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Votre serviteur

Je m'intéresse à l'art sensuel à travers ses différentes productions artistiques.

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Vendredi 18 août 5 18 /08 /Août 16:18

Marlène 6 – Quatre anges dans une boite libertine.

 Tout a commencé par un pari, un coup de tête.

 Un « chiche » lancé un peu vite lors d’un dîner chez Luc et Cécile alors que j’étais accompagnée par Simon, mon compagnon.

 La soirée avait été animée et chaleureuse, le bon vin aidant, j’ai lâché ce « chiche » un peu crânement et par pure provocation.

 Luc parlait de sa curiosité de découvrir le monde des clubs libertins et se demandait s’il serait capable de lutiner d’autres femmes, ou de voir son épouse caressée par des inconnus (ou inconnues !) et jouir dans d’autres bras.

 Après quelques échanges très sages et philosophiques sur le sujet, il me lança la question fatidique « et toi ? » …

  Ce « chiche » m’a alors un peu échappé …

 « OK, chiche ! » rétorqua t il, « je propose samedi prochain :  je vais chercher un endroit adéquat ! » lança t il goguenard.

 Impossible de se dérober, même si Cécile nous lança un regard un peu horrifié, vaguement inquiet,  mais brillant d’une lueur que je ne lui connaissais pas...
...
Mais aujourd’hui, je suis au pied du mur, comme mes 3 complices. La voiture file à vive allure : nous sommes en route vers ce mystérieux endroit de luxure inconnu. Nous nous sommes parées pour l’occasion et ma copine Cécile a trouvé des perles dans sa nouvelle collection couture.
Ma robe courte et coquine en mousseline noire, fendue de toute part dans les verticales, flirte avec mon nombril découvert orné d’une perle blanche. Les couleurs des fins voiles superposés de mon haut se croisent, se mélangent, s’opposent. Pastel, rose, turquoise et parme, rouge fureur ou Orange mandarine, c’est tout un florilège printanier que déroule des matières nobles, pure soie, lin, mousseline ou coton. Pas de soutien gorge possible sous ces sept voiles orientaux, mes seins ronds et pleins, pointent bravement à travers les fines épaisseurs. A chaque mouvement mes tétons s’agacent et se dressent un bref instant, comme s’ils se préparaient au pire, ou au meilleur. Et à chaque fois un éclair sensuel me vrille le bas-ventre. Ce ventre est légèrement bombé sous ma jupe et descend rapidement vers le fin trait vertical noir sombre de mon pubis taillé avec soin. Le reste de mon sexe est parfaitement lisse, comme à mon habitude depuis les événements avec Sylvia (voir Marlène 1 - Débroussaillage). L’ensemble est à peine voilé d’un string en maille de filet de pêcheur, ce qui fait ressortir entre les mailles  les chaires de mes petites et grandes lèvres à chaque pas !  Mon clitoris, assez corpulent, s’étrangle un peu et pend presque, enserré par les fils durs tendus autours de lui. Mon sexe ressemble presque à un saucisson en mal de séchage ! Cécile m’assure que c’est ravissant et super sexy !… La pointe inférieure du sous-vêtement pénètre légèrement dans le bas de ma vulve, glisse sur le délicat espace qui la sépare de mon anus, le survol et pénètre profondément entre mes fessiers rebondis. Le fil en ressort et se sépare en deux chaînettes en or qui remontent haut sur mes hanches pour replonger vers mon pubis rebondi. J’adore mon pubis charnu, fortement proéminent et fendu très haut comme une belle pêche bien mûre. Il surprend toujours mes amants qui s’y attardent volontiers, pour mon plus grand plaisir.

Cécile n’est pas en reste, bien que plus classique avec son body blanc de fin jersey translucide qui la moule comme une seconde peau,  laissant tout deviner de ses amples seins nus en poire et aux immenses aréoles sombres. De dos, le décolleté plonge très  bas et laisse apparaître le haut de ses fesses nerveuses, un peu comme Mireille Darc dans son numéro face à Pierre Richard ! Sur sa peau nue, quelques chaînettes s’égarent en diagonale et se perdent au creux de ses reins. Elle a jeté sur ses cuisses musclées, une longue jupe de daim clair, mais fendue jusqu’à la ceinture, laissant deviner à chaque pas un splendide porte-jarretelles rose parme. Par moment on devine que son sexe est nu, mais pas tout à fait : de fines fleurs de strass brillantes sont enchâssées sur sa brune toison et ornent tout son pubis taillé en grand triangle isocèle. Il plonge ensuite à peine entre ses grandes lèvres gourmandes, parfaitement glabres, et si charnues qu’elles ne laissent pas deviner la fine couleur corail de ses petites lèvres, ni la protubérance ronde et rosée de son bouton d’amour. Contrairement à moi donc, seul un trait sombre et mystérieux, net et profond, fend en deux ce bas ventre que je connais bien.
Nos hommes sont plus classiques et nous regardent avec des yeux de pauvres hères en manque ! Il faut dire que nous y sommes allés un peu fort, sans doute. Mais il fallait marquer le coup et nos hommes nous protègeront des assauts non sollicités si nécessaire.

Nous voici arrivés. La lourde porte s’ouvre et nous entrons. La salle voûtée est grande et séparée de larges piliers de pierre. L’ambiance est douce, la lumière tamisée, une langoureuse musique de jazz entraîne déjà quelques couples à chalouper en cadence sur le parquet patiné. Après avoir laissé nos manteaux à une jeune soubrette aux seins nus et tout menus, nous nous avançons.

« Allons boire quelque chose » lance  Simon. Nous nous approchons du bar. Le serveur, pectoraux imposants et nus nous sourie et nous indique de hautes chaises. En se rapprochant, elles nous paraissent un peu bizarres : le tabouret n’est pas plat mais présente une assise en forme de demi-sphère. Nous nous asseyons tout de même, pour sursauter aussitôt !  Notre poids a déclenché le mécanisme infernal et, à peine appuyé sur le sommet de la large boule, notre sexe a été traversé d’une forte vibration ! Simon et Luc pouffent de rire : des sièges « vibromasseurs » ! Ca commence fort ! Nous nous rasseyons en riant et en savourant ces nouvelles sensations : je sens ma vulve se faire lentement masser par les sourdes vibrations qui tirent un peu les mailles du filet enserrant mon sexe et propulsent un peu plus dans le vide mon clitoris déjà bien malmené par le voyage.

 L’ambiance chauffe un peu plus avec une musique plus musclée. Les chaloupements  des danseurs se font plus rapides. Un jeune trentenaire a maintenant soulevé la robe de sa partenaire et lui malaxe consciencieusement les fesses pendant qu’il lui dévore le cou. Une grande blonde a plongé sa main droite dans l’arrière du pantalon de son beau brun, pendant que son autre main semble se perdre au niveau de ses bourses. De l’autre côté une rousse flamboyante danse seins nus et rein cambrés devant son compagnon, dont les yeux exorbités en disent long sur son état excitation

 Mon ami Luc me prend dans ses bras et m’entraîne sur la piste dans une salsa endiablée. A chaque pirouette, le tulle de ma jupe se lève largement, dévoilant sans équivoque mon intimité lisse aux yeux de l’assistance. Je sens les yeux des hommes, des femmes suivrent en cadence les mouvements de mes fesses, attraper un cliché de ma vulve congestionnée à chaque renversement de mon corps. La danse se termine enfin par une pose érotique plaquée sur l’un des piliers, jambe soulevée à la verticale.

Des applaudissements fusent, un homme s’approche et me relève en me prenant les mains. Il les lève au-dessus de ma tête et me soulève même un peu. Et soudain tout va très vite : j’entends un claquement sec. Des menottes se sont refermées sur mes poignets qui ont été accrochées à un anneau fixé dans la pierre, bien au-dessus de moi en avant du pilier. Dans le mouvement, ma courte jupe est remontée au niveau du haut de mes cuisses et dévoile intégralement mes jambes nues jusqu’au raz de ma vulve. La traction me fait cambrer et accentue l’impudeur de la position. Sans que j’aie pu réagir, l’homme m’attache sur les yeux un bandeau de soie qui me prive de la vue. Je panique un peu alors même que je sens de nouveau le contact de Luc sur mon corps. Mais dans le feu de l’action et du mouvement, est-ce bien toujours lui qui est collé à moi ?!!

 La musique baisse un peu et je sens un mouvement de foule se produire autours de moi. Manifestement je suis devenue malgré moi le clou du spectacle ! L’homme collé à moi, détache gaillardement la ceinture de ma jupe (quel toupet ce Luc !!), elle retombe rapidement au sol dévoilant les replis de mes chaires intimes marqués par les mailles du filet qui s’y enfoncent toujours profondément. Mon haut suit tout aussi rapidement le même chemin. Me voici plus que nue, pendue par un anneau au plafond voûté de cette salle, fesses cambrée. Mes seins projetés en avant pointent haut et  mes tétons saillent avec provocation.  Mes hauts talons touchent à peine le sol et mes poignets commencent à me faire mal, je vais le crier à Luc afin qu’il me libère !
Mais trop tard : le contact avec Luc a disparu et une grosse boule de caoutchouc vient de me bâillonner la bouche et je ne peux que grogner sourdement.
Une intense angoisse m’étreint brutalement. Je respire bruyamment par le nez, les yeux roulant de droite à gauche cherchant à voir, telle une jument affolée. Je sens plusieurs personnes s’approcher encore. Une première paire de mains se pose sur mon ventre, une autre sur mes épaules, une autre sur mes cuisses tendues et une autre encore sur mes fesses, alors que je sens des ongles pointus (de femmes ?) agacer lentement les tétons pointus de mes seins.

 Je suis leur jouet !
Paniquée je me débats, mais la douleur de mes poignets me calme rapidement.
Je suis contrainte de subir.
Les mains se mettent en mouvement, au rythme lancinant de la musique. Elles montent, elles descendent, caressent, pincent, empoignent mon pubis, mes seins, mes fesses ou mes cuisses. Combien sont-elles ? Dix ? Seize ? Je ne peux plus compter. Je ne suis plus qu’un poteau de chair fraîche parcouru par des dizaines de phalanges avides. Deux doigts plus habiles dégrafent le dernier rempart de ma panoplie nocturne, et mon string-filet s’effondre sur mes pieds. Il  laisse sans doute la vision de mon mont de vénus outrageusement bombé et zébré de carreaux violacés. Libérées, je sens mes longues petites lèvres s’épanouir en aile de papillon à l’extérieur de mon sexe, alors que la protubérance de mon clitoris reprend ses aises hors de sa cache, déborde de ma fente ouverte et pointe crânement en haut de ma vulve... »

…Cécile, elle,  n’a pas remarqué tout de suite la « capture » de Marlène.

 Discutant avec Simon, le bel homme de sa copine, elle riait depuis dix bonnes minutes à ses compliments. Elle sait qu’elle lui a toujours fait de l’effet, mais rien ne s’est jamais passé en présence de son mari. Celui ci s’est d’ailleurs éclipsé depuis un bon moment avec Marlène, sa danseuse préférée, comme d’habitude lorsqu’il y a de la bonne musique !
C’est lorsque celle ci s’est mise à baisser et que les gens se sont regroupés prés du pilier centrale qu’elle a vu le supplice en cours de son amie. Marlène est accrochée par les poignets au plafond de pierre, entièrement nue, bâillonnée et aveuglée. Une demi-douzaine d’hommes et de femmes la parcourent de leurs caressent. Fascinée, Cécile esquisse un geste de secours en sa direction, mais la main ferme de Simon la retient fermement en la plaquant contre lui. Les yeux braqués sur le splendide corps cambré et offert, Cécile est devenue à son tour spectateur.
Un homme attrape subitement un pied de Marlène et le pose sur l’un des tabourets du bar, la blonde aux mains baladeuses attrape le second pied et le remonte également à l’horizontale lentement. On voit les poignets de Marlène se tendre et un rictus lui traverse le visage. Heureusement que sa grande souplesse lui permet de tenir sans hurler  - comment faire de toute façon avec cette boule noire et dorénavant baveuse dans la gorge ?- Le grand écart est atteint rapidement, à froid, et un second tabouret de bar est glissé sous son pied.
Un faisceau de lumière surgit soudain de nul part et éclabousse de sa blancheur le bas ventre de Marlène.
C’est le signal. La jeune fille du vestiaire arrive alors en courant en tenant un panier d’osier. Elle l’apporte au bourreau échevelé qui officie entre les jambes de marlène.
La belle rousse dépoitraillée est accroupie devant le sexe écartelé de son amie, on distingue parfaitement les immenses petites lèvres qui pendent largement hors de la vulve distendue. Elle parcourt le ventre de ses deux mains aux doigts lourdement chargés de bagues en argent, elle flatte son pubis proéminent à plusieurs reprises, semblant en apprécier le délicieux  bombé. Chacune de ses mains reviennent à mi-cuisses et remontent lentement et simultanément vers leur centre bouillonnant. Marlène adore ça, Cécile le sait et perçoit le tressaillement de son amie. Les mains aux ongles parfaitement manucurés et vernis de noir saisissent alors les petites lèvres qui pendent hors de du sexe béant, les étirent largement vers le bas, puis sur le côté afin de dégager l’antre rouge et congestionné de son vagin et l’offrir à la vue de l’assemblée.
La tension du public est à son comble et la concentration de tous est à son paroxysme. Certains se baissent pour mieux voir.  D’autres caressent frénétiquement le sexe de leu compagne ou compagnon.
Pendant ce temps, Cécile n’a même pas senti Simon passer ses mains dans son dos et empoigner ses lourds seins oblongs, sa propre main caresse mécaniquement son pubis emperlé et s’égare entre ses muqueuses par saccades. Un troisième larron, assis par terre à côté d’elle, a glissé un bras sous sa jupe et parcours ses dentelles à pleines mains. Soudain il fait basculer sa jupe par-dessus sa tête et se glisse entre ses jambes. Il dégrafe prestement les deux pressions à l’entrejambe de son body transparent, attrape ses hanches et abaisse sèchement sa vulve humide sur sa bouche grande ouverte. Cécile se mord les lèvres en gémissant sans détacher ses yeux du spectacle, ses genoux  plient un peu plus afin de mieux sentir la bouche avide et chaude qui la fouille avec délectation. Elle manque de tomber et pour s’équilibrer s’adosse complètement sur Simon qui n’en demandait pas tant. Il sent ainsi parfaitement la pression moelleuse de ses fessiers opulents, sur son sexe raidi à l’extrême.
Sur la scène principale, la belle rousse poursuit son œuvre et extrait du panier deux pinces en acier munies de chaînettes. Elle étire de nouveau l’une des petites lèvres de Marlène et y fixe la première pince munie de caoutchouc, elle étire l’autre petite lamelle de chaire rosée pour y appliquer la seconde. Marlène trésaille de nouveau. Les mains tachetées replongent dans le panier et en exhibe deux lourds poids de plomb, qu’elle accroche aux chaînettes et qu’elle lâche. Entraînées par la masse métallique, les nymphes se tendent violemment et prennent une longueur démesurées alors que les poids frôlent le parquet en se balançant librement. Leur couleur nacrée vire rapidement au rouge puis au violet sombre. Marlène se cabre et gémit bruyamment à travers son bâillon.

 Sans attendre, son bourreau lui épingle également deux autres pinces lestées sur la pointe des seins. Violemment tirés vers le bas, les tétons lancent un éclair de douleur qui plonge instantanément vers son sexe en le contractant violemment.

 Sans lui laisser de répit, la rousse plonge alors sa main droite au creux de son sexe, elle y introduit brutalement deux doigts, puis trois. Ramène son pouce prés des autres et entame la pénétration de la main entière.

 La liqueur de Marlène bave généreusement sur les phalanges qui distendent progressivement le sombre cratère.

 Ca y est.

 Marlène sent la pointe des doigts de la rousse buter contre sa matrice alors que sa vulve se referme avidement sur son poignet. La belle entame alors un lent ballet, faisant coulisser en une lente rotation descendante et ascendante la main comprimée arrosée de ses glaires.

 Elle sent tout à coup deux grandes mains empaumer largement ses seins par derrière et un corps puissant et nu se coller à son dos. Un sexe raidi par le spectacle se présente prés de son œillet sombre et distendu par le grand écart. Il avance un peu à l’orée de sa vulve pour recueillir un peu de sa sève abondante, remonte vers l’arrière et plonge d’un coup sec dans son rectum comprimé par la main féminine plongée dans son vagin. L’anus cède immédiatement, s’évase complaisamment, s’écarte en souplesse  et avale avidement et presque sans douleur le pieu de chair dressé qui s’enfonce jusqu’à la garde. Au même instant la rousse attrape entre le pouce et l’index son clitoris gonflé qui déborde largement de sa vulve et le presse brutalement entre la pulpe de ses doigts.

 S’en est trop.

 Malgré le public, ses sens exacerbés dominent dorénavant son cerveau et provoquent une houle irrépressible de son ventre. Un énorme éclair lui traverse le corps, des pointes de pieds à la nuque. Elle se cabre à l’extrême, gémit, halète, peine à respirer, agite frénétiquement ses liens et secoue la tête de droite et de gauche. Son corps se contracte en tout sens sans contrôle et fait balancer outrageusement les poids qui lestent ses zones érogènes. Son rectum se contracte violemment sur le pénis qui lui perfore l’intestin tandis que poignet de la rousse est fébrilement pétri par les muscles tétanisés de son vagin.

 Un énorme orgasme vient de dilapider toutes les forces qui lui restaient.

 Vidée de toute velléité de résistance, elle se relâche enfin  et se laisse aller sur cette main et ce sexe, qui s’enfoncent ainsi un peu plus au fonds de ses orifices.

 Affaiblie, vaincue, sa conscience s’étiole avec sa résistance.

 Maintenant elle est vraiment à leur merci …

 

Par Maxime ZYGO - Publié dans : Récits érotiques
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