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Votre serviteur

Je m'intéresse à l'art sensuel à travers ses différentes productions artistiques.

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Vous allez découvrir :

Vendredi 8 septembre 5 08 /09 /Sep 16:41
Marlene 7 – Hammam
 
Le rendez-vous est fixé à ce soir 19h.

Pour la première fois je me rends dans un hammam. Ma copine esthéticienne m’a assuré que c’était un endroit divin et relaxant.

D’un air mystérieux elle a appuyé son affirmation : « tu verras, c’est TRES relaxant, vraiment … ». D’autorité, elle m’a pris un rendez-vous au « hammam boudoir », rue St Jacques à Grenoble.

En cette mi-juillet il fait très chaud et me rendre dans un lieu encore plus chaud n’est peut être pas l’idéal !

Mais c’est trop tard, j’ai acquiescé.

De retour du boulot, je rentre rapidement pour me rafraîchir un peu. A peine rentrée, je fais valser mon petit haut par-dessus ma tête. Mon soutien gorge pigeonnant en dentelle pourpre peine à camoufler les aréoles si sensibles de ma gorge ronde et ferme. Je la libère illico et ce simple frottement en fait tressaillir les pointes. Buste et ventre nu, je dégrafe ma jupe ultra courte à volants. Ce matin, ma collègue de boulot m’a dit en riant que c’était un « scandale » de porter ça dans la rue ! Pour ne pas la contredire et la faire bisquer un peu, j’ai entamé un 360 de danseuse, lui laissant ainsi admirer la quasi-intégralité de mon popotin rebondi, à peine fendu du mince trait blanc de mon string en dentelle de Calais (très « ajouré » …).

Habituée à mes frasques, elle a rit de plus belle, mais la petite lueur qui brillait dans ses yeux ne m’a pas échappé …Ce sera à suivre …

Enjambée, la jupette rejoint le canapé de cuir rouge qui orne mon salon. Il fait meilleur ainsi vêtue dans la fournaise Grenobloise. Mes doigts agrippent les fines bandes latérales de mon string et les rabattent d’un geste sec sur mes cuisses. L’entrejambe ne suit pas. La moiteur de mon entrejambe le colle à mon sexe glabre. J’écarte un peu les jambes afin de libérer l’étroite bande de tissu chiffonné de mon entrecuisse. Il se décolle soudain, étirant légèrement mes petites lèvres lisses et trempées de sueur. J’en sursaute presque !

En le retirant de mes pieds, j’attrape du regard mon profil sur le grand miroir du salon : belle vision ! une grande brune, juchée sur ses talons hauts, Buste penché et mamelles libérées, lève haut la jambe afin de récupérer son dernier rempart. Le galbe de la fesse est arrondi par la position, les muscles des cuisses saillent et la fermeté des seins, même dans cette position, se devine sans ambiguïté. C’est moi ! Un peu d’autosatisfaction ne fait jamais de mal !…

Je me glisse sous la douche fraîche, et savoure ce moment de détente. Mes mains glissent sur mon corps, s’attardent sur ses courbes, mes doigts plongent dans la vallée, escaladent les collines, contournent des monticules et se perdent enfin sur les bords de la baignoire pour couper le flux d’eau qui cascade.

Il faut y aller. La rue St Jacques n’est qu’à quelques pas d’ici.

J’arrive devant la porte. Ou plutôt l’entrée. Le bois de la porte monumentale est finement sculpté de figurines qui s’enchevêtrent. Je toque, la porte s’ouvre seule. Je suis un long couloir surchargé de stucs maures, on se croirait à Grenade ! Tout au fond, une femme immense me sourit : 

« Vous êtes Marlène ? »,
« Oui ! »,
« Nous vous attendions ! ».
(« Nous » ???)
« Entrez … ».

Je pénètre, dans une grande salle aux hauts plafonds de marbre, tout comme les murs. Une fine musique arabe filtre de je ne sais où.

La femme immense se nomme Yasmina, elle me présent Zhora et Aïcha, les deux autres filles qui vont également s’occuper de moi. Tout ce monde est pour moi ? XXX a bien fait les choses !

Zhora est aussi petite que Yasmina est grande, mais sa poitrine détonne vraiment et distend profondément un corsage bien léger. Quant à Aicha, elle semble bien jeune et sourie béatement, sa peau est très mate mais ses yeux éclairent intensément son visage de leur bleu intense, surprenant !

« Vous pouvez vous dévêtir »,
« Heu, là ? »,
« Oui ».

Bon, s’il faut y aller allons-y… Un peu gênée, je quitte mon corsage et ma jupe. Les trois filles m’entourent toujours et ne me quittent pas des yeux. Encore plus gênée, j’ôte mon soutien gorge, me cache vaguement la poitrine et entreprend la descente de mon string assortie.

« Vous souhaitez de l’aide ? »
« Heu, non ! Ca ira »

Je me baisse rapidement et enlève le bout de tissu léger qui entoure maintenant mes chevilles et ôte mes talons au passage. Je peine un peu à les déboucler et ne rend pas compte que ma position tête en bas doit dévoiler la fente de mon postérieur, son anus épilée et la longue estafilade mauve et lisse qui plonge en dessous vers le secret de mon sexe.

Je me redresse lentement ne sachant comment m’y prendre pour affronter leur regard et leur « jugement ».

Je respire un grand coup et fais face.

Les trois filles me regardent un instant, sans un mot, parcourent des yeux les courbes de mon corps, semblant en jauger le grain, le gras, le dur ou le mou. Regard de professionnel ? J’intercepte le coup d’œil gourmand de Zhora sur la fine bande de poil noir et court qui trône au sommet de mon pubis et s’arrête net au-dessus de mon clitoris. Celui de la grande Yasmina est moins discret et plonge carrément entre mes fesses, semblant en évaluer la rondeur. Quant à Aicha, c’est mes tétons qui semblent l’attirer. Il faut dire que la situation les a stimulés et qu’ils pointent fièrement du globe blanc qui les supporte.

« Allez-y » me dit Yasmina en désignant la porte du fonds de la pièce.

Je passe devant mes trois hôtesses, ouvre la porte et m’engage dans le couloir.

La moiteur y est intense. Le couloir est long et j’avance lentement. De chaque côte d’immenses miroirs me renvoient mon profil. Les trois hôtesses me suivent. Le sol est mouillé et j’avance prudemment, ma démarche est un peu chaloupée et j’imagine sans peine le regard de mes trois voyeuses fixé sur le déhanchement voluptueux de mon postérieur.

J’arrive dans la première salle. L’eau ruisselle sur les murs et une sourde vapeur se répand lentement sous deux grandes tables de marbre blanc et lisse. L’air est saturé en eau et lourd, mais la température n’est pas si importante qu’il y paraît. L’atmosphère de cette pièce est étrangement calme et rassérénant.

« Allongez-vous sur la table »,

Je sursaute et me retourne. Les trois filles, souriantes sont également dans le plus simple appareil.. Alignées comme elles le sont, on pourrait les prendre pour des bas-reliefs de temples hindous. Yasmina est très mince et ses cuisses fuselées se perdent au creux d’un sexe parfaitement glabre et à peine fendu. A contrario, les deux autres, plus trapues, présentent de belles rondeurs aux hanches, accentuées par une grande finesse de taille. Leur poitrine est généreuse et un regard furtif sur celle d’Aicha me confirme sa grande jeunesse. Ses seins sont oblongs, en poire et presque ovales mais tiennent tout seul comme en apesanteur ! L’aréole est large et gonflée par la récente poussée hormonale. Je doute qu’elle soit majeure, il doit s’agir d’une apprentie ? Toutes deux arborent également un sexe parfaitement lisse surmonté d’un brillant au nombril. Le sexe d’Aicha est étrangement et entièrement camouflé par deux épaisses grandes-lèvres qui se rejoignent au centre de l’entrecuisse, comme un verrou de chair. Zhora, elle, dévoile d’immenses petites lèvres presque noires qui débordent largement de son sexe pratiquement dépourvu de grandes lèvres.

Yasmina a remarqué mon regard.

« Nous-autres Maghrébines, nous pratiquons depuis des centaines d’années l’épilation intégrale. Pour l’hygiène et pour le respect de la tradition et de la religion, Nous pourrons nous occuper plus tard de votre « ticket de métro » européen si vous le souhaitez : c’est l’une des fonctions millénaires de ces lieux : les soins du corps et de l’âme, loin des hommes et de leur brutalité. Allongez-vous ».

Cette fois l’ordre est clair et ne supporte pas de discussions.

Je m’allonge sur ventre.

La pierre est chaude, lisse et détrempée. Le contact est doux et agréable. Ma peau est désormais constellée de petites gouttes de sueurs chargées des toxines qui me quittent progressivement.

Ma respiration est calme, reposée, apaisée.
Je ferme les yeux.
Je suis prête.

Une première paire de main attrape mon talon gauche, remonte le long du tendon d’Achille et malaxe lentement mon mollet. Une seconde paire de main fait de même sur mon mollet droit. Je sens la troisième paire de main se poser sur ma nuque, l’envelopper lentement, redescendre vers les premières dorsales et remonter encore. La tête posée sur le menton, j’entrouvre les yeux et les lève. Je vois le brillant du nombril d’Aicha. Mon regard descend un peu parcoure le pubis lisse et dodu de la jeune fille, en apprécie le bombé sensuel et prononcé et parcours la fente fermée qui se perd entre les cuisses jointes. Son sexe est à quelques centimètres de mon nez. Elle se penche un peu pour pousser les mains dans le bas de mon dos. Je peux voir ses grandes lèvres s’écraser sur le bord de la pierre, céder sous la pression et s’écarter légèrement dans le mouvement. Les petites-lèvres apparaissent : elles sont très fines, roses et finement dentelées. A chaque mouvement elles se cachent et réapparaissent, se cachent … réapparaissent …

Plus bas sur mon corps, les quatre mains pétrissent mes cuisses, montent à la naissance du pli fessier, redescendent. A chaque mouvement la peau s’assouplie, s’étire, s’allonge. Progressivement je sens la pression s’accentuer et la peau s’étirer de plus en plus. A chaque mouvement dorénavant, mes fesses s’écartent subrepticement, mes petites-lèvres s’étirent légèrement et je sens une douce humidité gagner mon entrejambe. Mon clitoris est en érection et frotte également sur la pierre lisse à chaque vague des mains qui me pelotent.

Aicha participe également au jeu pervers. Ces mains descendent bas sur mes reins et en tirent la peau vers le haut. A chaque mouvement, mon anus se découvre un peu plus. Les deux autres synchronisent leurs mouvements et c’est maintenant tout mon anus qui s’étale à la vue de toutes. La répétition des mouvements en attise la sensibilité. Je sens ses replis s’assouplir, sa puissance se diluer. Je le sens s’entrouvrire progressivement.

Yasmina et Zhora en profitent pour me prendre les chevilles et m’écarter largement les cuisses. Je suis à leur merci. Leurs mains reviennent directement sur mes fessiers. Les doigts effleurent le périnée, l’anus et son sillon supérieur. Enrobent les muscles, les pétrissent.

Aicha pose alors un genou sur la table, me dévoilant un bref instant le spectacle admirable de sa fente rose entrouverte, pose le second et se met à quatre pattes, tête-bêche dans mon dos. Je sens son souffle descendre le long de mes reins et s’approcher de mon anneau brun. Elle a maintenant une vue parfaitement dégagée et plongeante sur mon anus. Les deux autres maintiennent fermement mes fesses écartées au maximum pour lui laisser le champ libre. Sa langue se pose alors doucement sur les muqueuses excitées de mes reins. La langue pointe, tâte les replis mauves, tournois, pénètre légèrement, ressort. Et puis, tel un pénis minuscule, la langue dure et conquérante s’enfonce d’un coup dans mon rectum…

Je sursaute relève la tête et gémis sourdement. Que c’est bon !!!.

En même temps deux mains se glissent sous mon ventre, me force à le soulever et à cambrer les reins. Plusieurs doigts prennent alors possession de mon sexe. Mes petites-lèvres délicates sont étirées, malaxées, mon clitoris est décalotté, malaxé, pincé même.

Les deux mains sur mon ventre accentuent leur pression. Aicha quitte mon dos mais pas mon anus. L’une de ses mains me malaxe langoureusement le sein droit. Me voici à quatre pattes, croupe en l’air, reins cambrée et fesses tendues, complètement abandonnée, offerte et soumise à mes bourreaux de douceur.

Par Maxime - Publié dans : Récits érotiques
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