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Votre serviteur

Je m'intéresse à l'art sensuel à travers ses différentes productions artistiques.

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Jeudi 23 novembre 4 23 /11 /Nov 10:09
Marlène 9 – séance photo à trois.

 

Cela fait bientôt une demi heure que j’attend. Se seraient ils dégonflés ?! J’enrage rien que d’y songer !

Tout avait pourtant bien commencé la semaine dernière lors de mon expo photo. Le jeune couple qui regardait attentivement chacune de mes photos avait écouté attentivement mes commentaires, mes anecdotes sur certaines séances de poses. Ils avaient ris. Ils avaient finalement accepté de poser pour moi aujourd’hui.

En ce moment, ma recherche est orientée sur le nu en noir et blanc, essentiellement en couple et dans une lumière et des poses assez crues. L’expo était un début assez soft, mais j’avais le ferme intention d’aller plus loin. Je leur ai proposé des tirages en échange de leur patience. Tout était réglé pour ce samedi matin à mon studio.

Mais ils ne sont pas là.

Dépitée je commence à plier mes flashs parapluies et à ranger mes objectifs quand la sonnette retenti enfin. J’ouvre la porte et observe immédiatement avec un sourire d’aise que se sont bien mes deux tourtereaux et que mes consignes semblent avoir été respectées.

Jocelyne porte une large jupe noire froufroutante, jetée sur une paire de cuisses admirables de finesse que prolongent deux pieds aux ongles vernis de pourpre et enchassés dans un écrin de fines lanières de cuir surmontant des talons de dix bons centimètres, comme convenu.

Le corsage est assez sage au premier abord, mais les deux boutons dégrafés laissent entrevoir à chaque pas la naissance d’une poitrine ronde, prometteuse et vraisemblablement libre de ses mouvements. Les tétons pointent déjà bruyamment à travers le tissus léger et ne semblent pas entravés par un quelconque soutien gorge, comme convenu.

Elle me fait la bise et entre, j’en profite pour jeter un œil sur son postérieur indécemment rebondi : nulle trace de culotte ou de string, comme convenu.

Espérons que les autres consignes ont également été suivies à la lettre.

Les très longs cheveux de jais de la jeune fille retombent en cascade sur de belles épaules délicatement attachées au cou par de fines clavicules bien dessinées. Les grand yeux bleus regardent anxieusement vers l’arrière, cherchant dans la pénombre du couloir la silhouette de Maxime qui arrive.

A la vue de la bosse sur le devant de son large baggy, je devine que lui aussi a respecté la consigne.

Pas de sous vêtement : il n’y a rien de pire sur la pellicule qu’une affreuse trace d’élastique de culotte sur la peau !

A ce moment, la pensée de les imaginer totalement nus dans la rue sous leurs vêtements me procure un petit frisson d’excitation. Qu’ont ils ressentis ? De la honte ? Du plaisir à percevoir le frottement inhabituel du tissu sur leur chairs nues ? De l’angoisse peut être, que cela se voit, qu’une bourrasque ne soulève le frêle tissu de la jupe, telle une Marylin en goguette ?

 

J’ai mis de la musique douce pour calmer les angoisses du début et la lumière du studio photo est pour l’instant tamisée. Nous discutons un moment du déroulement de la séance.

-          « Nous commenceront par Jocelyne seule, puis nous rajouterons Maxime. Je souhaite que vous fassiez précisément chaque pose, chaque geste indiqués. Il s’agit d’un travail artistique que je dirige, alors pas de retard dans la mise en œuvre des tableaux prévus s’il vous plait ! »

-          « Bon d’accord » répondent ils en cœur.

-          « OK, alors on y va. Maxime tu t’installes dans le canapé du fonds sans bruit et toi, Jocelyne, tu montes sur l’estrade, bien dans l’axe du décors ».

Elle escalade le mètre de l’estrade en parquet en nous dévoilant subrepticement la fermeté de ses cuisses.

-          « OK, comme ça, cool détendue. Installe toi sur le plateau tournant. Allez, on enclenche la musique ».

 

La mélopée monte, lente, lancinante et forte et je demande à Jocelyne de bouger à son rythme, comme si ses mouvements se faisaient dans l’eau.

-          « oui comme ça ! » Je fais une série de déclenchement à blanc, les premières minutes sont toujours assez mauvaises de toute façon, notamment pour les débutants.

Jocelyne se trémousse depuis une petite dizaine de minutes maintenant, les yeux fermés. Grâce à mon plateau tournant de deux bons mètres de diamètre, on peut l’observer sous toutes les coutures, il suffit d’attendre quelques dizaine de secondes, ou de faire pivoter le plateau dans le sens souhaité à l’aide de la télécommande qui ne quitte pas ma main.

Des gouttelettes de sueur commencent à se former entre ses seins et glissent lentement bers le bas. Je m’approche et déclenche.

- «OK, c’est bien, maintenant on va se rapprocher de ce que tu as vu la semaine dernière à l’expo. Défait un bouton du corsage».

Sans cesser de se tortiller au rythme de la musique et sans rouvrir les yeux elle s’exécute. Sa poitrine se balance en rythme sous le corsage ouvert et laisse apercevoir un téton à chaque retour. Clic ! Clac !

-          « Un autre maintenant ».

La quasi totalité des seins est maintenant visible. Clic ! Clac !

- « le dernier, pour finir ! »

Les pans s’ouvrent entièrement laissant à l’air libre une superbe poitrine ronde et pigeonnante, qui se balance lentement sous mes yeux. Les tétons sont brun-sombre, durs et fortement érigés, comme tendus vers mon désir et ma bouche. Les seins sont d’une blancheur stupéfiante et d’une fermeté de marbre. La sueur est maintenant bien visible sur sa peau, les gouttes perlent entre ses seins, glissent, se perdent au creux de son nombril et poursuivent leur chemin un peu plus bas. Il serait dommage de mouiller cette jupe splendide!

-          « Défait la fermeture de ta jupe »

D’un geste précis le zip est ouvert et la jupe descend naturellement de dix centimètres. Le balancement de ses hanches accentue l’effet de chute et Jocelyne tente de la rattraper.

- « Non ! Laisse ! » Dans un sursaut elle referme les yeux et abandonne la lutte.

La jupe tient désormais à peine sur la pointe des hanches. J’observe le bas de son ventre : le pubis rond et bien dodu est apparu, blanc et lisse. Parfaitement lisse, comme convenu.

Mon cœur bat plus vite, décidément, la docilité de cette jeune fille me séduit ! Clic ! Clac ! En quelques coups de hanche la jupe poursuit sa descente inexorable. On devine maintenant la fente de son sexe, qui monte si haut. Un dernier déhanchement achève le travail et la jupe virevolte en s’effondrant à ses pieds comme une feuille morte. Clic ! Clac ! On voit maintenant parfaitement la longue cicatrice qui lui fend le bas ventre comme un coup de hache dans du bois tendre. Le sillon est profond et les grandes lèvres forment deux bourrelets dodus de chaque côté de l’entaille. Rien ne transparaît des profondeurs de son sexe, les petites lèvres sont restées enfermées dans leur grotte comme gardées par deux gardes du corps intransigeants.

Je fait tourner le plateau pour être derrière elle. Je me baisse au raz du sol pour obtenir une parfaite contre-plongée, mon objectif focalise sur le haut de ses cuisses, remonte entre ses fesses et saisie le canyon étroit et magnifique de son cul en une fraction de seconde . Clic ! Clac !

 

A ce moment j’entend un bruit au fonds de l’atelier, Maxime marche vers nous, tout rouge.

-          « Tu fais bien de venir, on va avoir besoin de toit. Déshabille toi. »

Interloqué, ne sachant plus que faire il bafouille :

-          « Mais … »

-          « Déshabille toi. »

Jocelyne ne réagit pas et, sans ouvrir les yeux, seins aux aguets, ventre et fesses nues, elle continue de se balancer en cadence de plus en plus lascivement en me tournant le dos.

Dépité, le baggy tombe rapidement suivit du t-shirt. Clic ! Clac !

-          « Monte sur la scène et monte y la chaise …Va derrière elle et caresse lui le sein droit »

Maxime se place derrière sa copine. Je vois son sexe pendant effleurer la douceur de ses fesses : la surprise aidant il n’a encore pas perçu l’érotisme aigü de la scène. Sa main emprisonne le sein et le pétri lourdement.

-          « Caressé j’ai dit nom d’un chien, ce n’est pas une vache ! Regarde»

Je m ‘approche, monte sur la scène, pose ma main sur sa main et lui imprime le bon mouvement. Mes doigts titillent au passage le téton, tendu comme une corde à piano. Jocelyne trésaille, les yeux clos, mais ne se dérobe pas. Je recommence … ses seins se tendent vers moi imperceptiblement. Le mouvement de Maxime est maintenant plus doux et le sein a pris un peu plus de volume. Les joues de Jocelyne se sont colorées de rouge et sa respirations s’accélère. Clic !Clac !

-          « l’autre maintenant »,

Les deux mains emprisonnent par derrière les deux mamelles qui pointent maintenant dans ma direction, la cambrure de la jeune fille se tend et ses fesses frottent le sexe du jeune homme qui refait surface. Son pénis commence à prendre enfin un peu de volume, je les fait pivoter de nouveau vers l’arrière : Clic ! Clac !

Je les fait repasser de face et ordonne au garçon :

-          « met toi à genou derrière elle, … garde la main gauche sur le sein et passe la droite entre ses cuisses doigts écartés en éventail ».

La main cache le sexe et semble vouloir le protéger de mon intrusion de voyeuse. Clic, Clac !

-          « Lache le sein et écarte lui les jambes »

La main hésite un peu, redescend vers la cheville et écarte une jambe de 30 cm.

-          « Plus ! »

La main pousse un peu plus loin la jambe.

-          « Encore ! »

L’écart est maintenant bien supérieur à 90° et la largeur de la main peine à camoufler les trésors rosés qui se cachent derrière.

-          « Ecarte bien les doigts et descend lentement ta main. »

Maxime semble enfin avoir compris mes intentions, les doigts s’écartent au maximum, dévoilent le pubis tondu et seul le majeur en cache la fente oblongue. La descente du doigt dévoile progressivement la haut de la fente profonde, ce point si délicat qui marque le fin de le décence et le commencement de la luxure. J’adore ce petit espace si sensible, si prometteur.

Sans que je le lui dise, Maxime appuis un peu sur la fente en poursuivant son mouvement de descente, le doigt s’enfonce à moitié entre les grandes lèvres dodues et, au soubresaut de la belle, passe manifestement sur le clitoris de Jocelyne. Il franchit l’obstacle et le laisse apparaître enfin : ovale comme une petite olive, proéminent à souhait, la peau de sa petite tête rouge vif semble prête à éclater sous l’afflux de sang qui le gorge. Clic ! Clac !

- « Remonte ! »

La pulpe du doigt rebrousse chemin, écrase au passage de nouveau le clitoris gonflé et avide, provocant une brusque cambrure réflexe de la belle qui se mord les lèvres. Clic ! Clac ! La redescente de la phalange lui permet de reprendre sa place d’un coup : tendue à craquer vers l’avant, tel un pistolet prêt à faire feu.

-          « Descend !»

Le doigt poursuit son retrait, plonge cette fois franchement entre les grandes lèvres qui commencent à briller de mouille, disparaît pratiquement au cœur du sexe, débusque les fragiles nymphes rosées des petites lèvres et les fait saillir enfin au grand jour. Leur base est rose très clair alors que leur crête frisotte dans un fouillis de chair violacée ! Quel spectacle ! Clic ! Clac !

Elles pendent maintenant un peu de chaque côté de l’antre sombre qui les sépare. Le doigt pénètre sans hésiter au creux du volcan en feu. Lentement, mais … jusqu’à la garde. Ressort … replonge tout aussi lentement… ressort de nouveau en amorçant un quart de tour et replonge dans le sens inverse…

Jocelyne a cessé de se balancer et ses cuisses tremblent sur ses genoux écartés, les abdominaux sont durs, le bas-ventre est projeté vers l’avant comme pour faire jaillir son sexe à l’extérieur de ses entrailles, ses mains empoignent ses seins et les massent en cercles appuyés. Maxime, toujours agenouillé derrière elle, lui embrasse le haut des fesses et lui mordille la courbe du grand fessier.

Je tourne un peu le plateau afin de bien être en face d’eux. Je vois parfaitement à moins de cinquante centimètres, les allées venues du doigt inquisiteur : il est luisant de sécrétions, mademoiselle est presque à point !

-          « Un autre ! »

Sans hésiter l’index rejoint sans effort son acolyte, l’annulaire enchaîne immédiatement, arrachant un gémissement à la danseuse arquée vers mon objectif. Le mouvement des trois doigts se poursuit inexorablement, en haut, en bas, en haut …

D’un signe de tête j’ordonne la suite à maxime.

L’auriculaire rejoint in-peto ses trois compagnons et s’engage également dans le vagin profond, élargi et brûlant. Les glaires abondantes coulent pratiquement sur le poignet de Maxime : la suite sera d’autant plus aisée. Les phalanges ressortent enfin presque entièrement, dévoilant le cœur de la vulve béante. Ses muqueuses rouge vif sont irriguées à grande vitesse d’un sang propulsé par un cœur au grand galop.

Le temps est alors comme suspendu un bref instant.

Le pouce rejoint les quatre doigts luisants pour former un projectile fuselé. Le coude se pose sur le sol, bien en appuis. La main gauche de Maxime appuis alors sur l’épaule de sa maîtresse lui intimant l’ordre de s’empaler sur l’avant bras disposé sous elle. La vulve ouverte se rapproche de l’olisbos géant, le cratère en éruption aspire alors immédiatement avec avidité les premières phalanges qui s’engouffre progressivement en son cœur.

La belle feule de plaisir et de surprise. Les trois premières phalanges sont avalées en une fraction de seconde. La tête des métacarpiens bloque un instant sur les grandes lèvres écartelées qui forment un bourrelet de chair de part et d’autres du sexe distendu, à la fourche des cuisses blanches. Jocelyne lâche ses tétons qu’elle martyrisait de ses ongles carminés et porte les mains de chaque côté de son sexe. Elle étire fortement ses muqueuses sur le côté et ploient les genoux pour accompagner la pénétration ultime.

La main plonge alors d’un coup dans le bas-ventre amical alors que les grandes lèvres pulpeuses se referment immédiatement et avec gourmandise sur le poignet de Maxime dans un bruit de sucions. Clic ! Clac !

Accroupie sur l’avant bras de son compagnon, mains de chaque côté de son sexe, Jocelyne tremble de tout son corps, la tête renversée en arrière, la bouche ouverte comme pour hurler son plaisir. Clic ! Clac !

Mais il semble manquer quelques chose à la belle qui me jette un regard suppliant. Le coup de grâce ?

Par compassion, je m’approche du bord de l’estrade, pose mon appareil sur le parquet maculé de gouttes de cyprine, abaisse mon visage vers ce sexe écartelé. Je l’observe un peu de très prés, détaillant la saillie des veines gonflées sous la peu blanche presque transparente de l’aine Je pose ma bouche sur le bord de la cuisse pour sentir le sang battre sous mes lèvres. Je la fait remonter vers la renflure des grandes lèvres écartelées que je caresse de la langue. Je remonte vers le sommet de la fourche des lèvres et happe entre mes lèvres le clitoris gorgé de sang et de désir. Il est décapuchonné comme jamais et facile à saisir. Je le caresse fermement du bout de la langue tout en le pressant fortement entre mes lèvres.

Instantanément un long hurlement s’échappe alors de la bouche de notre victime. Tous ses muscles tressaillent dans une même contraction d’extrême jouissance. Je vois sous mes yeux les muscles du vagin pétrir en un spasme d’une fureur inconsciente le poignet de Maxime, qui n’en revient pas. Le ventre semble faire des vagues alors ques les seins se dressent au ciel tétons tendus au maximum...

Cela dure une éternité… La « petite mort » l’a fauchée brutalement.

Le corps arqué et tendu reste suspendu en l’air un bref instant, puis elle s’effondre sur son bourreau, telle une supplicié à l’agonie. Clic ! Clac !


C’est dans la boite : il ya là un excellent sujet pour la prochaine exposition.

 
 
Par Maxime - Publié dans : Récits érotiques
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