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Votre serviteur

Je m'intéresse à l'art sensuel à travers ses différentes productions artistiques.

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Lundi 10 mars 1 10 /03 /Mars 20:18
Rééducation particulière- la kiné

La petite histoire que je vais vous raconter s'est passée il y a près de 20 ans, chez une kiné de Grenoble, rue Lakanal, alors que j'avais à peine plus de 20 ans... et encore peu d'expérience sexuelle à mon actif.

 C'était mon troisième rendez-vous dans son cabinet et, comme d'habitude, je m'étais allongé sur la table, en slip, et la kiné se trouvait derrière moi, à hauteur de ma tête. Agé d'une quarantaine d'année, celle-ci était brune, mince et plutôt jolie, sans plus, mais dégageait une certaine sensualité qui ne me laissait pas totalement indifférent. Mais je n'étais pas là pour draguer, juste pour soulager mes douleurs cervicales et dorsales, contractées après quelques « caramels » au rugby le mois dernier. Du moins, le croyais-je...

 Comme à chaque début de séance, elle commençait par me masser la nuque et les épaules pour évacuer les tensions musculaires. Ce faisant, vaguement troublé, je m'efforçais de trouver normal la sensualité qu'elle mettait dans ses gestes ce jour là. "Bon, mais ça n'a rien d'extraordinaire, me disais-je intérieurement, elle travaille juste consciencieusement, ne te monte pas la tête. En plus, elle a une alliance et elle a au moins 10 ans de plus que toi !"

 Mais ses mains descendaient plus bas encore sur ma poitrine, s'attardaient au niveau de mes pectoraux, enveloppantes et caressantes. J'ai encore le souvenir de ses doigts crissants sur la peau glabre de mon torse, de ses doigts fouillant mes cheveux juste au-dessus de ma nuque. Je me sentais vaguement troublé, plutôt décontenancé. Le silence était total, sinon les bruits étouffés de la rue filtrant au travers de la fenêtre fermée.

 Je pris alors conscience qu'une atmosphère particulière régnait entre les murs du petit cabinet. Moi, nerveux et perdu dans mes pensées (est-ce que je me fais des idées !?), elle, les mains sur mes épaules, mon cou, ma poitrine, de plus en plus caressantes.

 
 (auteur ?)
Malgré moi, je pouvais sentir mon sexe gonfler sous mon slip, sans que je puisse arriver à maîtriser quoi que ce soit. Prisonnier du tissu, ma verge se trouvait de plus en plus à l'étroit et, en baissant au maximum mon regard vers mes hanches, je pouvais voir mon slip se déformer par intermittence, au gré des tressautements de plus en plus insistants de ma verge. 

 Une certaine panique commença à me gagner. Que dire ? Quoi faire ? Les mains, elles, continuaient de sinuer sur moi, comme si de rien n'était alors que de sa position - je le réalisais après - elle voyait forcément ce qui se passait.

 Les mains de la kiné quittèrent lentement mon corps puis je la vis se lever, faire mine de regarder deux ou trois papiers sur son bureau, l'air absorbé. Moi, je ne pensais qu'à la bosse de mon slip, à l'érection qui commençait à me faire mal et qui ne pouvait passer inaperçu.

 La kiné pourtant fit comme si elle ne voyait rien et, après avoir chercher son tabouret, s'assit latéralement à moi, au niveau de mon sexe. D'une voix détachée, elle me fit :

 -"Bon, nous allons maintenant..."

 Et elle s'arrêta, comme si elle découvrait soudain mon trouble.

Je me souviendrai toujours de ce qu'elle me dit ensuite, très tranquillement :

 "Oh la la ... Vous m'avez l'air bien à l'étroit ! C'est moi qui vous fait cet effet là ?"

 Devant ma gêne évidente, et avant même que je ne trouve les mots pour répondre, elle continua :

 - "Il ne faut pas vous inquiéter, c'est parfaitement naturel. Et pour tout vous dire, c'est même très flatteur..."

 Sur ce elle prit ma jambe qui se trouvait près d'elle et commença d'exercer des mouvements amples avec, un peu comme le ferait une grenouille en nageant. Manifestement concentré sur ses gestes, les mouvements circulaires se firent de plus en plus large ce qui provoqua un bâillement de l'élastique de mon slip puis la libération de l'extrémité de mon sexe, en l'occurrence mon gland gonflé et partiellement recouvert du prépuce.

 Gêné au plus haut point, je tentais maladroitement de ranger mon sexe sous mon slip, sans grand succès.

 - "Laissez-la donc dehors... me fit-elle, mutine, en arrêtant le mouvement avec ma jambe. Au contraire, il est grand temps de vous mettre à l'aise."

 Sur ces mots, elle caressa mon gland sorti et, ce faisant, quelques gouttes de liquide séminal se collèrent sur le bout de ses doigts. Aussitôt, elle porta ces derniers à sa bouche et fit à la façon que l'on goutte la préparation d'un gâteau avant de le mettre au four : 

 - "Hmmmmm... "

 Elle fit ensuite descendre mon slip, le fit glisser le long de mes jambes pour le retirer entièrement. Ma verge se dressa comme un ressort puis alla se plaquer sur mon ventre où elle était reliée par un filet de liquide translucide et gluant. J'étais maintenant complètement nu devant elle, avec une belle érection.

 Sa main empoigna ma verge, commença de la masturber de haut en bas, très lentement. Un gémissement de plaisir s'échappa de mes lèvres. Je relevais la tête pour regarder sa main me branler langoureusement, ses yeux fixés sur mon sexe.

 - "Ce qu'elle est belle... me complimenta-t-elle. Combien mesure-t-elle, vous l'avez déjà fait ? Il parait que tout les hommes font ça..."

 Haletant, je répondais :

 - "Oui, environ 18 cm, un tout petit plus, peut être ..."

 - "Et tes couilles, ce qu'elles sont douces, c'est la première fois que je touche un sexe d'homme entièrement épilé, c'est beau !."

 Sans cesser de me branler, elle entreprit de me lécher les testicules, de les gober jusqu'à ce qu'ils soient recouverts de sa salive chaude. Sa langue montait et descendait de mon gland jusqu'à eux tandis que je me tordais de plaisir.

 Puis, elle agaça encore ma verge un long moment sans l'enfourner dans sa bouche. Le délicieux supplice sembla durer une éternité jusqu'à ce que, sans prévenir, goulûment, elle l'enfonce dans sa bouche, presque totalement, sans à peine bouger. 

 Une main à la base de mon sexe, elle caressait mes couilles de l'autre, les malaxait, tirait sur la peau de mes bourses. Cette dernière main descendit ensuite vers mon anus qu'elle chatouilla un moment, sans vraiment chercher à le pénétrer mais en l’agaçant de l’ongle. Moi, je continuais à gémir de moins en moins discrètement.

 Sa bouche coulissa enfin sur mon sexe, je vis la tête aux cheveux bruns monter et descendre très sensuelement tandis que ses deux mains me caressait tour à tour les hanches, le ventre, les cuisses et les testicules.

 Elle me suçait divinement bien, sans précipitation, avec volupté et douceur. Régulièrement, elle plaçait mon gland tout au fond de sa gorge pendant quelques secondes puis reprenait le va-et-vient, avec des petits "Mmmmmh !" étouffés de plaisir. 

 Elle s'arrêtait un court instant pour me lécher le gland sur son pourtour. Ses lèvres brillantes happaient ensuite mon sexe en entier, glissaient dessus tandis que ses joues se creusaient comme pour mieux l'aspirer.

 Je savais que je ne tiendrais pas longtemps comme ça, que l'explosion que je sentais monter en moi, presque électrique, incontrôlable, était imminente. Pour l'avertir, je tentais de redresser mon buste pour l'écarter du jaillissement de sperme. Contre toute attente, sa main droite me repoussa fermement et sa bouche s'enfonça encore plus bas à la base de mon sexe.

 En de longues saccades, presque en criant, je jouis dans le fourreau de velours humide et tiède qu'était sa bouche chaude. Me redressant quelques secondes sur mes coudes, je vis un peu de mon sperme s'échapper de sa bouche épousant mon membre pour couler le long et rejoindre mes testicules imberbes.

 Elle me suça encore un long moment, bu jusqu'à la dernière goutte et lécha encore avidement la peau lisse de mes couilles.

 - "J'adore tes couilles... lâcha-t-elle plusieurs fois en les regardant avec douceur …"

 Moi, anéanti de plaisir, je ne pus que m'étendre de nouveau sur la table en haletant, les yeux fermés, ivre de plaisir. Alors que cette divine femme avait achevé son oeuvre, je pouvais encore sentir sa bouche et sa langue parcourir toute la surface de mon sexe que je sentais désenfler.

 La conclusion arriva sous la forme d'un long baiser qu'elle me prodigua, sa bouche et sa langue encore gluant de ma propre semence. Je ne refusais pas ce baiser, au contraire, je pris même un certain plaisir à partager ma liqueur avec elle.

 Puis, d'un petit mouvement de tête, elle me fit comprendre que la séance était terminée, que je pouvais me rhabiller ce que je fis, sonné, et sans pudeur, allant même jusqu'à essuyer devant elle mon gland avec le mouchoir qu'elle me tendit.

 -"La prochaine fois, c'est toi qui me feras jouir, me glissa-t-elle avant que je ne sorte du cabinet. Alors, à jeudi prochain, même heure. Et n'oublie pas les préservatifs."

La quatrième séance

La date du rendez-vous arriva enfin… 7 jours, 7 longs jours teintés d’impatience, d’excitation et d’appréhension, 7 jours encore où je ne passais pas une seule minute sans penser à ma kiné et à l’incomparable orgasme qu’elle m’avait procuré en me prodiguant une fellation comme on ne m’en avait jamais faite.

Le cœur battant, je marchais sur le trottoir qui menait à son cabinet, à 500 mètres de chez moi. J’étais nerveux, le soir commençait de tomber sur la ville dont je ne percevais même pas la clameur des rues, du va-et-vient incessant des voitures et des passants. Ma tête était ailleurs, obsédée par cette quadragénaire et par son corps que j’espérais pouvoir, cette fois, posséder.

Je ne comptais plus les fois où je m’étais masturbé en pensant à elle, longuement, et en évitant au maximum d’éjaculer car je voulais la voir en rêve encore et encore lécher longuement mon sperme. J’y étais parvenu, pas tout le temps, en visionnant un film porno, le soir, toujours le même puisque je n’en avais qu’un, afin d’enrayer quelque peu ma libido inassouvie. Le célibat a du bon mais pas en toutes circonstances…

Je pénétrais dans le hall, puis dans l’ascenseur puis, après avoir sonné, patientait dans la salle d’attente vide. Par intermittence, j’entendais sa voix étouffée au travers de la porte. Puis celle-ci s’ouvrit alors que je ne m’y attendais pas laissant apparaître ma kiné, souriante et vêtu de sa blouse blanche.

D’un petit signe de tête, elle m’invita à entrer après avoir saluer son avant-dernière patiente. Je me levais, intimidé, et entrais dans le petit cabinet. D’un ton faussement dégagé comme elle savait si bien le faire, elle me demanda de me déshabiller ce que je fis sous ses yeux attentifs. Je retirais enfin mon slip qui découvrit ma verge déjà tendue et dont le gland émergeait intégralement. Elle me regarda un petit instant, d’un œil admirateur et gourmand puis ouvrit sa blouse bouton par bouton, lentement. Le dernier une fois défait, elle en écarta enfin les deux pans dévoilant ses petits seins ronds et galbés, surmontées de deux larges auréoles couleur cuivre. Immobile, je détaillais son corps bien fait, son ventre joliment et légèrement bombée, ses jambes aux cuisses bien dessinées. Instantanément, je devinais combien le grain de sa peau allait être doux et lisse sous mes mains, sous ma langue. Une culotte blanche en dentelle très ajourée cachait à peine son intimité que je rêvais depuis des jours d’explorer.


Elle bougea ensuite, à reculons, pour s’asseoir sur le tabouret qui se trouvait juste derrière elle et écarta les pans de sa blouse comme ses cuisses, au centre desquelles je devinais le renflement prononcé de son sexe. 

Glissant une main sous l’élastique de sa culotte qui commença de se déformer sous l’action de ses doigts faisant de petits mouvements du bas vers le haut, elle me susurra dans un sourire attendri :

- « Branle-toi… Je n’ai jamais vu un homme se branler devant moi .. »

Au comble de l’excitation, bien que surpris, je serrais instinctivement ma verge entre mon pouce positionné-dessus, juste à la limite de mon gland et l’index et le majeur au niveau du frein. Je me masturbais de cette façon depuis toujours et si j’avais développé d’autres techniques depuis, cette façon de faire se révélait la plus naturelle pour moi.

Entièrement nu, debout, je me masturbais donc face à elle, ma verge pointée dans sa direction. Sous le fin tissu de ma peau, sous la grosse veine bleutée qui courait tout du long, mon sexe était dur comme du bois. Un mince filet de liquide séminal, ce lubrifiant naturel, gluant et translucide, que mon corps, mon sexe, produisait toujours en grosse quantité lors de mes érections, commença à se répandre sous mon gland, puis s’étira mollement vers le sol.

Mes yeux rivés sur la créature qui me faisait face, sur les mouvements de ses doigts s’activant sous le tissu de sa culotte, je me masturbais docilement, intérieurement heureux de l’impudeur de cette scène malgré une gêne dont j’avais vaguement conscience.

Puis ses doigts s’extirpèrent de la culotte, allèrent rejoindre sa bouche pour les lécher tout en fixant mon regard. Ils redescendirent ensuite vers son intimité pour caresser de plus en plus fermement le renflement sous le tissu que je voyais s’humidifier de sa mouille.

Après s’être caressé un moment, la kiné empoigna un côté du triangle de tissu trempé et tira dessus me dévoilant ainsi sa vulve luisante, d’un rose délicieusement nacré. Maintenant d’une main le tissu afin qu’il reste en place, l’autre main s’affairait sur ses lèvres entrouvertes qu’elle emprisonnait sous ses doigts, les titillant, les tiraillant doucement entre ses doigts. Son majeur glissa le long de sa fente, remonta et descendit plusieurs fois puis tournoya en petits cercles sur le pourtour de son clitoris que je percevais fugacement, me faisant penser à une petite perle.

A la voir s’abandonner ainsi, les yeux mi-clos, la tête presque posée sur son épaule, des frémissements coururent le long de mes cuisses, une onde de chaleur traversa mon ventre, mes cuisses et mon sexe turgescent que je continuais à branler, en le serrant de plus en plus fermement.

- « Viens prés de moi, me fit-elle en haletant légèrement, ne jouis pas encore. »

Je me rapprochais, ma verge tressautante et levée à hauteur de son visage. Sa main moite de mouille s’en empara, la branla un instant puis la conduisit vers sa bouche dans laquelle les deux tiers de mon sexe disparurent. Langoureuse, sa langue tourna autour de mon gland, le couvrit de sa salive brûlante et velouteuse. Prisonnier de sa gorge, je haletais tandis que ses deux mains caressaient alternativement mes fesses et mes reins. Mon corps tout entier se raidissait sous l’effet de ces caresses conjuguées.

Mais je ne tiendrais pas longtemps comme ça, je le sentais, mon plaisir n’allait pas tarder à exploser : j’allais me répandre dans sa bouche, sur sa langue exploratrice et enveloppante. Mais c’était trop tôt, je voulais prolonger le plaisir le plus possible, indéfiniment si cela avait été possible. La kiné pressentit aussi l’imminence de l’éjaculation. Tout en gardant mon membre en elle, elle étrangla alors la base de mon sexe, juste au niveau des bourses, le serra fort, fort pour réfréner le flot de sperme qui ne demandait qu’à jaillir. L’opération se révéla efficace. Ses lèvres quittèrent mon sexe comme prêt à exploser et, sinon, une coulée de ma semence épaisse, compacte, qui s’échappa pour aller sinuer sur sa joue, la nécessité de jouir retomba en même temps que mon membre qui s’amollit un peu entre ses doigts.

En même temps que sa main caressait fermement mes couilles, la kiné ramena du majeur le sperme se trouvant sur sa joue jusqu’à ses lèvres et me présenta sa bouche, grande ouverte sur sa langue baignée de ma semence. Je m’exécutais. C’est cela que j’aimais avec elle, cette propension qu’elle avait de toujours vouloir mélanger nos fluides intimes par le biais de ces baisers profonds et sensuels qu’elle réclamait silencieusement comme pour souder la complicité de nos jeux sexuels. La semaine dernière comme aujourd’hui, le fait se vérifiait : elle aimait boire mon sperme, mais je devais toutefois partager avec elle. Et je ne m’en plaignais pas.

Le baiser dura une longue minute, moi penché sur elle toujours assise, elle toujours malaxant mes testicules et ma verge tandis que mes mains parcouraient les globes de ses seins menus mais fermes.

C’est moi qui interrompit le premier le baiser. Ce que je voulais maintenant, c’est découvrir son sexe, cette fente rosée et humide depuis trop longtemps inaccessible, au regard comme au toucher. Avec une audace qui me surprit moi-même, moi, le jeune homme un peu timide, je la soulevais en la prenant par le dessous ses cuisses et par la taille, et l’emmenait sur la table de massage où je la couchais sur le dos. Je n’eus à cette initiative aucune forme de protestation de sa part.

Là, je la posais et m’empressais de retirer sa culotte que je fis glisser jusqu’à ces chevilles puis que je lançais au hasard dans la pièce. Je soulevais ensuite ces cuisses les ramenant complètement en arrière, ses genoux presque sur ses épaules et observait, admiratif. Sa vulve était épilée sur toute sa longueur, ce qui devait être assez rare à l’époque. Elle me paraissait dodue, gorgée de désir. J’admirais la beauté naturelle des nombreux replis de ses lèvres, plus brunes que le reste de sa peau, les grandes mais aussi les petites qui, à ma grande joie, pendaient légèrement comme les pétales délicats d’une fleur magnifique. 

La vue de son anus offert, au pourtour sombre et lisse, intensifia plus encore mon excitation. Je voulais le découvrir aussi, le goûter, y enfouir ma langue pour le fouiller sans le mettre à l’écart de ma gourmandise. Ce que je voulais, c’est me repaître de son intimité la plus profonde, la boire, m’en repaître goulûment même, pour m’en enivrer. M’agenouillant au bout de la table, maintenant toujours ses jambes en arrière, je commençais de donner des petits coups de langues sur les pourtours de la vulve, le derrière de ses cuisses, puis la région anale. Sur ma langue, pénétrant la première fois l’intérieur de son vagin, éclata une saveur adorablement acide et sucrée tout à la fois. 

A fleur de peau, la kiné se trémoussait sur la table, par petites secousses, non pas que la jouissance la gagnait déjà mais parce qu’elle imaginait déjà tout ce que j’allais lui faire dans les prochaines minutes et les prochains jours …

Mais la relation que j'entamai avec elle, les rapports sexuels débridés que j'eus avec elle par la suite seraient bien longs à décrire. Je peux juste vous dire qu'ils durèrent environ 6 mois, jusqu'à ce que nos relations ne s'espacent progressivement avant de s'interrompre complètement, sans raison précise.

 Aujourd'hui, je sais qu'elle exerce encore à Grenoble, à une autre adresse, et je me dis parfois qu'un bon massage me ferait du bien.

 Peut-être un jour...

Par Maxime - Publié dans : Récits érotiques
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Commentaires

super récit, cela a du être vraiment trés trés agréable et l'initiative venant d'elle a du rajouter à l'excitation de la situation. J'adore ce genre d'histoires imprévues.
baisers d'Armandie
commentaire n° :1 posté par : Armandie le: 10/03/2008 à 23h27
Voilà un délicieux récit qui me donne envie de prendre quelques séances chez le kiné...un homme sera t'il aussi entreprenant qu'une femme ? Allez savoir...
commentaire n° :2 posté par : noir intense 35 le: 29/03/2008 à 19h40
Bonne question ! Vu les aventures rocambolesques des faits divers, probablement que oui !
Maxime
réponse de : Zygomax le: 31/03/2008 à 01h26
Voilà une histoire à ravir ! Il faudra me donner l'adresse ! C'est le genre d'histoire totalement imprévue que chacun aimerait vivre, enfin que moi j'aimerai vivre !
commentaire n° :3 posté par : Maître Décadent le: 15/04/2008 à 13h53

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