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Je m'intéresse à l'art sensuel à travers ses différentes productions artistiques.

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Jeudi 9 août 4 09 /08 /Août 18:21
Prisonniers sur la plage
 

La plage est longue et belle. En juillet, Tarifa est le paradis des planchistes et des Kite surfeurs.

Mais aujourd’hui c’est « pétole », comme on dit dans le jargon de la voile.

Déçu mais pas abattu, je fais contre mauvaise fortune bon cœur : j’en profite pour me mettre à l’aise sur une portion de plage fréquentée par les naturistes. J’adore sentir les rayons brûlants du soleil caresser mon corps nu et jouer avec mon entre-jambe. Et puis, y-a-t-il quelque chose de plus agréable au monde qu’un bain dans une eau turquoise à 28 degrés et en tenue d’Adam ?!

 

La nature est versatile, surtout à cette pointe de l’extrême sud de l’Europe. Le vent y est souvent fort mais très capricieux.

Nonchalamment endormi, je n’ai pas aperçu ces quelques nuages s’amonceler à l’est. En fait, beaucoup ont vu tourner le temps et se sont déjà enfui de la grande plage.

Moi j’y dort paisiblement, avec quelques autres.

Quand le sable commence à me cingler les fesses, il est un peu tard pour se replier tranquillement vers le camping car. J’opte plutôt pour un replis stratégique vers la toute petite crique du cap de Tarifa, à 200 m d’ici.

Aveuglé par le sable, je cours me mettre à l’abri de ce beau pic rocheux.

Cet abri est la seule issue rapide et nous nous y retrouvons vite un bonne cinquantaine de toutes obédiences : naturistes en majorité, mais aussi quelques « textiles ».

Chacun attend la fin du coup de vent, qui souffle maintenant sans doute à prés de 80 km/h, vu les sifflements des lignes électriques qui nous surplombent pour alimenter le phare.

Comme tout le monde, je m’assois tranquillement sur ma serviette et prend mon mal en patience.

La jolie rousse « textile» est arrivée en courant elle aussi, essoufflée, couverte de sable et vaguement inquiète. Elle a posé sa serviette juste devant moi, à 20 cm pour être précis. De toute façons elle n’avait pas beaucoup le choix vu la promiscuité actuelle en ces lieux. Elle me lance un petit sourire, un peu gênée d’être en maillot au milieu de tout ces naturistes. Et elle s’allonge sur sa serviette à côté de sa copine, une brune plantureuses et très bronzée ne portant qu’un minuscule string clair. De ma place, je peux voir le superbe renflement de son pubis, manifestement parfaitement lisse, étirer au maximum les mailles translucides du fin lycra qui recouvre ses grosses lèvres plantureuses. Je dis « plantureuses » car la netteté de la chose est parfaite : une couture profonde et « bien étudiée » pique verticalement le string, coupe parfaitement en deux son sexe et sépare sa vulve en deux superbes quartiers d’abricot gonflés de sève. C’est le genre de « maillot » plus indécent qu’une nudité totale.

Les deux amies discutent un peu ensemble mais je ne parviens pas à comprendre malgré ma proximité : les cris aiguës du vent emportent la plupart des mots. Il semble s’agir de marque de bronzage et du mauvais effet sur les robes décolletées.

La belle rousse, regarde autours d’elle, me fait un petit sourire tendu, en papillonnant de ses beaux yeux verts et semble se laisser convaincre.

Elle défait dans son dos le nœud de son haut de maillot et le laisse filer sur le sol, comme à regret, pour s’allonger sur le dos à mes pieds, les yeux fermés, la mâchoire un peu crispée.

Elle a bien fait, le spectacle est des plus agréable.

Deux superbes seins parfaitement ronds, pointent fièrement leur fermeté vers le ciel azur torturé de vent. Les rondeurs généreuses sont surmontées d’une petite aréole très pâle, et s’achève sur un téton si fin qu’il en paraîtrait presque masculin. Le tout est d’un blanc de lait, parsemé de superbes tâches de rousseurs fauves. J’observe un moment ces deux splendeurs se soulever lentement au rythme de la respiration de la belle. Mon regard glisse entre les deux globes, suit un petit chemin de rousseur vers son nombril et découvre une splendeur …

La belle a les hanches confortables et le ventre plat et musclé. Dans cette position allongée, le petit maillot bleu trace une ligne horizontale à 3 bon centimètres de la peau de son bas-ventre. Le tissu bleu un peu usé, n’en est que plus fin. Il laisse largement transpercé les rayons du soleil encore très verticaux, laissant à la vue du mieux posté (c’est moi !) un charmant paysage.

Assis je peux suivre le fin duvet sous le nombril s’enfoncer sous le maillot et s’épaissir subitement à la lisière d’une forêt fauve de toute beauté.

Fasciné, je m’accoude vers l’arrière pour suivre un peu plus loin cet examen.

L’angle de vision est meilleur et me permet de voir que la forêt est en fait réduite à une simple bande de 2-3 cm de large, qui remonte brutalement au niveau du pubis pour effleurer le tissus translucide et plonger vers de sombres délices …

Emoustillé par tant de splendeurs juvéniles, je m’allonge entièrement sur le dos, ferme les yeux et glisse vers une somnolence emplie de gazons bénis de toutes formes et couleurs…

 

Une rafale un peu plus forte me projette un peu de sable sur le visage et me réveil en sursaut.

Ha oui, le coup de vent n’est pas terminé. Et où en est ma roussette pensai je immédiatement ?

Il me suffit de lever un peu la tête pour remarquer que la belle est allée prendre un petit bain entre temps, de petites perles de lumière et d’eau sillonnent sa peau. Mais se sont ses pieds qui me font face cette fois. Je relève encore un peu plus le nez et découvre que sa copine a du être très persuasive : aucun tissu ne couvre dorénavant le corps des deux nymphettes.

La brune exhibe bien, comme imaginé tout à l’heure, un splendide pubis rond, plein et … parfaitement glabre. Quelques gouttes d’eau salées perlent encore entre ses grosses lèvres dodues et glissent lentement dans le secret de sa vulve hermétiquement close.


Ma roussette est toujours bien en face de moi, jambes parfaitement serrées. Cela me permet d’observer toutefois le mignon ticket de métro flamboyant qui orne le sommet de son pubis. Ce qui me surprend le plus, c’est l’extraordinaire protubérance du pubis. Bombé comme une orange bien mur, il se fend rapidement, à la lisière du poil taillé net à l’horizontal, en deux coussinets rosés qui plongent dans l’entrecuisse, hors de ma vue.

Merveilleux !

Afin de mieux profiter du spectacle, j’imagine une petite stratégie simple et efficace. Je me lève pour piquer une tête à mon tour. En passant, ma nymphette ouvre un œil, tente de ne pas regarder mon sexe qui se balance sous ses yeux et m’adresse un petit sourire. Son œil d’un beau vert émeraude, semble briller d’une malice que je n’avais par remarqué tout à l’heure. A mon retour prés de ma serviette, je m’allonge sur le dos mais dans l’autre sens, ce qui dispose ma tête à moins de 30 cm de ses pieds. Au bout de quelques minutes, je me retourne bien évidemment sur le ventre pour la suite du spectacle…

Et je ne sui pas déçu.

Les pieds ne sont plus aussi fermés et un espace de quelques centimètres me permet de découvrir une très belle perspective. Le pied fin de la belle se prolonge par une jambe lisse et délicatement raccordé à un genou doux et rond. Les muscle nerveux de la cuisse s’insèrent avec naturel à l’aine bordée de fauve. Je vois distinctement cet espace si doux et si sensible, entre la cuisse et l’aine, où bas le sang en saccade qui soulève la peau chaque seconde.

Et surtout au centre, je vois la suite du sillon clair de sa vulve. Compressées l’une contre l’autre, les grosses lèvres forment deux bourrelet d’albâtre proéminents et lisses. Je suis si prés que je peux deviner que la belle ne se rase pas : la perfection de l’épilation des lèvres ne peut être faite qu’à la cire. Courageuse !

Dort elle ?

Un petit sursaut réflexe de sa jambe me le confirme. Les muscles se détendent sans doute dans son assoupissement. Ma nymphette se tourne légèrement sur la fesse droite et replis un peu la même jambe sur le côté, semblant oublier ma présence.

La pression protectrice des grosses lèvres n’est plus parfaite. Une petit crête de chair, d’un rose très pâle dépasse maintenant d’un bon centimètre. J’admire la fine dentelle translucide de cette petite lèvre livrée à mon regard voyeur. Elle poursuit son échappée de son antre protecteur et se laisse accompagner de sa consœur et jumelle, tout aussi ravissante.

Les deux pétales éclosent lentement sous mes yeux et révèle, au cœur du papillon humide, une perle ovale qui se niche à leur sommet. Rose sombre, gonflé et luisant, ce superbe clitoris trahirait-il une certaine excitation de ma belle rousse ? !

 

Une ultime rafale nous couvre tous d’une dernière couche de poudre de sable.

L’agonie de la colère d’Eole est à son paroxysme. Le sable redevient soudain calme et brillant, le bruissement des vagues chante de nouveau tranquillement alors que les cinquante rescapés de la tempête se lèvent presque en même temps et s’ébrouent.

La brune prend sa rousse de copine par le bras et, nues, elles prennent un dernier bain en riant avant de suivre la petite troupe qui se met en marche. Au bout de quelques pas, la belle rousse tourne la tête, me projette son beau regard vert tendre et malicieux au visage et me sourit largement …

Je garderai toujours en mémoire, le balancement léger de ses fesses nues alors qu’elle s’éloignait à jamais.

 
 
Par Maxime - Publié dans : Récits érotiques
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