Présentation

Votre serviteur

Je m'intéresse à l'art sensuel à travers ses différentes productions artistiques.

PS : les illustrations des textes ou articles sont propriété de leur auteur et sont en général taggées de leur nom lorsque disponible. M'informer des corrections ou compléments éventuels et me signaler tout problème SVP.

Vous allez découvrir :

Le courrier des lecteurs coquins

Samedi 5 janvier 6 05 /01 /Jan 16:32
Nouvel an nue dans la forêt
 

Brune pulpeuse (très pulpeuse même !) et je vous écris pour vous raconter la dernière folie d’Yves, mon mari. Il faut que je vous précise qu’Yves est fou de sa Sylvie (c'est lui qui le dit). Et par-dessus tout, il est raide dingue de ses fesses. Jusqu'à maintenant, il se contentait de les embrasser, de les caresser, de les lécher ou encore de les photographier. Il possède une collection incroyable de photos de moi, de dos, avec ou sans culotte, dans toutes les positions. Il les consulte à la moindre occasion, notamment lorsque je suis en déplacement professionnel et que je passe la nuit à l'hôtel.


C'est rassurant de savoir que votre homme fantasme sur vous lorsque vous êtes loin de lui... C'est également Yves qui achète ma lingerie.
Il connaît mes mensurations par cœur et prend un vrai plaisir à choisir mes strings et culottes et à me les faire essayer. Grâce à lui, je dois posséder la plus belle collection de sous-vêtements de tout Grenoble.

 

Récemment, il m'a avoué se lever plus tôt le matin pour contempler mes fesses pendant mon sommeil. Je lui ai demandé s'il se caressait et il m'a répondu que oui. Je lui ai proposé d'aller jusqu'au bout, ce qu'il a fait. Mardi 1er janvier 2008, vers 11h du matin, après une nuite de festivités, je me suis réveillée avec l'odeur du café et une agréable sensation de douceur.
Yves avait déposé le plateau du petit-déjeuner à côté de moi et il me caressait délicatement les fesses avec son sperme qu'il venait de faire gicler, en guise d'huile de massage. C'était un réveil de nouvel an magique. Ce matin-là, il m'a proposé un nouveau jeu : dévoiler mes trésors dans un lieu public pour en faire profiter les plus courageux (il faisait froid à Grenoble mais beau  !)...

 

Yves a préparé ma tenue : escarpins, string et manteau long. En fin d'après-midi, nous avons pris la direction du lac du Bois Français. Après un premier tour de reconnaissance, nous nous sommes éloignés des allées trop fréquentées au profit des sous-bois. Yves me donnait ses indications. Je devais marcher et dévoiler mes fesses petit à petit. Dans une mini clairière, Yves m'a demandé de m'arrêter et de garder les fesses bien visibles.


Au bout de quelques minutes, deux hommes ont rejoint mon mari. Ils ne prenaient même pas la peine de se cacher. Ils étaient à quelques mètres de moi et ils se caressaient, comme si c'était naturel. Encouragé par ses voisins, Yves a ouvert sa braguette et il a commencé à se masturber. Je ne regardais que lui, je voyais qu'il prenait beaucoup de plaisir à cette situation nouvelle. Il a éjaculé au bout de quelques minutes, puis il est venu me chercher pour rejoindre la voiture, tout rouge d’excitation. En quittant ma scène improvisée, j'ai jeté un coup d'œil en arrière pour voir où en étaient les deux inconnus du bois. L'un remettait son engin en place dans son pantalon, tandis que l'autre me fixait en prenant son plaisir ...

 

Pour être très honnête, j'avoue avoir pris beaucoup de plaisir à m'exhiber devant de parfaits inconnus et à constater l'effet que je leur produisais. Mais je ne suis pas certaine de recommencer. Il se dégageait de cette scène un parfum un peu malsain, voir dangereux qui m’a un peu refroidi avec le recul.

Par Maxime - Publié dans : Le courrier des lecteurs coquins
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Mardi 4 décembre 2 04 /12 /Déc 21:12
Une stratégie de rêve !
 

Jeune étudiante, pour me délasser, j’aimais déjà parcourir les blogs sexy de la toile. Je suis souvent émoustillée par les récits érotiques. Il m'est récemment arrivé une aventure que j'avais envie de partager avec vous …

 

A la Sorbonne, je fantasmais sur un de mes chargés de TD. Je ne révélerai pas son nom, étant donné son poste, mais ce que je peux dire, c'est qu'il avait 28 ans, qu'il était brun, ténébreux et mystérieux. Dès le premier jour, je l'ai remarqué. Il portait un long manteau noir, un costume foncé, une chemise claire et un pull sombre. J'ai tout de suite décidé d'essayer de le séduire... Et, pour y parvenir, je n'avais pas plus de trois heures par semaine !

Dès lors, j'ai organisé ma façon de m'habiller de manière stratégique. Tous les vendredis, j'optais pour des tenues sexy mais classe. Escarpins avec talons, pantalons près du corps... Je les choisissais de façon à ce qu'ils mettent bien en valeur ma chute de reins et mes fesses, aussi rondes qu'une paire de pommes. À cela venaient s'ajouter de mignons petits décolletés qui laissaient voir la naissance de mes seins et ma peau blanche et douce.

 

Du haut de mon un mètre soixante et onze rehaussé par mes talons, je lui offrais mes formes, ma taille fine, mes fesses rebondies... Je lâchais mes longs cheveux blond vénitien. Je ne mettais que très peu de maquillage, un peu de mascara sur mes cils pour mettre en valeur mes grands yeux verts.

 

La concurrence dans ma promo était rude.
J'étais toujours assise au premier rang, et je le dévorais des yeux tout en suçant mon stylo... Les vendredis se succédaient et mes tenues étaient toujours bien étudiées. Je tentais systématiquement de capter son regard.

Un jour, j'ai remarqué que mon décolleté le troublait. Il parlait, j'écrivais et, au moment où j'ai relevé la tête, j'ai surpris son regard plongé dans le creux de mes seins... L'espace d'un instant, il a perdu le fil de ce qu'il disait et il a détourné la tête. J'ai esquissé un sourire de satisfaction.

 

Le vendredi suivant, je portais une jupette. Je suis allée le voir après le cours, prétextant que j'avais absolument besoin des références d'un livre. C'était l'hiver et il faisait nuit dehors. La lumière était allumée dans la salle. J'ai attendu que les étudiants sortent et je lui ai parlé. Il avait un air timide si charmant ! Je tremblais. J'avais du mal à noter la référence du livre. Il s'en est rendu compte. M’interrogeant du regard, il a lentement fermé la porte de l’amphi à clé et m'a gentiment embrassée dans le cou. Heureusement, mon petit dégourdi a vite passé ses mains sous ma jupe. Il a suivi la courbe de mes fesses, puis il m'a appuyée au bureau. Il a relevé ma jambe et a descendu son visage à hauteur de mon sexe. Je sentais avec une grande excitation son souffle sur mon entre-jambe. Il a écarté mon petit string de dentelle noire et a approché ses lèvres des miennes.


La pointe de sa langue s’est faite toute tendre pour défroisser les pétales roses de ma vulve. Tranquillement il les a lissées jusqu’à ce que le petit guetteur tendu et pourpre de mon clitoris roule dans le mélange de sa salive et de ma cyprine abondante. Ma chatte était trempée. Ma respiration s'est accélérée, une chaleur a envahi mon corps. J'ai fermé les yeux. Bientôt, j'ai repris le dessus et, avec un air insolent, je l'ai poussé contre le bureau. J'ai caressé son sexe à travers son pantalon, puis je me suis mise à genoux. J'ai ouvert sa braguette et j'ai masturbé doucement sa verge. J'ai mis de la salive sur mes doigts et j'ai caressé son gland avec la paume de ma main.

 

Ensuite, je l'ai regardé droit dans les yeux et j'ai pris sa queue entre mes lèvres. J'ai alterné les va-et-vient de ma main et de ma bouche en lui donnant des petits coups de langue.


Enfin, je lui ai mis un préservatif et je l'ai couché sur le bureau. Je suis venue m'asseoir à califourchon sur lui pour m’empaler d’un seul coup avec un grognement de bonheur. Je montais et je descendais sur sa verge. Il s'est mis en appui sur ses coudes et on s'est embrassés. Je gémissais, ma mouille coulait sur son sexe. Il s'est ensuite relevé et m'a prise en levrette sur le bureau. Le plaisir était si intense que je me mordais les lèvres ! Il s'est retiré, il a ôté son préservatif et je me suis assise sur le bord du bureau. Je l'ai masturbé. Son sexe était dur, chaud et gonflé dans ma main. J'attendais de sentir couler le sperme chaud sur mes seins et de lécher mes doigts pour pouvoir le goûter !

 
Je me suis réveillée. J'étais dans mon lit, une main sur le sein, l'autre plongée entre mes cuisses. Mon sexe était tout mouillé et ma respiration haletante. C'était un vendredi matin... Cher prof, il ne s'est malheureusement rien passé entre nous, mais sachez que vous avez hanté mes nuits et que mes doigts m'ont donné de nombreux orgasmes à la seule évocation de votre charmante image.
Par Maxime - Publié dans : Le courrier des lecteurs coquins
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Mardi 19 juin 2 19 /06 /Juin 23:39
Comment raviver la flamme...

Sabine et moi sommes deux grandes amies. Nous avions les mêmes frustrations et le même souci : comment ranimer la flamme de nos hommes ? Une idée nous est venue en feuilletant des revues féminines, qui ne sortent plus un numéro sans la désormais incontournable rubrique « sexo ». Dans un des numéros, Francis y faisait l'éloge, du minou de sa femme Marie France …

 

Mon amie et moi nous sommes procurés deux magnifiques strings noirs en dentelle avec une chaînette, et nous avons prévu un dîner avec nos maris chez Sabine.
Dans la matinée du jour « J », je suis allée chez Sabine, et nous avons préparé toutes les deux le repas du soir. Nous avons eu ensuite tout l'après-midi pour nous. Nous avons fait nos essayages. C'était la première fois que nous nous mettions nues l'une devant l'autre. D'habitude, je suis un peu complexée car j'ai une petite poitrine mais là, je me sentais parfaitement à l'aise. Nous avons enfilé nos strings, mais nous avons vite constaté que, contrairement à Françoise, la lectrice de la revue en question, cela ne rendait pas terrible avec nos touffes. Nous avons décidé de nous raser complètement.

On a enlevé le plus gros au ciseau, puis on a pris le rasoir. Mais impossible de le faire soi-même.

J'ai demandé à Sabine de me le faire. Ses doigts tendaient ma peau, me palpaient et se glissaient le long de mes lèvres. Ça me faisait mouiller, c'était excitant et relaxant en même temps.

Ensuite, ce fut à mon tour de la raser. J'ai trouvé ça plaisant. C'était la première fois que je touchais l'intimité d'une autre femme. Elle était allongée, les yeux fermés, pendant que je m'occupais de son sexe, que je le rendais beau. Elle aussi était luisante de mouille et j'avais une envie folle de la goûter, de la lécher, mais je n'ai pas osé.

 




Nous avons terminé en prenant un bain toutes les deux. Nous nous sommes lavées mutuellement, caressé les seins et les fesses. C'était plein de sensualité, mais nous n'avons pas osé franchir la limite.

Nous avons ensuite remis nos tenues sexy. Cette fois, nos foufounes étaient vraiment mises en valeur, surtout celle de Sabine avec ses petites lèvres d’un brun nacré, finement dentelées et qui ressortent largement de son sexe fermé. Nous avons enfilé jupes, bas et jolis chemisiers. Nous étions enfin prêtes.




On a répété un peu la mise en scène, on était surtout très angoissées. Comment réagiraient nos maris ? Déjà l'épilation totale, c'était nouveau, mais le reste... Quand ils sont arrivés et qu'ils ont vu l'ambiance chaleureuse de la maison et le soin que nous avions mis à notre apparence, ils étaient ravis. Sabine et moi étions très excitées. Nous parlions sans arrêt. Nous avons orienté la conversation sur le sexe, et sur les hommes qui en promettent beaucoup mais qui ne tiennent pas leurs promesses. Ils se sentaient un peu mal à l'aise... Alors, sabine leur a dit qu'on avait une surprise pour eux. On les a fait asseoir sur le canapé, on a éteint les lumières et on a ôté nos jupes et chemisiers. On a allumé une lumière douce et on est apparues avec nos tenues sexy en ondulant des reins, la foufoune parfaitement glabre et bien visible. On aurait dit que la foudre leur était tombée dessus.
Ils ne disaient rien, ne bougeaient pas, complètement époustouflés.
Ils nous ont suivies dans la chambre, sans dire un mot. Nous nous sommes allongées en travers du lit sur le dos, l'une à côté de l'autre. Nous avons relevé nos cuisses sur la poitrine, et Sabine leur a dit : "Et alors, restez pas comme ça ! Montrez ce que vous savez faire !" Ils se sont regardés, tout gênés. Puis, son mari s'est déshabillé en disant : "Vous êtes folles !..." Patrick a suivi. Ils nous ont dévoré le sexe sans ôter nos strings, puis ils nous ont prises. Nous nous tenions la main. C'était extraordinaire de voir nos hommes nous baiser ainsi. Le lit remuait beaucoup, mais il a tenu…

 

Après ça, nous sommes tous retournés finir de dîner sans nous rhabiller. Naturellement, nous avons parlé de sexe comme jamais nous n'en avions parlé. Nos maris étaient subjugués.

En fin de soirée, chaque couple a atterri dans une chambre. Patrick et moi nous sommes livrés à un festival de caresses et il m'a prise une deuxième fois. Cela faisait plusieurs années que ce n'était pas arrivé. Sabine et moi n'avons vraiment aucun regret, et quelque chose de très fort est né entre nous deux.
Par Maxime - Publié dans : Le courrier des lecteurs coquins
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Jeudi 31 mai 4 31 /05 /Mai 17:50
St Valentin – On n’a qu'une vie
Lyse.
Je m'appelle Lyse.

Quand j'ai rencontré mon mari, il croyait aux plaisirs charnels associés à l'amour avec un grand « A ». Son romantisme me charmait, sa douceur et sa patience aussi. Avec lui, j'ai connu les plaisirs de la chair, comme on dit ….

 

Mais récemment, une nouvelle étape a été marquée dans notre vie amoureuse.

Après dix ans d'union, nous nous entendions toujours très bien mais nous n'avions plus la même activité sexuelle qu'au début. Je voyais bien que cela attristait mon mari. Avec les enfants et le travail, j'étais fatiguée. Ces facteurs étaient pour beaucoup dans mon manque d'intérêt pour le sexe. Un jour, en lisant un article de la revue Psychologie, j'ai compris qu'on n'avait qu'une vie, que je devais en profiter et faire profiter mon mari de la sienne. Ou plus exactement, qu'il me suffisait d'un petit effort pour le rendre vraiment heureux.

J’adore quand il est heureux !
 

Comme ça lui arrive de temps à autre, mon mari m'a proposé de sortir de notre routine et de nous ressourcer en passant deux jours seuls sans les enfants.

Au programme : restaurant, cinéma et hôtel…

J'ai mis mon plan en action dès que nous sommes montés dans la voiture et que la voiture eu démarré. Ma main a caressé son bras pendant qu'il passait les vitesses, puis elle est descendue jusqu'à l'appétissante bosse qui se formait déjà sous son pantalon. J'ai sorti son sexe de sa prison et je l'ai caressé tranquillement, là, quasiment dans la rue.
Il était aux anges.
Il a glissé sa main entre mes cuisses, sans quitter la route des yeux. Il s'est tourné vers moi un sourire d’adolescent aux lèvres, quand il a constaté que je ne portais pas de culotte. Il me l'avait souvent demandé mais je le lui avais toujours refusé. Ce n'était là que le début de sa surprise.

Lorsqu'au restaurant, j'ai commencé à le caliner avec mon pied sous la longue nappe, j'ai bien cru qu'il allait tout recracher sur la table de surprise . Je me suis absentée deux minutes pour aller aux toilettes et, quand je suis revenue, je lui ai réservé une nouvelle surprise. Je lui ai glissé à l'oreille que je m'excusais, mais que j'avais été obligée de remettre un string, sinon le plug anal que je portais au fond de moi et les boules de geisha qu'il m'avait achetées (mais que je n'avais jamais portées …) risquaient de tomber.

J'ai bien cru qu'il allait s'étouffer. Il a glissé discrètement sa main sous ma robe pour vérifier mes dires et est devenu écarlate !

Je crois que je ne lui ai jamais enlevé aussi rapidement ses vêtements quand nous nous sommes retrouvés dans la chambre. J'ai enfourné avec un réel plaisir son bel engin dans ma bouche. Il m'a caressé longuement comme j’adore, puis il m'a retiré le petit godemiché ainsi que les boules de geisha. Ses doigts ont pénétré exceptionnellement mon petit trou, - qui n'avait plus rien de petit - et ma fleur toute émoustillée.

Le plaisir qui montait en moi promettait une jouissance exemplaire. Je me suis mise en 69 et je l'ai sucé, en introduisant un doigt dans son petit trou. Il adore cette caresse, mais j’en organise la rareté !

Je sentais l'explosion imminente, pour lui comme pour moi. Je me suis appliquée à le sucer sur toute la longueur de son sexe et, comme à son habitude, il m'a prévenue qu'il était sur le point d'éjaculer. Je lui ai réservé une autre surprise : j'ai tout avalé ! Ce qui est rare !

Puis, je me suis laissé allé et ai joui à mon tour, en quasi simultané,  pénétrée par les deux orifices de plusieurs doigts …

 

Tendrement enlacés, nos corps bouillants et trempés de sueur, nous sommes allés prendre une douche. Nous nous sommes mutuellement savonnées, caressés et embrassées comme aux premiers jours de notre rencontre. À peine sortie de la douche, je me suis jetée sur le lit à plat ventre. J'étais encore humide de l'intérieur. Je ne me reconnaissais pas. J'ai attrapé un coussin pour surélever mes fesses et je lui ai dit que j'étais toute à lui et qu'il pouvait faire de moi ce qu'il voulait. Il n'en croyait pas ses yeux.

II a enduit de gel sa belle queue (j’avais tout prévu !) et il l'a pointée à l'entrée de mon anus qui n'en pouvait plus d'attendre.

Il s'est enfoncé lentement au début et, devant l’absence de résistance significative de l’endroit, m’a empalé d'un coup.

Je n'ai éprouvé aucune douleur, tellement j’étais physiquement et mentalement prête. Jamais auparavant je n'avais ressenti cela. Je haletais, je gémissais, je huralsi presque ! Ma main se déchaînait sur mon clitoris dressé comme un coq au combat.

Soudain, la jouissance est venue, fulgurante, je me suis effondrée sur le lit.

 

Lorsque j'ai finalement repris mes esprits, je me suis demandé comment j'avais pu passer à côté de tout ça pendant tant d'années. Tout ce que je peux dire, c'est que cela a changé ma vie et celle de mon mari. Il est maintenant heureux comme jamais.

Il a retrouvé l'entrain et la joie de vivre qui m'avaient tant séduite autrefois. On n'a qu'une vie, et quelle vie ! Et il faut si peu de choses, finalement …

 
Merci mon amour.
Lyse.
Par Maxime - Publié dans : Le courrier des lecteurs coquins
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Mercredi 25 avril 3 25 /04 /Avr 17:39
Un dîner "corsé"
 

Depuis quelques mois, mon mari achète des livres sur l’érotisme et la sexualité. Je les feuillette aussi et cela nous procure une certaine excitation, surtout quand il me caresse en même temps.

 

L'été dernier, en juin, nous étions en vacances dans le sud de la Corse et, sur la plage, nous avons fait la connaissance d'un homme de 38 ans. Il venait s'installer près de nous chaque jour. Nous nous sommes liés d'amitié. Il était très beau, musclé, bronzé, avec de grands yeux bleus, et divorcé. Mon mari a suggéré qu'on l'invite à dîner le lendemain, car c'était notre dernier jour de vacances. À la demande insistante de mon époux, j'ai mis une petite jupe blanche courte et fendue, un bustier en voile noir transparent et enfin, un string rouge et noir en dentelle. Il tenait à ce que cet homme me regarde et ait envie de moi durant cette soirée. J’étais vaguement inquiète mais en même temps assez excitée à cette idée.

 

Notre invité est arrivé, un énorme bouquet de fleurs à la main. Pour l'apéritif, mon mari l'a fait asseoir près de moi sur le canapé. J'ai remarqué qu'à chaque mouvement de mon corps, il scrutait mes seins à travers mon bustier. Mon mari aussi s'en est aperçu. Tout à coup il lui a demandé de me les caresser avec douceur pour voir l'effet que cela me ferait. Abasourdie, je n’ai pas eu le temps de réagir et je me suis laissée faire, aidée par l'alcool que j'avais bu. Ce garçon, assez timide, a approché ses mains de mon bustier, a effleuré mes tétons, puis il m'a caressée pendant quelques minutes. Je sentais ma poitrine durcir et j’en avais un peu honte. Parallèlement, j’aurais du stopper rapidement ce jeu inhabituel et saugrenu, mais la scène m’avais totalement hypnotisée et je restai passive, sans réaction.

 

Mon époux m'a fait mettre debout pour que notre ami puisse me caresser de derrière. De nouveau j’ai obéis sans protester, je ne me reconnaissais pas. Ce dernier s'est levé et s'est collé dans mon dos. Je sentais une bosse contre mes fesses, j’ai fermé les yeux, désormais consentante à mon grand désarroi et je n’ai pu m’empêcher de me frotter légèrement. J’étais vaincu et à leur merci. Mon mari s’est placé devant moi, a passé une main entre mes genoux et est remonté le long de mes cuisses jusqu'à mon string. Il a demandé à l'homme d'ôter mon bustier, de caresser et de sucer mes seins nus et mes tétons. Il a écarté mon string pour titiller mon clitoris. Je me sentais couler sur ses doigts. Rouge de confusion je décidais de ne plus ré-ouvrire les yeux . Etait ce un rêve ? Un cauchemar ? …

Il a fait tomber ma jupe.
Je me suis retrouvée quasiment nue devant notre invité.
Quelques secondes plus tard, j'étais allongée sur le canapé, jambes et string écartés. L'homme me léchait le sexe. Mon mari, qui nous regardait sans doute en se masturbant, lui a demandé de me faire jouir avec sa langue. Excités comme je l’étais, cela n'a pris que quelques minutes. Cette jouissance intense m'était inconnue. Mon mari dirigeait toujours les opérations. Il m'a prise en levrette et m'a dit de caresser et de sucer le sexe de notre ami, pour que celui-ci puisse éjaculer entre mes seins. Après le dîner et le départ de cet homme, j'ai fait l'amour avec mon mari en lui avouant que, pendant ma jouissance, je rêvais même que j'avais le membre de l'inconnu dans mon ventre.

 

Pour cette première expérience, j'ai été brutalement surprise mais secrètement comblée. Depuis, mon homme aimerait organiser une soirée avec deux hommes   inconnus   qui   me feraient l'amour. Ils auraient les yeux bandés pour qu'ils ne puissent pas me reconnaître...

Par Maxime - Publié dans : Le courrier des lecteurs coquins
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Vendredi 6 avril 5 06 /04 /Avr 23:28
La première fois
 

Agée de 24 ans, j’aime lire tous les blogs qui traitent de sexe. J'ai découvert Eroticblog grâce à ma cousine et maintenant, je ne peux plus m'en passer. Je tenais à vous écrire pour vous montrer à quel point ces lectures ont influencé ma vie sexuelle.

 Je suis enceinte de six mois. Cette grossesse ne fait que décupler ma libido, et mon mec est ravi. Un soir, alors qu'il venait de rentrer du boulot, je me suis approchée de lui avec la ferme intention de faire l'amour. Je me suis blottie contre lui sur le canapé. Cela faisait quelque temps déjà que je fantasmais sur la sodomie, mais je n'avais pas encore osé franchir le cap.

J'ai commencé à le toucher et son sexe n'a pas mis longtemps à grossir entre mes mains. Puis, je lui ai fait une petite gâterie avec la bouche. Il aime que je le suce et ne cesse de me complimenter sur mes talents. Il s'est allongé par terre et je me suis mise à quatre pattes à côté de lui tout en continuant à le sucer. Il a laissé courir ses doigts dans ma chatte toute mouillée, puis m'a caressé le petit trou avec ses phalanges trempées de ma liqueur. Mon anus s'est peu à peu dilaté et il y a introduit un doigt qu’il a faite aller et venir lentement. J'étais légèrement anxieuse mais, très vite, l'excitation a pris le dessus.

Je n'en pouvais plus et je voulais qu'il pénètre mes fesses avant que je ne jouisse de ses caresses. Je l'ai regardé droit dans les yeux et je lui ai dit crûment : "Encule-moi !"
Je suis restée à quatre pattes et j'ai baissé la tête en lui proposant mon postérieur. Il m'a écarté les fesses et a commencé à me caresser le minou et l'anus de la pointe de la langue. Je me suis rapidement inondée de plaisir, son gros gland s’est alors appuyé sur mon petit trou. Mon sphincter a résisté, un peu, puis je me suis relâché. A la pénétration, j'ai ressenti une légère douleur et son sexe s’est enfoncé doucement en moi. Une fois le gland entièrement passé, le plaisir a été immense. Très vite, je ne savais plus où j'étais.

Je gémissaits de plus en plus fort. Enfin, j'ai senti son pénis durcir encore plus et cela m'a aussitôt déclenché un orgasme des plus terribles. J'ai crié, tant la jouissance était intense alors que mon homme se déversait dans mes entrailles.

Mon copain m'a remerciée de lui avoir donné tant de plaisir et, maintenant, comme mon ventre me gêne, la sodomie est devenue notre pratique favorite. C'est un véritable plaisir.

Pour celles qui hésitent encore, lancez-vous ! Il faut essayer !

Par Maxime - Publié dans : Le courrier des lecteurs coquins
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Jeudi 15 mars 4 15 /03 /Mars 17:53

Je m'appelle Sandrine.
J'ai 21 ans, je suis lesbienne et j'aime m'exhiber, surtout devant des femmes.

Oui, j'aime les femmes !
J'achète des DVD, des revues érotiques et je parcours tous les blogs qui me tombent sous la main, pour le plaisir de voir des corps féminins, mais je regrette qu'il n'y ait pas plus de récits de lesbiennes sur over-blog.

Je suis originaire de Sicile mais j'ai toujours vécu en France. J'assume parfaitement mon homosexualité et je pense que beaucoup de femmes dites "hétéros" sont également bisexuelles, à des degrés très différents. C'est toujours dans la plus grande tendresse que je fais partager la découverte d'attouchements, de caresses ou d'introductions vaginales ou anales dont elles ne soupçonnaient même pas l'existence ! Pour séduire, j'utilise les mêmes armes que les femmes hétéros, et la lingerie en fait partie. 

Je n'hésite pas à acheter des dessous haut de gamme. J'ai profité de l'ouverture d'un nouveau magasin dans ma région Grenobloise pour me faire un petit plaisir. Comme toujours, j'ai demandé à essayer les sous-vêtements. La vendeuse était toute « mimi ». Sa timidité me plaisait. Elle m'a indiqué une cabine. J'ai tiré le rideau derrière moi. J'ai ôté mon petit haut, mon short et mes sous-vêtements. J'ai essayé les quelques articles choisis. J'ai commencé par un soutien-gorge en dentelle blanche. Je l'ai ôté et j'ai enfilé une nuisette rouge très fine. Alors que je prenais des positions un peu "hot" pour voir l’effet que je ferais, j'ai senti que l'on m'espionnait. J'ai reconnu l'employée et j'ai fait comme si de rien n'était. J'ai remonté la nuisette, livrant mes formes au regard de cette jeune fille à l'apparence timide. Je devais trouver un prétexte pour la faire entrer. Je l'ai appelée en lui demandant si elle pouvait aller me chercher la culotte et le porte-jarretelles assortis à la nuisette rouge. Quand elle est revenue, elle a discrètement écarté le rideau, et m'a tendu les dessous à bout de bras. 

Je lui ai demandé de m'aider à fixer le porte-jarretelles. Hésitante, elle est entrée et s'est mise à genoux devant moi. Elle s'affairait à mettre les attaches mais elle tremblait comme une feuille. Je voyais bien qu’elle était très troublée, mais je l’ai laissé mijoté un moment. Puis j’ai finis par l’aider. Je n'ai pas hésité à lui prendre les mains. Tout en guidant ses gestes, je remontais ma jambe le long de son visage. Ses mains se sont mises à caresser mes cuisses. Ses doigts s'approchaient de mon sexe. Un frisson m'a parcourue. Lorsqu'elle s'est relevée, je lui ai dit que je trouvais, les jarretières trop longues. Elle s'est empressée de les ajuster.


Profitant de son émoi, j'ai pris ses mains et je les ai posées sur ma poitrine. À ma grande surprise, elle n'a pas eu de geste de recul. Elle me tenait les seins, et bougeait doucement ses doigts au niveau de mes tétons, les joues toutes rouges et sans oser me regarder

  Je lui ai demandé son prénom, son âge. Elle s'appelait Stéphanie et avait 19 ans. Elle faisait un remplacement de vacances dans cette boutique de lingerie. Elle m'a aidée à enlever la nuisette, les bas, et enfin la culotte. Ses doigts ont effleuré ma vulve. J'étais excitée. Stéphanie a remarqué que la doublure de la culotte était humide. Je lui ai suggéré d'essayer la même nuisette. Je l'ai déshabillée. Elle n'avait pas de soutien-gorge, sa poitrine était ferme et bien galbée. J'ai fait glisser son pantalon moulant. J'ai ôté sa culotte. Sa chatte duveteuse et blonde était très fine. J'y ai déposé un baiser. Elle a fermé les yeux, tétanisée. Je l'ai vêtue de la nuisette et de la culotte rouge. Ses seins étaient magnifiques. J'ai couvert son corps de baisers, mes mains parcouraient ses formes, descendant dans la raie de ses fesses jusqu'à son minou. Je la faisais mouiller.

C'est toujours une grande satisfaction que de donner du plaisir et, comme je voulais garder l'odeur de cette inconnue, je l'ai touchée au travers de la culotte. Rapidement, j'ai senti sa mouille imprégner le tissu. Elle gémissait à chaque fois que j'effleurais son clitoris. Elle était un peu plus détendue maintenant. Nous prenions beaucoup de plaisir à ce petit jeu pervers.

La sonnerie de la porte d'entrée nous a interrompues. C'est avec regret que nous avons dû arrêter nos ébats.

Deux semaines plus tard, je me suis à nouveau rendue dans ce magasin de lingerie pour revoir Stéphanie. Une employée m'a dit qu'elle avait terminé son remplacement. Dommage, car j'étais venue avec l'intention de l'inviter à passer la soirée avec moi.
Par Maxime - Publié dans : Le courrier des lecteurs coquins
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