons hauts qui font toujours saillir mes mollets et me cambrent magnifiquement les reins.
Mais ce matin, non, je mets un simple jean par-dessus un sage string d’un blanc immaculé, vu la fraîcheur de l’hiver je rajoute une paire de bas et descends me perdre dans les ruelles de Grenoble …
Je me suis vite retrouvée au milieu du joyeux brouhaha d’une manifestation. Pour qui, pour quoi ? Je ne sais plus, mais l’ambiance étant sympathique et bon-enfant, je suis restée à écouter les slogans et à déambuler avec eux. Soudain des bruits de vitrine que l’on brise … des cris … des sirènes et … la police qui se déploie …
Me voila embarquée ! Cette manif était pourtant bon enfant, mais comme souvent des gens en ont profités pour casser. Et pas une vitrine de
bar : une bijouterie ! Avec ma chance habituelle j'étais ou il ne faut pas et me suis fait embarquer.
Personne ne m'a rien demandé, pas de vérification d'identité qui m'aurait permis de me justifier et sans aucun doute
Je me rendais bien compte du ridicule de la situation : moi, là, appuyée et attachée au mur à moitié nue et ces deux rombières qui manifestement prenaient plaisir à m’humilier. La
blonde plantureuse a posé mon soutien-gorge, elle est venue derrière moi et a continué son travail de fouille en tâtant chaque jambe par-dessus mon jean. Ses mains
enserraient mes cuisses au niveau du genou puis elles sont remontées jusqu'a mon entre-jambes, appuyant au passage sur mon pubis, ce qui me fit sursauter. Puis elles sont redescendues,
ont palpé les chevilles, elle m'a fait lever une jambe, puis l'autre. J'ai été déchaussée et mes chaussures visitées. Elle a essayé de quitter mes chaussettes, mais
je portais des collants sous mon jean. Chaque jambe a été minutieusement palpée, jusqu'au bout des pieds. Elle s'est relevée et a dit à sa collègue
qu'elle ne pouvait pas vérifier entre mes orteils à cause des collants.
- Je vais le quitter moi-même ce pantalon et comme ça vous verrez que je n'ai rien piqué !. - Mais pourquoi faire bon sang ?!!!
- Tais-toi, ont fait notre travail ! Me suis-je vu répondre. Elles avaient maintenant une vue dégagée sur toute mon intimité. Je ne pouvais rien faire. Cuisse écartée je sentais confusément leurs regards s’attarder sur mon dos, descendre sur mes fesses rondes et bien fermes. La position ne faisait que mieux faire saillir ma croupe dont j’étais, je le reconnais, assez fière, mais ce n’était pas le moment ! La position devait laisser voir mon anus sombre, étroit et bien épilé qui se prolongeait par un bref intervalle de peau ultra sensible et plongeait rapidement sur mes petites lèvres glabres, fines et largement saillantes. Je sentais d’ailleurs l’air frais s’engouffrer entre elles au bord de mon vagin béant. Plus haut elles allaient débusquer un bouton d’amour tout en rondeur, proéminent à souhait et délicatement rosé. Elles découvriraient alors l’extraordinaire protubérance de mon pubis épilé de frais, fendu comme une belle pêche d’un long et profond sillon de chair tendre et rosée… Rien, non rien ne me protégeait plus et je regrettais amèrement de m’être rendue ce matin chez Cécile, ma copine esthéticienne, dont la remplaçante m’avait convaincue de faire une « totale ». Sans se presser, ma fouilleuse m'a alors lentement écarté les fesses ! Je me suis crispée et ai laissé s’échapper un petit cri, ce qui eu pour effet de propulser une nouvelle fois la matraque contre mes chevilles. L’écart de mes jambes s’aggrava et ouvrit naturellement les deux belles pommes de mon postérieur. - Haiie !!! -Tais-toi si tu ne veux pas en prendre davantage ! Me jeta la métis qui s’était approchée tout près. Penchée sur mon postérieur, elle a admiré-je suppose- quelques instants le spectacle de mes chairs débarrassées de leurs pilosités. Elle s’est alors rapprochée de moi, a revêtu un gant de caoutchouc : j’avais compris, elle voulait voir si je ne cachais rien dans mon intimité ! Elle a passé son doigt ganté de plastique dans le sillon de mes fesses et en le suivant, a effleuré l’anus et s'est engouffrée dans mon vagin, d’un coup sec, m’arrachant une plainte.
Elle l’a alors fouillé méthodiquement et longuement, ressortant et replongeant son doigt comme si elle y prenait plaisir. J'avais fermé les yeux de honte, de la sueur perlait de mon
front et j'attendais la suite avec angoisse. Terrifiée, j'ai senti qu'elle m'écartait les fesses. Je sentais son souffle derrière moi.
Et cette matraque qui m'obligeait à me cambrer toujours plus. ..
-Elle n'a rien, dit la fille a genoux derrière moi en ressortant son doigt luisant. - il me semble que j’ai senti quelque chose susurra la blonde, - alors fouille encore et attrape la marchandise, elle ne l’a tout de même pas mise dans l’utérus ! Un nouveau coup sur ma cheville gauche me fait descendre encore les fesses de quelques centimètres. Maintenant mon sexe baille littéralement sous la tension de mes abducteurs étirés. La blonde reprit son inspection avec trois doigts et tenta d’introduire le pouce et l’annulaire également afin d’attraper son paquet imaginaire. - Ca ne rentre pas ! cria t elle, - tu parles, elle résiste pour qu’on ne trouve pas la marchandise ! Force donc ! Je suis au supplice. Les yeux révulsés, le souffle court, je ne parviens plus à penser. Je suis trempée de sueur, mais c’est de sueur froide dont il s’agit. Et cette main qui tente de me pénétrer sans ménagement … La blonde ressort finalement sa main qui n’a pu faire son office, elle l’inonde de la crème du tube resté au sol et l’approche de mon sexe, les doigts regroupés en pointe, en forme de missile éventreur… La pulpe des cinq doigts me pénètre en premier, je ferme les yeux, me mord les lèvres et rejette la tête en arrière, elles sont folles elles vont me déchirer ! Les trois premières phalanges passent assez rapidement grâce à la préparation précédente. Je sens alors les têtes des métacarpiens disjoindre les lèvres fragiles, meurtrir mes muqueuses. D’un coup sec elle force le passage et englouti toute sa main jusqu’au poignet dans mon vagin brûlant. Hébétée je jette un regard furtif à la scène obscène : de chaque côté de ma vulve martyrisée, mes grosses lèvres sont tellement écartelées qu’on ne les distingue plus au milieu de cette débauche de chair rougie. Au centre mon sexe semble vomir l’avant bras de la blonde planté là et dont la main disparaît dans mes entrailles.
- Il n’y a rien ! éructe la blonde, -enlève ta main de là ça doit être de l’autre côté ! La blonde retire d’un coup sa main. Mon sexe la rejette dans un bruit de bouteille que l’on ouvre. Je respire un peu mieux. Mais dans ma position, mon sexe est resté largement ouvert et mes petites lèvres, violentées par l’intrusion pendent dorénavant piteusement. La brune s’approche de nouveau et je sens que mon calvaire n’est pas terminé. Elle écarte mes fesses pour la seconde inspection rectale. Son doigt me pénètre avec plus de facilité que la première fois. Il m'ouvre et laisse le passage pour un deuxième. Je pleure, gémit mais sans effet. Au contraire, un troisième doigt me poignarde également l’anus et s’enfonce jusqu’à la garde. Les trois doigts ressortent lentement et je ne peux m’empêcher d’accompagner leur sortie en me cambrant et en craignant la suite. Ils sont sortis, mon anus est encore ouvert, le les sens à quelques centimètres … Brutalement ils replongent dans mes entrailles, je sursaute en criant. Ils entament alors une série de violents aller-retour agrémentés de rotations des phalanges.
Je n’en peu plus, ma conscience s’étiole et je ne vais pas tarder à m’évanouir.
Un violent orgasme finit par me secouer tout entière...
Je me suis effondrée sur la paillasse et j'ai pleuré longtemps avant que le commissaire ne vienne m'interroger et ne me relâche sans autre explication que de me dire que, la prochaine fois, il vaudrait mieux que je fasse attention ou je pose les pieds quand je manifeste.
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