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Votre serviteur

Je m'intéresse à l'art sensuel à travers ses différentes productions artistiques.

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Vendredi 2 mars 5 02 /03 /Mars 17:46
Marlène 11 – Saphisme en club.
 

Ce soir, Aminata est venue dîner avec nous.

Son mari est en déplacement et j’en ai profité pour inviter cette superbe créature qui habite depuis quelques mois dans le centre ville de Grenoble prés de chez nous.

Aminata est sénégalaise d’origine. C’est une superbe PEUL, aussi sombre de peau que je suis claire. Comme toutes les femmes de son ethnie, elle culmine à un bon mètre quatre-vingt et diffuse une grâce féline et fascinante. Très coquette, comme toutes les Africaines, elle porte ce soir de superbes chaussures à talons, lacées sur les mollets, qui projettent encore plus vers le ciel un postérieur déjà largement mis en valeur par une cambrure de reine. Le reste de sa tenue n’est malheureusement pas à la hauteur et sa jupe sombre et mi-longue ne met pas particulièrement en valeur ses formes voluptueuses.

Le dîner a été assez arrosé et la soirée touche à sa fin.

-          « si nous allions danser un peu, pour achever la soirée ? » lançais-je d’un ton de défi.

-          « Je vais plutôt rentrer, les petits dorment et je ne voudrais pas … »

-          « pas d’excuses ! Je sais que ta nièce est là pour s’en occuper et qu’elle les adore ! De plus tu n’as pas beaucoup l’occasion de sortir avec ton macho de mari, alors ne te fais prier, ça te fera du bien non ? »

L’argument a fait mouche et Aminata finit par accepter notre proposition. Je lui propose aussitôt une tenue plus adaptée à mes projets.

Je glisse un clignement d’œil à mon homme et nous nous rendons dans mon dressing, je choisis une longue robe de satin noir, ultra moulante, au décolleté plongeant et dont le dos est nu presque jusqu’aux fesses, seule une petite fermeture éclair discrète ferme le tout sur 30 cm au bas du dos. Par « chance » j’ai la même en blanc et je la propose à mon invitée. Elle rougit un peu et accepte devant mon insistance :

-          « nous serons très complémentaires ce soir, blanc et noir – noir et blanc ! »

Je me déshabille entièrement en un clin d’œil ne gardant que mon string arachnéen et enfile le fourreau noir que zippe d’un coup sec sur mes fesses. J’adore le contact du satin sur ma peau presque nue, la douceur froide du contact du tissu sur mes tétons entraîne systématiquement leur érection et je les sens pointer fièrement.

Aminata est resté là, me regardant sans rien dire, n’osant pas ôter ses habits.

-          « allez, à toi »

Elle relève prestement son chemisier sombre et découvre une splendide poitrine très ronde, enveloppée d’un soutien gorge de dentelle sombre. La jupe suit le même chemin et libère deux splendides globes fessiers traversés en leur milieu par le plus charmant des strings d’un blanc immaculé. Je ne peux m’empêcher de loucher un peu sur ces pommes fantastiques.

Un peu gauche, elle me tend la main afin que je lui donne la robe. Elle l’enfile et tente de fermer rapidement la fermeture au bas de ses fesses. Je m’approche pour l’aider, pose une main sur ses reins à la cambrure hallucinante et tire avec difficulté sur le zip qui finit par accepter de cacher tous ces trésors.

-          «  Et voilà » fit-elle en se retournant vers moi.

Je ne peux m ‘empêcher de rire ! Le soutien gorge déborde largement du décolleté et les fines bretelles sexy ne cachent rien des larges attaches du sous-vêtement.

-          « Il va falloir enlever tout ça » dis-je.

Je m’approche d’elle, fait glisser les bretelles de la robe pour découvrir son buste, passe derrière elle, dégrafe d’autorité son soutien gorge, le lui ôte prestement sans lui laisser le temps de protester et le jette loin sur le lit.

Ses seins ne sont plus soutenus mais n’ont presque pas bougé. Les deux « demi-pamplemousses » sombres se tiennent parfaitement tous seuls  en l’air. Par-dessus son épaule, mon regard ne s’en détache pas un instant. Je vois la respiration légèrement accélérée soulever les deux masses de chair en cadence et j’en découvre avec ravissement les pointes couleur nuit. L’aréole est large, mais c’est l’extraordinaire protubérance des tétons tendus qui me fascine le plus. On dirait deux énormes framboises granuleuses et un peu trop mures.

Aminata replace seule les bretelles de la robe et se retourne vers moi avec un sourire.

-          « Je n’ai pas l’habitude d’être dans cette tenue, ça me fait bizarre ! Comment suis-je ? » Dit-elle en tournant sur elle-même.

Sa silhouette est une injure à la décence, la longue fente de la robe découvre une bonne moitié de ses cuisses musclées et fuselées, tandis que ses seins magnifiques tendent le tissus à craquer, dévoilant largement le large sillon. Le contraste des couleurs accentue encore le profond décolleté qui sépare les deux mamelles et les dessine comme une belle paire de fesses. A ce petit jeu, je ne suis pas mal non plus. Ma cambrure n’a rien à voir avec celle d’Aminata, mais la fermeté de mes fessiers de danseuse se devine sous la tension du tissu. Le large sillon de mes fesses est nettement dessiné par le tissu, qui s’insinue même entre les globes clairs et charnus.

-          Je crois que nous sommes parfaites ! Allons-y !

Nous descendons ensemble, les escaliers et je vois bien à sa démarche saccadée et chaloupée que son habitude des talons hauts est modeste. Il faut dire que je lui en ai prêté une paire particulièrement vertigineuse, mais cela met si bien en valeur ses rondeurs postérieures …

Assise à côté de moi dans la voiture, sa robe s’ouvre naturellement jusqu’à l’aine, me permettant ainsi de prendre un petit acompte visuel sur son entrecuisse alors qu’elle regarde défiler les lumières tamisées par la brume de la ville endormie.

Nous nous arrêtons au « 2+2 », prés d’Aix les Bains, un club que nous connaissons bien avec mon compagnon Simon.

Ce que nous ne lui disons pas, c’est qu’il s’agit d’un club plutôt libertin ! …

Nous entrons ensemble, le portier nous fait un large sourire : il nous connaît bien et mon corps n’a d’ailleurs plus guère de secrets pour ses mains expertes …

Nous nous installons à notre table habituelle, très proche de la piste et dont le mur est tapissé de miroirs. L’ambiance est déjà assez chaude. Aminata et moi buvons en riant deux ou verres de champagne. La tête me tourne un peu maintenant et je suis persuadée qu’Aminata est dans le même état ! L’ambiance est maintenant un peu plus chaude sur la piste. Le DJ annonce un concours de tango langoureux « entre filles ». Une série commence et deux jolies brunes se lèvent et s’enlacent lascivement devant nous.

-          Nous n’allons pas rester plantées là ? Viens ! Lui dis-je sans lui laisser le choix.

Nous nous dirigeons vers la piste, elle, la black bien balancée, mo,i la blonde aux jolies formes et nous nous enlaçons sagement. Aminata reste un peu raide et éloignée. Je ne la brusque pas. Petit à petit elle se relâche et nos seins maintenant se touchent furtivement. Que les siens sont dures ! J’en sens les pointes sur les miennes comme deux crayons tendus à l’horizontal ! Notre tableau doit être plutôt sympa car beaucoup de regards nous observent. Nous virevoltons ensemble, entre-cuisse sur jambe, jambe entre cuisses. Sa robe blanche se balançant sur sa peau noire, ma robe noire découvrant ma peau blanche.

Je lui murmure à l’oreille que les deux donzelles de tout à l’heure dansent également très bien et que nous allons devoir faire mieux.

-          Que dois-je faire de plus ? me dit-elle,

-          laisse moi faire et fait à l’identique, répliquais-je,

Ma main droite quitte ses reins pour remonter dans son dos et caresser la peau nue. Après un instant d’hésitation elle se prête au jeu et fait de même. Ma main redescend vers le bas de son dos, saisie le fermoir et abaisse sèchement la fermeture éclaire de sa robe jusqu’au milieu de ses fesses. Elle étouffe un cri de surprise et se colle encore plus à moi comme pour se cacher. Les deux pans de tissus flottent maintenant de chaque côté de son postérieur et révèlent sans doute la blancheur de son string blanc que l’on doit voir disparaître rapidement au creux du sillon noir bien dessiné.

-          A toi !

Elle hésite un instant, porte la main au creux de mon dos, me jette un regard et abaisse également la fermeture avec un geste ferme qui me surprend par sa netteté et son enthousiasme…

Nous voici complémentaires, ma peau blanche soulignée par un fin dessous noir, encadré de la robe sombre ouverte. Et elle, strictement symétrique.

De plus en plus de monde nous regarde, alors que les deux brunes ont, elles, remonté leur jupe sur leurs reins afin de dévoiler de charmants shortys de dentelle rouge assortis.

Pour ne pas être en reste, j’attrape les deux clips des bretelles de la robe blanche d’Aminata et je les dégrafe de ses épaules tout en m’écartant d’elle légèrement. La robe s’enroule un instant autours des seins oblongs, s’entortille brièvement sur le postérieur proéminent et s’effondre en corolle blanche sur le parquet lustré. Du pied je l’écarte rapidement alors que ma compagne, à demi nue en public, se colle à moi plus que jamais.

Yeux dans les yeux, elle remonte ses mains et arrache mes bretelles en regardant ma robe tomber. Nous repartons seins contre seins (wahou !) dans un tango argentin sensuel à souhait, seulement vêtues de nos talons hauts et de nos minuscules strings. La rapidité des mouvements a du enfouir le fin tissu entre nos globes postérieurs opulents et nous devons apparaître comme totalement nues aux nouveaux arrivants !

Les deux brunes se sont également débarrassées de leur robe et commencent à s’embrasser goulûment en nous regardant avec envie.


Du coin de l’œil j’aperçois notre table, je m’en rapproche, bloque les jambes d’Aminata sur son bord et la bascule lentement sur le verre froid et poli. Son regard n’est plus apeuré, elle me regarde un instant et ferme les yeux en s’abandonnant.

Je monte à genoux sur la table, en prenant soin d’emmener avec moi et dans le mouvement ses cuisses, comme un homme qui voudrait la prendre en missionnaire. Je fais un signe de tête au DJ (il sait ce que je veux) et je plonge sur ses lèvres pulpeuses. Le baiser est appuyé, je sens qu’elle se lâche, l’ambiance et l’alcool aidant, nos langues s’enroulent, se caressent, s’explorent alors que nos seins se pressent et m’électrisent jusqu’au bas du ventre.

Une lumière jaillie sur nos postérieurs grâce au DJ. La foule s’est rapprochée pour mieux voir. Une fine bande de tissu noir cache tant bien que mal mon entrecuisse humide ainsi exposé.

La position d’Aminata ne lui laisse pas ce loisir, le tissu blanc plonge profondément dans son sexe et ressort très haut, compressant au passage le clitoris. L’excitation de ma compagne est sans doute visible. Ses petites lèvres brillantes et très écartées font saillie hors du sexe et dévoilent un peu le rosé du cœur de la vulve. La musique a baissé d’intensité et on entend maintenant les murmures de satisfaction la foule désormais toute proche.

  Je sais ce qu’elle veut.

D’un geste, je déchire les côtés du string de ma soumise. Le dentelle blanche, vaincue, glisse un instant sur la vulve sombre et glabre, s’attarde autours d’une petite lèvre trop humide qui colle un peu et tombe, trempée, sur le verre froid de la table.

Le rayon du projecteur s’amincit et se concentre sur cette vulve africaine offerte que tout le monde contemple. La chair rosée est maintenant parfaitement à nu. De petites excroissances de peau très clair entoure le puits d’amour largement ouvert par la position. Deux petites lèvres très longues et frisottées l’encadrent et déclinent un dégradé de couleurs du rose au noir. Elles se rejoignent au sommet du sexe en une délicieuse boursouflure de chair rouge vif, couronnée par un clitoris si rond et si gonflé qu’il paraît prêt à éclater.

 Sublime…

Nous nous embrassons toujours à pleine bouche et je sens de fins cheveux caresser mon postérieur, je relève un instant la tête vers le miroir qui me fait face et vois le charmant minois de nos deux challengers du concours de tango qui nous effleurent déjà. Je leur souris et replonge ma langue vers ma proie. Quand la première brune plaque sa bouche sur le sexe noir, je sens ma monture se cabrer un bref instant. On m’arrache mon petit string noir sans ménagement et la bouche de la seconde brune prend possession de mon intimité détrempée. Sa langue s’enfonce tout au fond de mon vagin, redescend vers mon clitoris, le contourne, le presse du dos de la langue, le titille de la pointe, replonge dans mon cratère en feu. Elle remonte ensuite plus haut vers mon petit trou, l’assouplit doucement, y plonge soudain sans pitié.. Et recommence.

Je suis au supplice. Aminata aussi, si j’en juge par ses ruades et ses gémissements que j’étouffe avec gourmandise de ma bouche insatiable.

Soudains nos souffles s’emballent, nos bouchent se détachent pour mieux capter l’air nécessaire à l’explosion qui se prépare. Nos sexes sont impitoyablement sucés, aspirés, tourmentés. Nos corps se cabrent, mes dents mordent ses lèvres alors qu’elle me griffe profondément les flancs des dix doigts.

De douleur et de plaisirs mêlés, JE CRIE, ELLE HURLE.


Et nous retombons joue contre joue. Moi, la blanche libertine qui a assouvi son vice, et ELLE, la noire colombe, la sage mère de famille, qui vient de goûter à la luxure.

 
 
 
 
 
Par Maxime - Publié dans : Récits érotiques
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