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Je m'intéresse à l'art sensuel à travers ses différentes productions artistiques.

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Vous allez découvrir :

Mercredi 9 mai 3 09 /05 /Mai 15:10
La fessée
 
 

Un vieux lycée anglais moisi, en pleine campagne, un vieux bâtiment de pierre du dix-huitième siècle, aux parquets cirés, aux grandes fenêtres, aux salles hautes, aux longs couloirs…

Tout semblait morne dans cette vieille institution vouée à l’éducation de jeunes filles issues de la bourgeoisie ou de l’aristocratie britannique. Un endroit où l’on était censé, les éduquer à être de parfaites épouses…

L’austérité à l’état pur, en pleine verdure…
L’hiver, la neige en cette fin d’après midi de février…
En plus, le vieux bâtiment était mal chauffé… Bref, ici on avait froid.
 
Katarina avait été convoquée dans le bureau du professeur principal.

Pour elle c’était l’année du bac, et elle venait d’avoir ses dix-huit ans…

Ensemble, ils devaient faire le point, il était dix-sept heures et elle frappait doucement à la haute porte en chêne.

Une voix lui ordonna d’entrer.
 

Katarina avait été placée là par ses parents depuis 2 ans. D'origine russe elle avait la pâleur et la silhouette longiligne et pulpeuse de sa slave de sa mère.

De son père elle avait hérité cette facétie perpétuelle qui lui avait value quelques problèmes dans son lycée d’origine en d'ukraine.

Renvoyée plusieurs fois, son père l'avait alors mis en pension à Bridgestone. Au fin fond de l'Angleterre...

Katarina était une grande jeune femme, au charme affirmé, aux cheveux blonds avec des reflets presque blancs, mi-longs, aux traits fins, aux yeux bleus un peu en amande, à la poitrine déjà lourde. Bref, elle faisait de l’effet, et plus d’un garçon devait rêver de la séduire… Malgré l’hiver, elle était en jupe courte bleu marine mais en cuir, seule entorse au règlement, des bas, et des bottes montant jusqu’au genoux. En haut, un chandail de laine recouvrait un chemisier blanc réglementaire. Une vraie femme déjà, aux fesses que l’on devinait musclées, au seins ronds et fermes et au charme animal mais racé.

Derrière, un lourd bureau de style Empire se trouvait le professeur Jack London, long comme un chewing-gum que l’on aurait étiré,   le cheveu en brosse, des grandes lunettes en métal, un sourire ambigu aux lèvres. Il aurait peut-être eu du charme sans son éternel costume noir. Seule petite originalité, une cravate en cuir de la même couleur, fine et élégante.

-       « Bien asseyez-vous, nous devons parler de vos résultats, qui sont très irréguliers et j’aimerai comprendre », dit-il en lui indiquant une chaise de paille.

Elle s’assit prestement, d’un mouvement souple, en relevant légèrement sa jupe de façon ce qui lui fit bien sentir le piquant de la paille sous ses fesses.

-       « Vous êtes en terminale scientifique, et vos résultats dans ces domaines sont excellents, vraiment excellents… Par contre, en philosophie, en histoire-géo, en langue, vous atteignez la nullité absolue ! Expliquez-moi ! » lança le professeur.

-       « Ces matières ont du mal à me motiver, monsieur le professeur, je les travaille, mais je sais pas », répondit doucement Katarina.

Le professeur marqua une pause, une hésitation, une longue respiration, suivie d’un léger pincement de lèvres.

-       « Etes-vous sûre de travailler ? Ce n’est pas l’impression que vos devoirs donnent, pas du tout ».

Katarina brièvement s’imagina déjà punie, les fesses à l’air prête à recevoir le châtiment corporel, courant dans ce pays.

Cela faisait longtemps que cela ne lui était pas arrivé, trop longtemps peut être ...

Sa gorge se noua, elle sentit son visage s’empourprer, et son sexe s’humidifier.

Délicieuse sensation.
Elle fit la bonne réponse :

-       « C'est que ... oui ... peut être n'ai-je pas été assez concentrée ces derniers jours ...»

-       « Allez mademoiselle, vous connaissez la sanction ! Relevez donc votre jupe, » dit le professeur d'un ton sec.

Elle frémit, tressaillit de plaisir. Elle se releva lentement, essayant de masquer son trouble.

Face à son professeur assis, d’un geste faussement maladroit, elle releva le cuir de la jupe sur ses reins, d'un bras elle maintint le tissu et se courba en avant en posant l'autre main sur le bord du bureau sombre et froid marqueté d'acajou, veillant à offrir son décolleté au regard de l’homme assis ...

Il admira la rondeur de la poitrine qui pendait devant lui. Le chemisier avait deux boutons ôtés ce qui lui permettait de voir le profond sillon se perde vers son ventre. Il savait la petite excitée par la situation : ses tétons pointaient outrageusement et marquaient nettement son corsage tendu.

-       « Il manque quelque chose !" dit-il en élevant le ton ...»

Elle se redressa, crocheta le fin élastique de son sous-vêtement et baissa les yeux tout en faisant choir le mince morceau de coton blanc qui lui servait de slip.

L’homme se leva et se mit à tourner autour d’elle, il jeta un oeil connaisseur en direction de ses reins cambrés, l’effleurant, puis laissa sa main traîner longuement du côté pile, flattant avec satisfaction la peau très douce du ventre. Il se baissa pour mieux voir si Katarina avait bien respecté les consignes de la punition du mois dernier : oui, son sexe semblait parfaitement épilé.

Katarina sentait le souffle chaud de son professeur sur son sexe et tremblait légèrement d’excitation et de peur.

Il voyait le ventre bombé former une petite bosse dodue au niveau du pubis et plonger rapidement vers le sombre secret de son intimité lisse. Les grandes lèvres fendaient très haut le pubis et ne pouvaient cacher de superbes petites lèvres roses, finement dentelées qui débordaient naturellement de la vulve déjà brillante.

Quel beau sexe, parfaitement glabre, jeune, frais, et qui pourtant avait déjà du recevoir un certain nombre de males avec leurs petits, ou leurs gros mandrins… 

Sur qu’Emma préférait les gros mandrins agiles, avec des réserves bien juteuses...

On dirait un abricot, bien doux, sucré, gorgé de jus.

Il avança l’index, l’appuya au niveau du haut de l’aine et descendit doucement en suivant le sillon naturel du plis de la cuisse. Il longea le tendre fruit mur fendu et en poursuivant effleura les petites lèvres qui dépassaient généreusement. Katarina ferma les yeux et se pinça les lèvres…

Le professeur découvrait un spectacle ravissant : les cuisses musclées se rejoignaient l’une contre l’autre un peu plus bas, laissant un petit triangle d’espace libre juste sous le sexe. Il y engagea son doigt aussi loin que possible, sans rien toucher, le posa enfin prés de l’anus et remonta doucement vers l’avant pour caresser au passage l’entrebâillement des fines crêtes de chair rose qui pendaient. Son doigt ressortit gluant de cyprine. Il approcha les yeux : de fines perles de liquide clair étaient parfaitement visibles et sourdaient des profondeurs de son ventre. Les jambes de Katarina tremblaient de plus belle.

En souriant, le professeur se rassit, la détailla encore quelques instants avant de lancer doucement :

-       « Viens sur mes genoux, fesses sur ma droite ».

Après une légère hésitation,   les yeux baissés, Katarina contourna le bureau et se glissa en souplesse sur les genoux du professeur.

Tête en avant, cheveux dans le vide, seins tirant le chemisier tendu, jambes touchant à peine terre, cul proéminent, véritable aimant pour une main d’homme.

Main d’ailleurs, qu’elle sentait pétrir successivement, chacune de ses fesses délicates, encore blanche mais qui n’allait plus tarder à rougir.

Une main douce, qu'elle sentait grande et protectrice. Une main qui lui pétrissait les fesses, comme le boulanger pétrissait la pâte. Oui c’est cela sa chair, était de la pâte… Une pâte qu’on malaxait avant de la frapper. A chaque mouvement des mains, elle sentait ses globes fermes s'écarter et dévoiler son petit oeillet sombre, lui aussi était parfaitement lisse, le professeur devait être pleinement satisfait.

Une main comme celle qui lui caressait simultanément la nuque avec délicatesse...

Et soudain, la première claque sur la fesse droite, sèche, forte, violente.

Et une deuxième pour la jumelle. L’alternance était respectée.
La chair tremble.

Vlan ! Et Vlan ! Encore. Un rythme, une cadence. Et puis au lieu de la claque cinglante attendue, une douce caresse, la peau d’une main d’homme qui caresse la peau d’une fesse de femme.

Katarina avait les yeux et le sexe dans le même état : ruisselants.
Le bonheur d’une fessée, aussi fort qu’une bonne saillie, voir plus.

Bonheur aussi pour celui qui donne, jouissance mentale aussi forte que celle d’une pipe royale, à genoux, comme celles que les lèvres et la langue de Katarina devaient savoir dispenser.

Et puis, maintenant, la séance de tam-tam. Les deux mains claquaient légèrement, caressaient, frôlaient en rythme. Le cul de Katarina était un tambour. Elle était un tambour, un tambour qui pleurait, qui gémissait.

De bonheur ou de douleur ? Si l’on en croyait le sourire et les larmes, les deux.

Une sensation amplifiée, parce qu’elle sentait sous le tissu. Un bâton raide, gonflé, lourd.

Et puis un dernier coup, lourd, violent.
Et puis une main douce câline, qui écarte doucement une fesse.

Et puis un doigt qui caressait lentement la fente ruisselante et entrouverte, qui plongeait loin entre les lèvres écartées, revenaient vers le petit oeillet sombre et crispé, l'agace de l'ongle, replongeant à nouveau encore plus loin et encore plus profond, écrasant tout en bas le petit sentinelle dressé sous son capuchon.

Et puis, une fois son ventre posé directement sur la paille piquante du siège, une langue qui refait le même parcours, titille caresse et plonge dans le secret de ses fesses rougies ... Cette délicieuse sensation d'être fouillée, ces doigts qui s'insinuent partout comme des anguilles avides de chair.

Et des baisers… Longtemps…
Un cri, une secousse… La jouissance brutale, totale… Le coma...

Dans un nuage elle n’avait pas vu le temps passé, il était déjà dix-huit heures.

Elle allait sortir.

-       « Demain même heure, rendez-vous ici. Demain matin tu as un contrôle d’histoire. Si tu as une mauvaise note, ce sera encore une punition. Par contre, si pour une fois tu as la moyenne la récompense sera à la hauteur, et tu auras le droit de choisir ».

Elle rougit à nouveau, pour une fois elle allait essayer de faire bien. Et elle savait ce qu’elle voudrait en récompense. Déjà, elle s’en léchait les babines.

Et pour bien le faire savoir, avant d’ouvrir la porte, elle se tourna vers le professeur Jack London, l’air effronté et rebelle. Lentement elle lui mit dans la main le chiffon cramoisi de sa culotte blanche et sortit en se caressant les lèvres de la langue ...


Par Maxime - Publié dans : Récits érotiques
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Commentaires

hummm, simplement dire que tout cela est d'un érotisme torride, merci.
commentaire n° :1 posté par : nosfe le: 09/05/2007 à 16h56
Merci de votre appréciation ! J'aime que ma sueur scripturale serve à quelque chose !
Maxime
réponse de : Maxime le: 13/05/2007 à 02h13
Merci de cette appréciation !
En fait, c'est fait pour ça ! Donc tant mieux !
Maxime
commentaire n° :2 posté par : Maxime le: 10/05/2007 à 15h48
Et si je vous disais que ma petite fente est bien humide à la fin de ce récit ? vraiment j'adore vous lire.
commentaire n° :3 posté par : charnelle le: 12/05/2007 à 21h41
Je suis tout à fait ravi que cette si belle petite fente lisse soit humide ! C'est un peu fait pour ça non ?! J'imagine déja que MS va en profiter ! ...
Bises, Maxime
réponse de : Maxime le: 13/05/2007 à 01h12

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