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Votre serviteur

Je m'intéresse à l'art sensuel à travers ses différentes productions artistiques.

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Vous allez découvrir :

Mardi 22 janvier 2 22 /01 /Jan 00:27
Marlène 13 – Anilinctus d’un inconnu
 

Voilà déjà plusieurs semaines que nous discutons sur le net et au téléphone. Tu as vu mes clichés de nus et mes textes érotiques et tu as apprécié en connaisseuse, toi dont la plume noircit le papier avec une telle aisance sensuelle.

Le moment est venu pour notre première rencontre.

Tu viens chez moi en train et nous nous sommes donnés rendez-vous à ton arrivée à la gare. Tu as mis une jupe longue et ample et un chemisier un peu vague presque translucide. La grande enveloppe que je t’ai fait parvenir avant hier est sagement rangée dans ton sac

Tu es dans le train depuis maintenant deux heures. Tu te sens de plus en plus fébrile, dévorée par la curiosité de me découvrir enfin et ... d’ouvrir le craft brun de la grande enveloppe.

Encore 45 minutes à attendre !!! Tu la caresses de la main, la tourne et la retourne, sans oser rompre ta promesse. Tu t’es conformée aux instructions, même si, du fait de ta taille il n’a pas été facile de trouver une longue jupe... Tu es tellement nerveuse et excitée, tu as l'impression que tous les passagers le remarquent. Qui plus est, tu sens que tu es mouillée, depuis le départ du train... Dieu que c'est long ! Ces minutes te paraissent une éternité et tu ne cesses de consulter ta montre en triturant l'enveloppe...

Ca y est, c'est l'heure ! ... Tu décachètes l'enveloppe... tu trembles ...

Dans cette grande enveloppe se trouvent deux autres plus petites.
Sur chaque enveloppe est simplement inscrit " Pour commencer… " et " Ensuite…" ; la seconde étant plus épaisse que la première. Tu ouvres la première et voici la lettre que tu y découvres :
Bonjour Marlène,
J'ai une bonne et une mauvaise nouvelle pour toi, la bonne c'est que tu vas enfin pouvoir me montrer ce dont tu es capable et aller jusqu'au bout de tes envies.
La mauvaise nouvelle tu la découvriras dans la seconde enveloppe mais chaque chose en son temps… Pour commencer, tu vas te rendre dans les toilettes du train afin d'y retirer tes dessous, tous tes dessous. Ensuite tu reviendras à ta place pour ouvrir la seconde lettre.
Maxime.
P.S. : laisse ce courrier en évidence sur ton siège avant d'aller aux toilettes.

Tu te lèves lentement, les jambes flageolantes... Cette attente t’as mis les nerfs à fleur de peau... Tu poses l'enveloppe sur ton siège en jetant un œil furtif à ton voisin, cadre fatigué et assoupi après deux heures de travail acharné sur son PC en première classe, et tu te diriges vers les toilettes, en tanguant au rythme des mouvements du train. Tu entres dans les WC dont l'exiguïté n'est guère propice au déshabillage, tu dois redoubler d'attention et d'ingéniosité pour éviter que ta jupe ne traîne sur le sol douteux. Après quelques contorsions, tu réussis à ôter ta petite culotte. L’air frais s’engouffre autours de ton sexe et te fait frissonner un instant.


Puis, tu défais sans peine ton superbe soutien-gorge à balconnet, acheté pour l’occasion - Ce n’était pas la peine finalement ! - Au seul contact du chemisier qui retombe sur ton buste, te sens les pointes de tes seins durcir et se dresser et constate que le tissu transparent laisse largement entrevoir ton état !
Qui plus est, tu te rends compte que tu es partie un peu précipitamment du compartiment et que tu n’as pas pris ton sac ! Où vas-tu bien pouvoir mettre tes sous-vêtements ??? Tant bien que mal tu les roules en boule et les glisses à ta taille, coincés sous la ceinture de ta jupe. Je sors et me dirige vers ma place. Je suis écarlate, je le sens ! Non seulement mes seins ballottent au rythme du train, mais en plus mes sous-vêtements forment une bosse très visible !!! J'ai l'impression que tout le monde me regarde et me sent honteuse, mais aussi de plus en plus excitée par la situation...

De retour à ta place, le moment d'ouvrir la seconde enveloppe est arrivée :
Anna,
Voilà la mauvaise nouvelle, je ne vais pas venir te chercher à la gare comme je te l'avais promis. Tu vas trouver, joint à cette lettre, un plan détaillé pour te rendre chez moi. Je te rassure tout de suite, il n'y a pas plus de dix minutes de marche. Arrivé chez moi, tu entreras après avoir sonné une fois, sur la table du salon tu trouveras de nouvelles instructions à suivre scrupuleusement.
Maxime.

A la lecture de ces quelques lignes, je me sens un peu déçue, moi qui pensais être accueillie à la gare. Je regarde le plan, effectivement ça n'a pas l'air d'être très compliqué. Le trajet en train touche à sa fin, sans ma petite culotte je sens que mon excitation croissante a traversé le tissu de la jupe. Heureusement que celle-ci est de couleur sombre, ça ne se voit pas trop ! Nous arrivons, je me lève, enfourne prestement les enveloppes et mes sous-vêtements dans mon sac. Je tire un peu sur ma jupe qui collait à mes fesses et me voilà partie. Je sens l'air qui s'engouffre sous ma jupe et vient me caresser... C'est agréable ! Je suis le plan, me voici dans la rue, le frottement du chemisier sur le bout de mes seins m'excite, et je dois à plusieurs reprises poser les mains sur ma jupe que le vent soulève.
J'arrive devant la porte, je sonne une fois comme convenu et pénètre dans la pièce. Celle-ci est dans la pénombre, les rideaux sont tirés. J'entr'aperçois la table basse et me dirige vers elle, je me cogne à un meuble, ça fait mal. Les lieux ont l'air déserts, je ne comprends pas... Je vois l'enveloppe et me penche pour la ramasser...

Je la prends, l'ouvre fébrilement et découvre ce qu'elle contient :
Anna,
Si tu lis cette lettre c'est que malgré les obstacles tu as eu le courage de venir jusqu'ici et je t'en félicite, je suis fier de toi…
A présent tu peux te désaltérer et manger si tu le souhaites, tu trouveras tout ce qu'il faut sur la table du salon. Ensuite tu iras prendre une douche, la salle de bains se trouve au fond du couloir. Je te laisse le choix de te rhabiller comme tu l'es en ce moment ou de mettre la tenue que tu trouveras dans la salle de bains. Ensuite, tu étaleras sur la table les objets et vêtements que je t'ai demandés d'apporter. Une fois prête, il ne te restera plus qu'à laisser un message sur mon téléphone portable, tu te mettras le foulard en soie sur les yeux et m'attendras debout au milieu de la pièce, jambes légèrement écartées et mains libres dans le dos.
A tout de suite…
Maxime.
P.S. : une règle à respecter impérativement… ne jamais passer une porte que tu trouveras fermée !!!

Comme je l'avais pressenti, j'ai la confirmation à la lecture de cette lettre que les lieux sont déserts. Je pose les yeux sur la table, effectivement il y a de quoi se restaurer, mais je suis tellement nerveuse et excitée que je n'ai absolument pas faim. Je prends néanmoins une pomme dans la coupe de fruits qui est posée là et la croque nonchalamment. Puis, je bois, à même le goulot, une grande gorgée d'eau fraîche, qui coule un peu sur mon menton et entre mes seins. Je me dirige ensuite vers le couloir, la porte de la salle de bains est ouverte, les autres sont fermées. Je me sens un peu comme Alice au pays des merveilles et m’attend à tout moment à voir sortir un lapin s’écriant « je suis en retard, je suis en retard ! » …... Toutes ces portes fermées, je suis très tentée de les ouvrir, mais je me force à me retenir... J'entre dans la salle de bains et laisse tomber mes vêtements sur le sol. Je prends une longue douche brûlante, m'abandonnant sous la chaleur du jet.


En sortant, je regarde mes vêtements sur le sol, puis la tenue qui est prête à mon intention : un porte-jarretelles et des bas couleur chair, des chaussures à brides, très hautes, une robe longue à bretelles en soie couleur chair, très moulante et légèrement transparente, avec un profond décolleté drapé dans le dos et un string couleur chair également. Je décide d'essayer cette tenue. Une fois vêtue de la sorte, je m'allonge sur le canapé,  me regarde dans la glace, soulève le rebord de la robe en me disant que je dégage un érotisme fou. J'aime me regarder et j'aime qu'on me regarde. Je suis bien consciente de ce côté narcissique et j'adore ça.


Je plaque mes cheveux mouillés en arrière puis retourne dans le salon. Je fouille dans mon sac et en sors tout ce que j'ai apporté : un corset de satin rouge foncé, un string rouge, des bas résilles noirs, une paire de chaussures dont les lacets de cuir font plusieurs fois le tour de la cheville, un cigare très gros, dans son étui rigide, une bougie, un long ruban de satin noir et deux petites pinces métalliques à mâchoires, que j'utilisais quand j'avais les cheveux longs. Je dispose avec soin tous ces éléments sur la table et prend mon téléphone. Je laisse un message laconique : "Je suis prête". J'attrape le foulard de soie qui se trouve sur le fauteuil et l'attache sur mes yeux.
Me voici debout, au milieu de la pièce, jambes écartées, mains dans le dos, les yeux bandés…


Je Vous attends...

Après dix minutes d'attente, tu perçois le bruit d'une porte qui s'ouvre, puis celui feutré de mes pas sur la moquette épaisse. Silencieusement, sans un mot, je tourne autour de toi, te jaugeant du regard, me rapprochant puis m'éloignant à nouveau. Par instant le bruit de la circulation à l'extérieur couvre celui de mes pas et, alors que tu me penses à ta droite tu entends un bruit à ta gauche. Tu es complètement désorientée et c'est alors que tu sens l'effleurement d'un doigt sur ta colonne vertébrale, partant de ta nuque tu sens ce doigt descendre aussi bas que le permet ton décolleté, puis c'est un ongle que tu sens venir te griffer doucement au même endroit, descendant et remontant sans fin avec plus ou moins de vitesse. Tu penses peut être au sketch de Guy Bedos et de Sophie Daumier car je te vois esquisser un sourire.
Tu sens soudain une piqûre !
Juste au niveau de ta nuque, alors que la main qui se promenait sur ton dos est à présent posée sur ta hanche, puis la même sensation de piqûre se renouvelle quelques centimètres plus bas à l'endroit où se promenait mon doigt il y a quelques instants. Cette piqûre légère se renouvelle à intervalles réguliers le long de ta colonne vertébrale, intervalles de plus en plus rapprochées au fil du temps…
Ma main se retrouve bloquée par la fermeture de ta robe. Je saisis le téton d’acier et fait glisser le zip d’un coup sec. Deux doigts suffisent alors à faire glisser les bretelles et le frêle tissu s’effondre en virevoltant sur tes chevilles enchaînées de cuir.


La rotondité parfaite de ton fessier rebondit me saute au visage. Chaque jarretelle épouse parfaitement la rondeur de tes fesses et vient pincer avec quelques plis les bas pleins à craquer.
Sous mes yeux inquisiteurs, la ficelle de ton string sépare nettement tes deux superbes pamplemousses musculeux et vient rapidement se perdre entre les globes de chairs.

D’un geste, je coupe au ciseau la fine bande de tissu central et la retire délicatement du sillon fessier en la faisant glisser vers le bas. Tes fesses résistent un peu et finissent par relâcher comme à regret la ficelle incongrue qui les divisaient. Inconsciemment tu m’aides un peu en te penchant en avant avec douceur et en écartant subtilement tes cuisses.
Mon regard accroche alors avec délice le fond de la raie et la naissance du sexe qui se découpe dans le contre jour.
Te voici debout et presque nue. Tout comme moi.


Le supplice va pouvoir commencer.

D'abord ma langue glisse le long de cette peau délicieuse, y détectant un mélange de brouillard de douche et de sueur, ce qui ajoute un goût salé très plaisant, d'une épaule à l'autre, lentement, très lentement. Puis je commence à te mordiller par-ci par-là, ce qui à chaque fois t'arrache de légers frissons, et maintenant des bruits feutrés qui semblent ne pas sortir de ta gorge, mais directement de ta peau, de tout ton corps. Chaque mordillement est suivi d'une attente délibérée durant laquelle ma bouche n'est plus en contact avec ton corps, alors que tu peux sentir par le contact de nos troncs que ma tête se déplace. Cela t'indique que le prochain mordillement va bientôt arriver, mais tu ne sais pas où. Et c'est cette attente qui t'est presque intolérable. Les bruits feutrés deviennent des gémissements, et les frémissements des contractions, et il est clair que ce n'est pas de douleur que tu te tords !

J'abandonne le cou et les épaules, suivant le chemin facile tracé par les bornes des vertèbres qui m'indiquent la voie à suivre. Je mordille de part et d'autre de ce sentier cahoté, là où la chair peut être prise à pleine dent sans douleur.

L'excitation de l'inconnu est remplacée par l'anticipation du parcours connu, car maintenant tu sais que la prochaine bouchée sera prise un peu plus bas que la précédente. Je peux sentir que tu prépares l'endroit en question à me recevoir, et nous sommes en unisson dans ce ballet oscillant d'un côté à l'autre.

Au fur et à mesure de ma progression, je me baisse, écartant les jambes pour assurer mon assise. Mon pénis a donc glissé de ton dos, laissant une trace humide et plaisamment gluante, un fil fin entre ton dos, puis l'espace entre tes fesses, et mon gland à découvert, fil qui finit par se rompre au milieu et pendre vers le sol, attrapant un scintillement qui décrit un arc harmonieux entre mes jambes vacillantes mais fermement plantées.

Avec l'aide de la pesanteur, je continue ma progression. Mes mains agrippent tes hanches, tirant la peau, ce qui tend ton pubis parfaitement lisse et intensifie le battement du sang.

Je me retrouve presque sur les genoux, lèvres et dents explorant avec volupté la chair généreuse de tes fesses. Je m'y plonge avec délice, doucement secouant la tête d'un côté à l'autre quand je tiens un morceau de chair, comme si je voulais l'arracher, mais bien sûr cela ne te fait pas mal ni ne t'inquiète sur mes intentions, car c'est doux, tendre.

La ligne que j'ai suivie me mène à une gorge qui devient de plus en plus profonde alors que je continue à me diriger vers le bas. Je peux ressentir chez toi une fraction de seconde d'hésitation, les images qui essayent peut-être d'envahir ton esprit pour te détourner du plaisir qui monte. Mais tu dois réaliser qu'en plus de savoir que tu viens de prendre une douche, je suis le mieux placé de toute façon pour juger de jusqu'où je veux aller.

Alors je continue, pris comme par une douce folie de jouissance.

Car il faut dire que si tu as montré l'intensité de ton plaisir par tes mouvements, les sons que tu produis, et le liquide qui maintenant coule libéralement le long de tes jambes. Mon plaisir n'est pas moindre, je suis ivre au point de sentir ma tête en feu. Ma langue est devenue si sensible, que le simple contact de ta peau lui occasionne des lancées de plaisir intense.

Après avoir pris quelques dernières bouchées de tes fesses, à l'endroit le plus charnu, je continue exclusivement avec ma langue, ce qui amène une atmosphère totalement différente, comme si tout d'un coup on avait tamisé la lumière. Tout devient douceur et lenteur. Si tes épaules et ton cou m'avaient offert un mélange de fluides savant, ici je rencontre plus de sueur, quasiment ruisselant entre tes fesses, rassemblée par le V profond du bas de ton dos. Je la bois presque, et son sel attise ma soif de plaisir.

J'écarte doucement tes fesses, pour découvrir une zone où la peau a une douceur quasiment unique, la peau du bébé primordial. Je m'en délecte, ne sachant quel est le plus doux : le bout de ma langue ou la peau contre laquelle il tâtonne doucement. Le mouvement devient une série de contacts posés, d'effleurements presque sans mouvement latéral, ma langue se posant puis se relevant, pour déjà aller se poser à côté, à chaque fois créant un contact humide d'une teneur différente. Et à chaque fois qu'elle quitte ta peau, j'aspire doucement l'air autour de ma langue, ce qui a pour effet d'abaisser la température, te donnant un frémissement qui va se confondre avec l'émoi qui s'empare de toi.

Je me rends vite compte que la région autour de ton anus est incroyablement sensible. J'en perds presque mes moyens de pouvoir te faire gémir un peu plus à chaque fois par le seul contact éphémère d'une fraction du bout de ma langue contre ta peau si douce que j'arrive à peine à la distinguer quand je la touche.

Tes gémissements deviennent prières de continuer, tu as clairement rejeté les fausses idées inconfortables concernant l'endroit auquel je rends visite. Tu t'abandonnes au plaisir pur de cette langue ensorcelée qui te parcourt le pourtour de l'anus en une danse folle et pourtant si lente et floue. Ton ressenti devient si intense que tu as besoin de t'agripper au rebord du canapé pour ne pas tomber par terre.

Par osmose ou par le simple plaisir de jouir du plaisir que l'on peut donner, je ne vaux guère mieux : Je ne m'attendais pas, en rentrant dans cette pièce, à faire une des expériences les plus intenses de ma vie, et surtout avec si peu de mouvement : simplement le bout de ma langue allant discrètement à la découverte d'une zone normalement interdite et qui s'avère être la source d'un plaisir d'une intensité renversante !

J'en suis à me demander si tu ne vas pas trouver le moyen de jouir, tant ton corps continue de réagir en un crescendo qui ne permet pas de méprise. Et je peux ressentir que l'intensité du plaisir, du moins de ses manifestations externes, augmente avec la proximité croissante de mes attouchements avec ce muscle ridé qui ferme ton rectum.

Je me dois donc de poursuivre mon exploration plus avant, pris par l'intensité de mon propre plaisir. Ma langue, jusqu'alors seulement papillon voletant de-ci de-là, s'applique avec plus de poids, se faisant pointue pour avoir plus de force, et je commence à la promener sur le pourtour du sphincter, chaque arrêt offrant une pression ponctuelle sur le muscle à la grande résilience, contraste avec la peau délicieusement douce l'entourant.

Ta réaction est claire : l'intensité de tes gémissements et des trémoussements de ton arrière-train monte en flèche ! Je continue donc ce processus et tente de trouver les endroits qui la feront encore augmenter. Tout le pourtour du muscle est alors, par cette exploration, déclaré zone érogène de première classe !

Les forts gémissements deviennent subitement des râles profonds et tes mains agrippent les miennes et les serrent en un geste dont le sens est sans équivoque bien qu'exprimé sans mots : "Comment au ciel peux-tu me donner tant de plaisir en CET endroit !", quand ma langue s'enhardit, après avoir joué assez longtemps sur toute la surface du muscle, et concentre ses pressions sur la dépression se trouvant en son centre.

Ma langue est forte et heureusement, car ce muscle arrière est très puissant et résistant ! Je parviens tout de même à l’assouplir un peu, suffisamment en tout cas pour pouvoir insérer la pointe de ma langue de quelques millimètres, produisant, par un mouvement de va et vient, un contact très intime entre ma langue et le côté de ton muscle. Ma bouche se repaît de tes fesses au point que mes lèvres peuvent doucement prendre et serrer ton anus assouplit comme pour lui prodiguer un massage inconvenant, alors que ma langue continue son va et vient en douceur.

Tes jambes se sont mises à trembler avec violence, tu as porté tes mains à ton sexe, rejeté la tête en arrière pour expulsé un long cri rauque et animal, si long.
Et tu t’es effondrée dans mes bras en hoquetant.

Je n’avais même pas eu le temps d’utiliser les petits ustensiles disposés sur la table : ce sera pour une prochaine fois …

 
Par Maxime - Publié dans : Eroticblog
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