Présentation

Votre serviteur

Je m'intéresse à l'art sensuel à travers ses différentes productions artistiques.

PS : les illustrations des textes ou articles sont propriété de leur auteur et sont en général taggées de leur nom lorsque disponible. M'informer des corrections ou compléments éventuels et me signaler tout problème SVP.

Vous allez découvrir :

Lundi 30 janvier 1 30 /01 /Jan 17:42

Marlène 3 :  Salle obscure et de luxure.

 

Sombre.

 Il fait très sombre ici et assez chaud.

 Mes bras nus reposent sur le velours décati d’un accoudoir vétuste. Mes jambes également découvertes frôlent le Skye du bas du siège sur lequel je suis assise. Mes cuisses sont protégées par une jupe serrée, très légère et par des bas très fins, retenus par un porte-jarretelles arachnéen que j’affectionne tout particulièrement. Mon string recouvre à peine de sa tulle transparente mon sexe lisse mais finement décoré d’un petit triangle pointu  brun sombre. Un triangle isocèle très court et ciselé de frais ce matin. J’ai jeté sur le tout un chemisier rose pale, largement échancré sur mes seins tout ronds qui trônent dans un push-up un peu affolant. A ma droite, mon genou touche celui de Cécile, ma meilleure amie. Comme à son habitude elle est splendide ! Sa crinière d’un roux flamboyant retombe en cascade sur ses épaules musclées et bronzées, pour replonger ensuite sur sa gorge pulpeuse. Un mini top rouge cache tant bien que mal le superbe balconnet qui propulse ses attributs à la vue de tous. Le nombril est largement apparent et découvre une superbe rubis enchâssé au fond de son nombril fendu verticalement comme un sexe de jeune vierge. Plus bas, le pantacourt taille basse- maxi est si « maxi » qu’il laisse presque à découvert un pubis dodu, parfaitement lisse, bronzé lui aussi, brillant et  bombé comme une pomme tendre. Il est facile de deviner que tout port de sous-vêtement est impossible. La trajectoire de la couture avant de son taille-basse achève de convaincre : elle pénètre assez largement entre les grandes lèvres confortables, les font saillir de chaque côté en deux bourrelets prometteurs, pour s’enfoncer encore plus loin entre ses cuisses tachetées.

A ma gauche mon genou effleure celui de Michel, son mari, un beau brun un peu ténébreux, mais d’un charme fou. Ses pectoraux m’on toujours impressionnée. Ses cuisses sont puissantes sous son pantalon de flanelle légère st son petit cul  musclé est un régal pour le regard (et parfois les mains, ou …plus) de ces dames qui ne se gênent pas pour se retourner parfois dans la rue.

Le film est un peu rasoir.

 Un peu fatiguée,  je m’affale un peu sur mon siège et ferme les yeux.

 Soudain je sens une main se poser sur moi. Instantanément je me raidis, surprise et réveillée. Je ne vois rien dans la pénombre de la salle. Mais cette main s’est posé sur mon ventre à hauteur du pubis. Vu l’orientation du poignet que je devine, il s’agit forcément de celle de Michel. Je ne bouge pas et garde les yeux fermés. La main ne bouge pas non plus, elle reste immobile, les doigts à hauteur de mon sexe. Au bout de quelques minutes je commence à en sentir la chaleur, puis la masse. Son simple poids appuie sur mon bas ventre et commence à provoquer un échauffement de mes sens. Ma respiration s’est accélérée.. Il a du s’en apercevoir : la main bouge. Remonte vers ma taille, descend lentement  la fermeture de ma jupe et s’engage dans le passage libéré. Elle repose désormais au même endroit mais seul le fin tissu de mon string me protège. Enfin manière de parler, comme pour le pantacourt de Cécile et avec les mouvements de mon corps, le tulle plonge assez profondément entre mes grandes lèvres lisses et permet aux doigts de peser directement sur le renflement glabre du capuchon de mon clitoris. Je me mords les lèvres et garde les yeux fermés, tendue et attentive.

 A cet instant un coup de théâtre se produit, une seconde main se pose, elle, sur mon genou.

 Il s’agit du genou droit ! Cécile ! La coquine me caresse lentement le genou, l’enserre dans sa paume, le malaxe lentement et entame une remontée vers l’intérieur de mes cuisses. Des frissons me parcourent. Me voici prise en tenaille entre mon amie et son mari ! La main de Cécile poursuit sa remontée en écorchant légèrement ma peau fragile de ses longues griffes toujours acérées. Elle atteint le liséré du bas, frontière de la décence et du plaisir. La sensation de cette main féminine sur la peau tendre et nue de mon entrecuisse me fait sursauter, je tente alors d’écarter un peu les jambes afin de faciliter la tâche à mon amie. La main en profite pour plonger vers ma fourche et atteindre ma vulve devenue bouillante.

 La main de Michel et de Cécile entrent en contact et s’immobilisent…

 Le temps est suspendu. Que va-t-il se passer ???

  Rapidement la main de Michel se retire de mon ventre.

  Déception.

 Mais je les sens immédiatement dans mon dos, elles sortent mon corsage de ma jupe, s’enfilent à l’intérieur et remontent dans mon dos. En une fraction de seconde mon soutien gorge dégringole et libère mes deux beaux seins ronds sous mon corsage clair. Les mains reviennent vers l’avant et dégrafent mon corsage.

 Un bouton, je sens le sillon de mes seins apparaître.

 Deuxième bouton, le galbe de ma poitrine est à nu.

 Troisième bouton, seul mes aréoles restent pudiquement voilées

 Quatrième bouton, mes seins pointent désormais  hors de leur refuge, hauts, fiers, arrogants. Les pointes se dressent et je sens un fin filet de sueur perler dans la douce vallée qui les sépare si peu.

 Le dernier bouton est défait et découvre tout le reste de mon ventre, la courbe de mes abdominaux de danseuse, mon nombril rond et profond, surmonté d’un petit piercing en forme de cœur et tout le reste  jusqu’à ma fine culotte, découverte par l’abaissement de la fermeture éclair de ma jupe.

   Pendant ce temps, la main droite de Cécile n’est pas restée inactive. Elle est redescendue au  niveau de mes genoux et, accompagnée de sa jumelle de gauche a entrepris de remonter ma jupe sur mes hanches. Je soulève au passage un peu mes fesses et me retrouve quasi nue sur le skie collant de ce siège de cinéma. La main droite de Cécile replonge alors entre mes cuisses et passe lentement son médius le long du sillon profond et détrempé de ma vulve. Il descend de haut en bas, enfonce encore un peu plus le tissu méconnaissable de mon string et plonge un peu plus loin jusqu’à la ficelle de ma dérisoire pièce de lingerie. Il remonte tout aussi lentement, s’attarde sur les bourrelets  formés par mes grandes lèvres, remonte encore vers la taille et attrape la fine attache de mon string sur mes hanches. Elle tire dessus lentement. Je soulève de nouveau mes fesses afin de permettre la chute de mon ultime rempart intime, sert un peu les cuisses, pour ne pas le déchirer. Il descend, l’élastique de mon string est maintenant presque à mi-cuisse, mais le tulle est toujours coincé entre mes grandes lèvres boursouflée par l’excitation. Le liquide que je secrète le colle irrémédiablement à mon entrejambe. Elle tire encore sur l’élastique. Mes grandes lèvres s’entrouvrent alors comme à regret et libèrent d’un  coup le tissu liquéfié dans un clapotis qui me fait honte et en dit long sur mon état.

 Pendant ce temps les mains de Michel ont pris possession de mon buste.

 Chaque sein est soigneusement caressé, soupesé, enveloppé et égratigné. Les pointes en sont taquinées sans ménagement et ont atteint leur taille maximum : elles pointent, dures, fières et appellent le baisé. La bouche de Michel se pose alors sur la pointe de mon sein gauche et provoque une houle de tout mon corps.

 Cécile en profite pour poser ses paumes sur la face interne de chacune de mes cuisses afin des écarter. Elles s’entrouvrent avec empressement  autant qu’elles le peuvent et viennent buter contre les accoudoirs. Cécile plonge immédiatement la main vers mon sexe semi-ouvert, caresse la peau enfin nue de ma vulve lisse, en suit les contours, attrape une à une chacune de mes pétales et les étire pour les faire saillir –j’ai les petites lèvres assez longues- et les faire déborder largement de mes grandes lèvres, telles deux langues rouges et avides. Puis elle plonge en leur centre, dans ce cratère carminé qui fume et s’écoule déjà sur le skie du siège en de longues traînées un peu visqueuses.

 Un doigt pénètre mon sexe et s’enfonce profondément en moi, je gémis longuement, il ressort et y retourne accompagné d’un second doigt. Ils ressortent et remontent vers le haut de ma fente. Les ongles agacent mon clitoris afin de le forcer  à se montrer. Celui gonfle alors ses joues, rougie, sort rapidement de son nid et tend le cou pour se faire câliner par la pulpe du doigt qui l’a débusqué. Deux doigts s’en saisissent et le torturent en le faisant rouler sur lui-même. Mon ventre est largement projeté en avant, je suis désormais complètement affalée sur mon siège, cuisse écartées, tremblantes, buste dépoitraillé et assailli par une langue irrésistible.

 La main droite de Michel quitte mon sein gauche et descend dans mon dos, flatte de la paume mes fesses en pommes, contractées par la tension qui m’habite et descend dans le sillon de mes fesses. Il passe au-dessus de mon anus en le touchant à peine : j’en sursaute. Descend plus bas rejoindre les doigts de sa femme, les caresses et remonte. Le majeur de Michel retrouve mon anus, mais cette fois le contact est plus doux, il est allé chercher un peu de ma cyprine pour retourne à son but. De la pulpe du doigt, il  masse doucement mon oeillet brunâtre. Iil tourne, virevolte, retourne, feint de s’enfoncer mais se ravise. Fesses tendues et n’en pouvant plus de cette torture, j’abaisse brutalement mon postérieur sur ce doigt facétieux et m’empale avec délice jusqu’à la garde.

  A quelques millimètres en avant, les doigts de Céline pétrissent fiévreusement ma vulve alors que trois de ses doigts font des aller-retours à grande vitesse dans mon vagin liquide, produisant un fort clapotis, digne d’une série X de bas étage.

 C’est à ce moment que Cécile a disparu.

 Ses mains me lâchent et je la devine se lever, mais c’est pour se glisser entre mes jambes, dos collé au siège vide de devant, comme la quasi-totalité de la salle, fort heureusement. Elle s’accroupit au milieu de mes cuisses, attrape mon mollet gauche et le projette par-dessus l’accoudoir. Mon sexe s’écarte encore un peu plus. Convaincue de ma souplesse, Cécile se saisie de mon mollet droit est l’envoi buter sur le ventre de son mari. Me voici en position de grand-écart, les fesses surélevées par les accoudoirs et l’anus et le sexe à parfaite portée de la langue de Cécile et des doigts de Michel. Qui dispose ainsi de plus de place. Il saisit l’occasion offerte pour planter un second doigt dans mon anus assouplit, tout en massant mes seins de sa main libre et en en butinant les pointes érigées.

 Cécile a enfoncé quatre de ses doigts dans mon vagin détrempé, elle retourne sa main paume vers le plafond et masse contre l’os de mon pubis la petite boule de nerfs à vif qui matérialise mon point G. De son pouce, elle pétrit fermement en cercles concentriques mon clitoris surchauffé et le presse fermement contre l’os du pubis: mon sexe est ainsi  empoigné dans une sorte de pince infernale et voluptueuse. Son mari l’imite aussitôt et insère un troisième doigt au fond de mon rectum au supplice. Sa main amorce également un terrible demi-tour et son pouce est maintenant en appuis sur le profond sillon qui sépare les belles rondeurs de mes fessiers.

 Soudain, mes jambes ne touchent plus les accoudoirs et je me sens soulevée. Les deux époux, dans une puissante traction, me soulèvent par mes orifices intimes. Les doigts profondément imbriqués au centre de mon corps me pénètrent atrocement. Mes yeux se révulsent et un cri rauque ne parvient même pas à sortir de ma gorge. J’entends un cliquetis de métal suivit d’un froissement de tissus sur ma gauche, je tourne la tête, dans la pénombre blafarde je découvre un gland violacé, surmontant une tige turgescente dressée comme un pal au-dessus du bas ventre de Michel. Les deux mains me transportent d’un demi-mètre à gauche pour positionner ma vulve écartelée par la main de Cécile au-dessus de ce pieu de chair rouge et tendue. Les deux mains abandonnent brutalement leur pénétration et je retombe sèchement sur le sexe large et brûlant qui m’attend impatiemment.

 Une décharge de douleur et de plaisir me traverse tout le bas ventre. Son sexe ressort et me pénètre de nouveau, ressort et se replante dans mon vagin affolé … Cécile pousse alors son avantage en se plaçant entre les cuisses de son mari et darde sa langue sur mon clitoris en feu, elle l’enlace en volutes ensorcelantes et le presse du plat de la langue contre ses lèvres.

 Je sens alors les puissantes mains de Michel empoigner mes hanches, me soulever encore plus haut … je retombe alors brutalement sur lui, mais c’est mon anus qui est visé. Sous la charge, le sphincter cède immédiatement. La bite gluante de ma propre mouille s’enfonce d’un coup et jusqu’à la garde dans mes reins.

 C’en est trop.

 Une onde de choc explose dans mon ventre, remonte dans mes reins, me perfore la poitrine et semble alors jaillir de la pointe de me sein vers le sombre néant du haut plafond de la salle obscure. Tous mes muscles sont tétanisés par l’intense salve de plaisir qui me secoue en longues vagues successives. L’ultime lame de  jouissance me projette en l’air en une convulsion brutale et maladive pour m’abandonner quasi-inconsciente sur le ventre de mon pourfendeur.

 Libérée de cette tension extrême qui me vrillait les reins, me voici  avachie sur les couilles de Michel,  vidées de leur liqueur.

  Molle, flasque, vaincue mais repue …

La soirée s’annonce animée …

Par Maxime - Publié dans : Récits érotiques
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Retour à l'accueil

Partenaire

Images Aléatoires

  • Katy-111-blak1-lise-sign-copie.jpg
  • Mes-images---CAPTIVE_1519-coul1-lise-sign-copie.jpg
  • Aurélie 306-blak1-lise-sign copie

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>

Images Aléatoires

  • Katy-111-blak1-lise-sign-copie.jpg
  • Mes-images---CAPTIVE_1519-coul1-lise-sign-copie.jpg
  • Aurélie 306-blak1-lise-sign copie
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés