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Votre serviteur

Je m'intéresse à l'art sensuel à travers ses différentes productions artistiques.

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Mercredi 2 avril 3 02 /04 /Avr 02:02

Marlène 17 - Enchaînée et caressée toute la nuit

 

Depuis une bonne heure, la Rolls  serpentait avec lenteur sur un mince filet d'asphalte qui  louvoyait au beau milieu d'une immense forêt de chênes moussus et sans âge.
Tout à coup, au centre de la lumière indécise des phares, se dessina enfin la lourde silhouette de la tour principale du château. La belle anglaise rutilante glissa ses roues en silence sur le pont-levis qui enjambait la fosse liquide des douves et stoppa sans un bruit devant la porte majestueuse de la forteresse.
Le chauffeur, vint nous ouvrir la porte et nous sortîmes toutes les deux des fauteuils de cuir à l'odeur entêtante.

Il passa derrière nous, dégrafa le large manteau de laine qui nous protégeait, et les roula avec soin sur son bras avant de les déposer sur la banquette arrière

Un puissant projecteur s'alluma et nous baigna de sa lumière crue. Le chauffeur en profita pour parcourir de son œil averti le profil nos corps nus. Je le vis s'attarder sur le bas-ventre de Cécile,  appréciant d'un hochement de tête l'extraordinaire proéminence du pubis dodu et parfaitement lisse, fendu très haut par un profond sillon carminé dont dépassaient deux beaux pétales de chair fripée et violacée.
Quelques instants plus tard, nous gravissions le large perron de la demeure entourée d'arbres séculaires, parmi tout un concert de chants d'oiseaux. Pas le moindre bruit, en revanche, ne venait de l'intérieur, et lorsque Cécile pressa le bouton de la sonnette, nous n'entendîmes retentir aucune sonnerie...
Je désespérais de voir venir quelqu'un lorsque la porte s'ouvrit enfin, avec une extrême lenteur. Un asiatique au crâne rasé et de petite taille apparut dans l'embrasure. Il ne marqua aucune surprise en découvrant notre nudité totale, nous fit simplement signe d'entrer et nous accompagna silencieusement jusqu'à un petit salon plongé dans une étrange pénombre.
- Asseyez-vous, le maître vient tout de suite, gazouilla-t-il d'une voix claire. Le maître était lui aussi un asiatique, nettement plus âgé que son serviteur, le visage aussi ridé qu'une pomme cuite. Il nous regarda un bon moment avec un énigmatique sourire.
Désirez-vous rester ensemble ou préférez-vous être séparées? Finit-il par nous demander.
Nous préférons être séparées, se dépêcha de répondre Cécile.
C'est comme vous voulez, dit le vieil homme en souriant. Et combien de temps souhaitez-vous rester ?
Toute la durée d'un programme, si vous n'y voyez pas d'inconvénient.
Je n'en vois aucun. Je vais vous en commu­niquer le contenu, afin que vous puissiez choisir, dit le vieux en se dirigeant vers un secrétaire qui se trouvait au fond de la pièce.
Inutile, l'interrompit Cécile. Mon amie prendra le numéro trois dans sa totalité. Quant à moi, je prendrai le huit jusqu'à ce qu'elle en ait terminé...
Le  huit,  vraiment?  S'étonna  l'homme. L'avez-vous déjà demandé, madame ?
Non, jamais. Mais cela n'a pas d'importance. J'en connais toutes les phases dans les moindres détails et je me sens en état de l'apprécier aujourd'hui. Je suis en forme...
Je vois en effet que madame a effectué une bonne préparation, ronronna l'Asiatique en pointant un ongle interminable en direction des traces violacées marquant le beau corps de Cécile.

Elle devrait être en état de goûter les nombreux plaisirs qui vont lui être proposés, d'en goûter toutes les nuances...
J'y compte bien, approuva la jeune femme. J'espère une fois de plus être satisfaite de vos services et avoir envie de revenir chez vous...
Vous le serez, je n'en doute pas. Parmi nos nombreuses clientes, aucune jusqu'ici n'est repartie déçue... Au fait, pour le règlement, je sais que vous avez un compte ouvert chez nous... Vous m'excuserez, mais je n'ai pas l'honneur de connaître madame fit-il en me glissant un regard en coin, vaguement méfiant...
-         Madame est une amie, je l'invite. Vous mettrez le tout sur mon compte...
-      Très bien, accepta le vieil homme en s'inclinant légèrement.
Là-dessus, il s'éloigna à petits pas rapides et, ouvrant la porte du salon, il frappa trois fois ses petites mains fripées l'une contre l'autre. Tout de suite deux hercules, des mongols, pensai-je, à cause de leur crâne rasé, de leurs longues moustaches et de leur aspect terrifiant, simplement vêtus d'un slip de peau, pénétrèrent dans la pièce tenant chacun à la main une pièce de tissu noir. L'un se dirigea vers Cécile, l'autre s'approcha de moi. J'étais loin d'être rassurée et la gêne que j'éprouvais à cause de ma nudité passa brusquement au second plan.
- Rassemble tes cheveux au-dessus de tête ordonna Cécile en joignant le geste à la parole, comme ça...
Je n'eus pas plutôt fait ce qu'elle me montrait qu'une cagoule me fut passée sur la tête. Attachée par des cordonnets au niveau de la nuque, elle m'aveuglait totalement et m'aurait même empêchée de respirer, si une ouverture n'avait pas été prévue à hauteur de la bouche. Je fus plongée dans le noir le plus absolu, les sons m'arrivaient étouffés par l'épaisseur du tissu.
Celle-ci pour un huit, et celle-là pour un trois, entendis-je glapir le vieux. Vous avez bien compris?

(auteur ?)

De gros doigts s'emparèrent de ma main gauche et l'on m'entraîna vers une destination inconnue. Tout d'abord hésitante, craignant de m'entraver, de butter sur quelque obstacle, je pris peu à peu confiance dans mon guide qui m'emmena tout d'abord à travers un long couloir, me fit ensuite descendre un escalier et puis me fit longer un nouveau couloir pour me faire marquer un temps d'arrêt devant ce que je sup­posais être une porte. J'avais hâte qu'elle soit ouverte, parce que nous devions nous trouver dans un sous-sol et que la température avait assez nettement fraîchi.
Je l'entendis grincer et nous pénétrâmes dans un endroit où il faisait bien meilleur. Je n'eus guère le temps, cependant, d'apprécier la tiédeur de l'air : je me sentis immobilisée tout à coup, renversée en avant et puis soutenue par de puis­santes mains qui, me saisissant aux aisselles et aux genoux, me portèrent à l'horizontale pour me déposer bientôt à plat ventre sur un objet lisse et froid. C'était une sorte de couche de métal dont la forme concave épousait vaguement celle de mon corps. Un instant plus tard, je sentis qu'on intro­duisait ma tête dans une ouverture cerclée d'un bourrelet de cuir, ou peut-être de caoutchouc. Ensuite, on me passa des sangles qui m'immobili­sèrent étroitement, mais sans être pénibles à supporter.
Je n'étais toutefois pas vraiment en place. Je le fus lorsque l'on m'eut à nouveau déplacé, de sorte que mon pubis et ma poitrine s'emboîtent parfaitement dans des ouvertures pratiquées dans l'espèce de moule creux sur lequel j'étais allongée. Des doigts habiles tirèrent bientôt les lobes de mes seins vers le bas, afin de bien dégager leur masse ferme et élastique.
Le reste alla très vite. Chacune de mes jambes, tirée de côté, fut placée dans une gouttière et entravée de nouvelles sangles qui m'écartelèrent au maximum. Quant à mes bras, ils furent allongés de chaque côté de ma tête et tirés vers l'avant pour être entravés à leur tour. Une dernière courroie, épaisse celle-là, fut placée au niveau de ma taille pour achever de m'immobiliser et aussi pour me plaquer étroitement contre la surface sur laquelle je reposais. Sa forme était telle qu'elle me cambrait fortement et projetait autant que possible ma croupe vers le haut. Prisonnière de cet étrange attelage, assourdie, aveuglée, j'imaginais sans aucune peine le spectacle que devait offrir ma croupe relevée aussi insolemment...

(auteur ?)
Je me demandais ce qu'on allait bien pouvoir faire de ma personne ainsi exposée. Tout était possible, et je n'étais pas très fière, à dire vrai ...
En réalité, les débuts furent extrêmement agréables, beaucoup plus en tout cas que ce que j'espérais. Chaque bout de mes seins fut happé par une bouche humide et chaude, tandis que des doigts d'une grande douceur en pétrissaient habilement les globes. Quant à mon sexe, il devint la proie de lèvres entreprenantes, d'une langue experte et active, cependant que des doigts l'ouvraient largement.
Bientôt, des mains de velours se mirent à courir sur mes cuisses, sur mes reins et sur mes fesses tendues. Au bout d'un moment, c'est tout mon corps qui fut à la fête et sous cette avalanche de caresses, je me mis à fondre littéralement de plaisir. Toute crainte s'était envolée et je ne pensais plus qu'à la satisfaction de mes sens exaspérés par tant d'attentions à la fois. Tout mon être conspirait à l'explosion de la jouissance, que je sentais se cristalliser au fond de mon ventre et de mes reins. Le premier orgasme ne tarda pas à venir et me fit vibrer longuement, et pousser des plaintes rauques. Cependant, comme je m'y attendais un peu, ni les bouches, ni les langues, ni les doigts qui m'avaient conduite à cet excès de plaisir ne voulurent relâcher leur emprise, en sorte que leur zèle, un moment, me devint presque insupportable.

(auteur ?)

Passé le cap délicat de l'après-jouissance, les lèvres se faisant encore plus pressantes, les langues plus audacieuses et les doigts plus impérieux, je sentis mon désir renaître lentement. Lapée, léchée, sucée, aspirée et tripotée de partout, je ne tardai pas à sombrer une seconde fois dans les affres du plaisir. Je criai, mais cette fois, curieusement, je ne connus pas de retombée. Grâce au talent des officiants auxquels je m'étais cette fois totalement abandonnée, je fus mainte nue sur les plus hauts sommets de la jouissance, il faut dire que les dents étaient venues se joindre aux lèvres, aux langues et aux doigts pour m'amener aux frontières de la souffrance.

Mes tétons furent mordillés, mâchés, serrés et soudain léchés avec délicatesse, pour être mor­dillés encore, et faire l'objet de nouvelles et savantes tracasseries. On déformait mes tétons en les pressant sans ménagement afin que saillent plus encore les aréoles dures et les bourgeons exaspérés par des bouches voraces.

D'autres dents s'acharnaient sur les lèvres de ma vulve, sur mon clitoris turgescent et dilaté, cependant que des doigts prenaient possession de mon vagin inondé de ma liqueur et de salive, s'insinuaient entre mes fesses pour assouplir et distendre mon orifice anal...
Saisie de tous côtés, investie sans répit, je n'en finissais pas de hurler l'explosion sans cesse recommencée de mes orgasmes. Incapable de supporter plus longtemps l'intensité de cette jouissance, je fus prise d'un éblouissant vertige et perdis conscience...
L'aiguille qui se planta dans ma fesse me fit revenir à moi, ou plus précisément elle me fit retrouver l'usage de mes sens. J'ignorais totalement la nature du produit que l'on m'injectait, mais quelques minutes plus tard, j'étais prête à recommencer, prête à prendre à nouveau du plaisir.
J'attendais du plaisir et c'est de la souffrance qui arriva, une souffrance que je commençais à connaître. Sous la violente déflagration des lanières venant cingler ma croupe, offerte dans toute son amplitude, sans aucune protection, je poussai une vive exclamation de douleur. Rapidement, j'eus très mal et puis cela devint carrément intolérable. Sous les attaques impitoyables du cuir venant claquer sans relâche sur mes fesses, je n'arrêtais plus de hurler ma souffrance.
Des reins jusqu'aux cuisses, mon postérieur se transforma en un brasier dévorant. Une fois de plus, sous les cruelles cinglées, je vécus toutes les phases qui font de la flagellation une véritable torture. Lorsque j'eus épuisé tout mon potentiel nerveux, lorsque je fus à bout de résistance et de volonté, je devins une bête humaine, une bête hurlant sous l'intolérable supplice. Ce que je vivais là était sans commune mesure avec ce que m'avait fait endurer François (voir Marlène 8 - nuit initiatique). Cette fois en effet, à cause du produit que l'on venait de m'injecter, je n'avais pas d'échappatoire, il m'était impossible de trouver refuge dans l'évanouissement...

(auteur ?)

Que cela me plaise ou non, il fallait que je boive le calice jusqu'à la lie. Ô, tourments de la flagellation!... Les lanières qui s'abattent encore et encore sur l'épiderme toujours plus douloureux semblent un instant vouloir adhérer, coller à lui en un baiser de feu donné par mille bouches incandescentes. Elles avivent les nerfs, contractent les muscles et meurtrissent les chairs qu'elles semblent arracher par lambeaux. Elles reviennent sans cesse à la charge, attirées irrésistiblement par les fesses qui s'ouvrent et se ferment, agitées de crispations spasmodiques.
Impuissant à s'opposer à la flagellation qui crépite sur ses parties les plus sensibles, qui lui fait endurer mille maux, le corps se cabre dans ses liens, hurle en vain et ses cris se mêlent à ses sanglots...
Combien de temps ai-je hurlé, vociféré, pleuré sous l'infernale averse? Sans doute une éternité. Quoi qu'il en soit, longtemps après que la correction eut cessé, je sanglotais encore. Ce furent de curieux effleurements parcourant mon dos, mes reins, ma gorge, mes cuisses, ma croupe et mon sexe qui vinrent tarir mes pleurs.
Bientôt, les innombrables terminaisons nerveuses irriguant ma peau m'instruisirent de cette nouveauté : les lèvres de mon sexe étaient mordues doucement par un étrange instrument, pro­bablement de petites pinces métalliques. Chaque lèvre était ainsi le siège d'une petite brûlure, mais, par comparaison à ce que je venais d'endurer, la douleur était tout à fait supportable.
On me caressait à nouveau en abondance, mais ce n'étaient ni des doigts, ni des bouches, ni des langues. Il s'agissait de tout autre chose, étant donné la subtilité des caresses. On m'effleurait à coup sur avec des plumes. Des plumes de paon, ou d'autruche, avec leur duvet... Cela devint en tous cas vite insupportable : si les lanières m'avaient procuré une abominable souffrance, ces frôlements suscitaient un malaise qui ne valait guère mieux. Ils firent naître en effet sur toute la surface de mon épidémie une intense volupté, mais comme rien ne venait jamais la satisfaire, elle ne tarda pas à se transformer en torture.
Sans doute n'éprouvais-je aucune douleur à proprement parler, mis à part celle qui continuait de lanciner ma croupe mise à mal par le fouet, mais sous les effleurements qui ne se fixaient nulle part, dont la perpétuelle migration me faisait perdre la tête, s'accumulait un désir intolérable à force de ne pouvoir s'évacuer. J'aurais aimé pouvoir bouger, pouvoir promener mes mains sur mon corps pour en apaiser l'insupportable énervement...
Hors de moi, au paroxysme de l'excitation sexuelle, je me mis à pousser des cris d'impa­tience et à me tordre dans mes liens. J'allais me mettre à supplier mes invisibles bourreaux pour que cessent les démoniaques caresses lorsque trois douleurs successives, vives et brèves, m'arrachèrent de stridentes plaintes.
Successivement, le bout de mes seins, puis mon clitoris furent mordus cruellement par de minuscules mâchoires d'acier, c'est du moins ce que j'imaginais, étant donné la faible ampleur des morsures. Ensuite, presque aussitôt, et s'irradiant de ces trois points, me vint la sensation étrange et voluptueuse, quoique assez désagréable, d'être percée en maints endroits de pointes d'aiguilles, immédiatement retirées pour être replongées quelques instants plus tard dans ma chair douloureuse.

(auteur ?)
Sous l'effet des légères et fugaces décharges électriques provoquées par ces piqûres, mes nerfs s'affolèrent et tétanisèrent mes muscles tandis que se rapprochait la jouissance qui ne cessait de grandir. Son raz de marée me submergea soudain pour me noyer, hurlant en moi dans un cyclone de jouissance.
J'avais cru mourir pour de bon et je revins brusquement à la vie,  bientôt engloutie par une nouvelle vague de plaisir, tout aussi prodigieuse que la précédente et qui m'entraîna une fois de plus au fond de l'abîme. Affolée, sanglotante, en plein délire, incapable d'endiguer le déchaînement de mes sens, je succombais sous l'incessant déferlement des orgasmes, au risque de perdre toute notion du temps, de l'espace, tout sentiment de réalité et même d'existence. Je n'étais plus qu'un énorme clitoris secoué par les ondes de choc du plaisir, j'étais en proie à un fantastique séisme qui me projetait au fond d'un univers sans fin...
Beaucoup plus tard, des membres plus durs que l'acier, des membres impétueux me pénétrèrent, s'enfoncèrent au tréfonds de mon ventre et de mes reins, vidèrent en moi leur chaude lave. Ce furent ensuite des fouets ardents qui revinrent à la charge pour réveiller de cuisantes douleurs que des mains douces et caressantes s'efforcèrent de calmer, avant que de nouvelles queues, aussi fortes et déterminées que les précédentes, ne me jettent dans de nouveaux et délirants transports. Mais cela n'avait plus guère d'importance, je n'existais plus vraiment, je ne vivais plus, je n'étais plus moi, je n'étais qu'un sexe monstrueux et béant, un sexe possédé du démon de la jouissance...
(auteur ?)
Des heures après, ou des siècles, après qu'un étrange et épais breuvage m'eût rendu mes forces, je me réveillai dans le salon d'accueil, près de Cécile, sur le visage de laquelle se voyait encore la marque de tout ce qu'on lui avait fait endurer.
Les traits affreusement tirés, d'une pâleur mortelle, elle avait tout le corps couvert de boursouflures et de marques violettes. L'arrière de ses cuisses, ses fesses et ses reins étaient couverts d'ecchymoses cependant que, cernant les aréoles de ses seins, de nombreuses aiguilles à tête d'or s'enfonçaient dans sa chair tendre...

Je reçois des amis ce soir et j'ai demandé que l'on me place une parure sur les seins, m'expliqua-t-elle d'une voix alanguie.  Qu'en penses-tu, c'est joli, n'est-ce pas?
Tout à fait, reconnus-je, mais tu vas avoir horriblement mal, pour peu que l'on te caresse la gorge...
- C'est toi qui le dis, murmura-t-elle, le regard perdu vers je ne sais trop quelle planète. Tu devrais savoir que le bien et le mal se rejoignent parfois...
Il faisait nuit noire lorsque nous reprîmes la voiture et, en raison de la fraîcheur de l'air, Cécile m'autorisa à remettre mon manteau.
Tout comme à l'aller, elle ne m'adressa pratiquement pas la parole et dès que j'eus récupéré mes vêtements, elle me pria de partir sans me proposer de me raccompagner.
Pour elle, la nuit n'était pas encore finie ...

Par Zygomax - Publié dans : Récits érotiques
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Commentaires

Test
commentaire n° :1 posté par : Maxime/Zygomax le: 08/04/2008 à 17h25
Bonsoir Maxime, J'aime ta façon d'écrire, tu parviens à capter l'attention du lecteur, félicitations Par contre, dans le cas présent je t'avoue franchement que je ne me suis pas sentie "embarquer" comme j'aime à l'être sous l'effet de certaine de mes lectures...c'est sans doute parce que je ne suis pas du tout attirée par ce genre d'expèrience Mais je respecte les gouts de chacun, sans pour autant y adhérer Bise, Soleildejuillet qui s'éclipse ;o)
commentaire n° :2 posté par : Soleildejuillet le: 08/04/2008 à 23h38
Bel article !
commentaire n° :3 posté par : Alizee le: 03/05/2008 à 10h15
Envoûtant et offre de nouvelles ouvertures
commentaire n° :4 posté par : jennifer le: 29/12/2008 à 14h00

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