Présentation

Votre serviteur

Je m'intéresse à l'art sensuel à travers ses différentes productions artistiques.

PS : les illustrations des textes ou articles sont propriété de leur auteur et sont en général taggées de leur nom lorsque disponible. M'informer des corrections ou compléments éventuels et me signaler tout problème SVP.

Vous allez découvrir :

Eroticblog

Mercredi 13 février 3 13 /02 /Fév 18:41
Notre voyage nous emmène aujourd'hui en Grande Bretagne. Nos cousins d'outre-manche bénéficient d'une météo maussade, mais la compense par des comportement plus chauds !

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Evolution :
Pour séduire, le nez a son importance.


Un site Internet propose à ses adhérents de trouver l'âme sœur en comparant les odeurs.

La raison pour laquelle deux personnes s'attirent mutuellement est l'un des petits mystères de la Vie. Ou plutôt, d'ailleurs, on ignore pourquoi deux per­sonnes qui, sur le papier, forment le couple idéal ne ressentent pas en définitive d'at­traction l'une pour l'autre...
L'une des hypo­
thèses est que la conscience humaine - et donc la pensée humaine - est dominée par la vision. La beauté, dit-on, réside dans le regard de l'observateur, et les autres sens importent peu. Pourtant, comme l'attestent les énormes chiffres d'affaires de l'indus­trie du parfum, la beauté passe aussi par le nez.
Lancé en décembre 2007, Scienti
ficMatch.com, un site de rencontres amé­ricain, a décidé de transformer ces odeurs en argent. Fondé par un ingénieur nommé Eric Holzle (qui avoue accumuler les rendez-vous galants), le site repose en partie sur

un constat fait en 1995 par le biologiste de l’évolution Claus Wedekind, de l'université de Berne, en Suisse.

Celui ci avait demandé à des femmes de sentir des tee-shirts portés pendant trois jours par trois hommes différents et de noter leur attrait. Il a ensuite analyse l'ADN des hommes et des femmes sujets de l'étude, en s'attachant en particulier aux gènes qui interviennent chez la plupart des vertébrés pour la formation d'une partie du système immunitaire appelée complexe majeur d'histocompatibilité (CMH) [quand il s'agit spé­cifiquement de l'être humain, ce CMH porte alors le HLA, ou antigène des leucocytes humains].
Claus Wedekind sait que, chez les
souris, le CMH joue aussi un rôle dans l'at­tirance sexuelle. Il donne à chaque individu une odeur que les autres détectent et qui contribue au choix du partenaire pour la reproduction. Dans la mesure où ce qui est vrai pour les souris l'est souvent pour les hommes, il s'est dit que le CMH affectait peut-être l'odeur de la transpiration humaine.

Il ne s'est pas trompé.
Les femmes ont pré­
féré les vêtements portés par les hommes dont le CMH était le plus différent du leur. Qui plus est, les femmes ayant un CMH simi­laire employaient des parfums similaires. Ce qui laisse entendre que les parfums ont pour but de faire ressortir l'odeur du corps, et non de la masquer, comme le veut la conception traditionnelle de l'esthétique. C'est logique du point de vue de l'évolution.
Les enfants des couples possédant une gamme étendue de gènes CMH - et donc de défenses immunitaires - seront mieux pro­tégés contre les maladies. Ce qui est parti­culièrement important pour une espèce sociale, collaboratrice, comme l'espèce humaine. Par ailleurs/comparer les CMH serait un moyen de vérifier l'existence ou non de liens de parenté et, donc, de prévenir la consanguinité. Une union fondée sur le CMH vous engage à penser que non seulement le linge sale de votre partenaire sentira meilleur, mais aussi que vous aurez de meilleurs orgasmes, moins de risques d'être trompé,

plus de bonheur, etc. !!!
Et les hétérosexuels ne
sont pas les seuls concernés.
Les homo­
sexuels réagissent tout aussi fortement aux odeurs dérivées du CMH, même s'ils réagis­sent plus à l'odeur de personnes de leur sexe que du sexe opposé.
Les seules personnes
pour lesquelles l'union fondée sur le CMH ne fonctionne pas, ce sont les femmes qui pren­nent la pilule. La contraception chimique, qui mime la grossesse., perturbe le système. Les femmes enceintes préfèrent ainsi l'odeur des CMH semblables au leur. Elles sont donc plus heureuses en compagnie des membres de leur famille, ce qui est peut-être aussi un avantage du point de vue de révolution.
Cela dit,ScientificMatch.com ne repose pas uniquement sur les odeurs.
Si on leur demande d'envoyer un échantillon de trans­piration prélevé aux aisselles, les célibataires pleins d'espoir doivent également remplir le questionnaire habituel de ce genre de site, en même temps qu'ils paient les 1995 USD  [1340 euros] d'inscription.

 
The Economist, Londres
 
Par Maxime - Publié dans : Eroticblog
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Mardi 12 février 2 12 /02 /Fév 18:19
Impossible d'évoquer la St Valentin sans parler du baiser.
Ou plutôt du "french kiss". Vous verrez à travers cet article espagnol, que le baiser n'est pas aussi anodin qu'il n'en a l'air  !...


Biochimie :
Le baiser, un instrument d'espionnage efficace

Derrière les baisers langoureux se cache une formidable machine à sélectionner le partenaire avec lequel on souhaite partager une relation durable.


Des chercheurs de l'université d'Albany, dans l'Etat de New York, ont réalisé une étude scientifique sur le baiser. A croire que la science est une affaire bien légère. Telle a sans doute été l'impression des 1041 étudiants trop contents de se porter volontaires pour l'expérience. Les résultats sont pourtant riches d'enseignements.
Derri
ère un baiser à pleine bouche, il y a des millénaires d'évolution, beaucoup de Darwin et une bonne dose de rouerie génétique. La conclusion la plus importante à laquelle sont parvenus les chercheurs est la suivante : ce qui a commencé comme une technique de cour a fini par devenir une méthode d'espionnage.
Le baiser, de pr
éférence bien profond avec la langue et le plus mouillé possible, fournit une base de données biochimiques que la femme traite inconsciemment mais implacablement. Elle en tire des informations sur la condition physique de n'importe quel candidat, même lointain, au rôle de père de ses enfants. Ce qui expliquerait pourquoi nous aimons tant nous « rouler des pelles », en enfonçant la langue le plus loin possible et en ouvrant la bouche au maximum.
Quoi qu'il en soit, l'étude conclut que les baisers espions sont davantage le propre des femmes. Les hommes eux s'en servent principalement comme invite sexuelle. La salive permet notamment un échange hormonal, par exemple de testostérone. Quand l'homme parvient à introduire de la testostérone dans la bouche de la femme, cela améliore la réceptivité sexuelle de sa partenaire.
Les auteurs
de cette étude expliquent qu'ils ont ciblé une population bien spécifique : de jeunes étudiants célibataires. Les résultats peuvent ne pas s'appliquer, ou moins s'appliquer, à des personnes plus âgées, mariées, ayant des enfants. Néanmoins, ils permettront de déterminer dans quelle mesure le baiser est un détonateur pour l'avenir (ou l'absence d'avenir) d'une relation. Les chercheurs concluent que bien embrasser n'est pas une garantie de succès.
En
revanche, mal embrasser conduit immanquablement à l'échec. Les hommes et les femmes s'accordent à attacher plus d'importance au baiser dans les relations au long cours que dans les passades. Dans ce dernier cas, le baiser est pour l'homme un simple instrument érotique ; il se montre plus disposé à s'en passer, et surtout il le considère plus utile au début de l'acte sexuel, pour lancer la machine, qu'à la fin.
La femme, en revanche, a plus tendance
à embrasser après un coït ponctuel.
L'homme
tend davantage à éviter le baiser quand il y voit le spectre de l'engagement. La disponibilité à l'engagement est l'un des éléments qu'une femme peut mesurer inconsciemment quand elle embrasse un homme.
Enfin, plus que les
femmes, les hommes utilisent le baiser pour mettre fin
à une dispute. En cela ils ressemblent aux chimpanzés communs et aux Bonobos (1), qui eux aussi s'embrassent beaucoup pour faire la paix.

Anna Grall, ABC, Madrid

(1) Les seuls singes connus pour avoir une activité sexuelle intense et pour le seul plaisir (physique et social).

Par Maxime - Publié dans : Eroticblog
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Lundi 11 février 1 11 /02 /Fév 18:31
Toujours dans le cadre de cette série "Sexe International" proposée à l'occasion de la St Valentin toute proche, un article Anglais cette fois sur le .. regard !

ATTIRANCE Plus qu'un coup d'œil
Une étude confirme que le regard Joue un grand rôle dans le processus de séduction des êtres humains.

Cela peut paraître une évidence pour tout amoureux transi, mais les psychologues viennent de le confirmer. Si vous voulez attirer quelqu'un, regardez-le dans les yeux .et souriez ! Une mâchoire carrée pour les hommes, des pommettes hautes pour les femmes, un nez parfait ou une peau sans taches peuvent être des éléments de sex-appeal, mais, dans l'attirance, c'est le regard qui compte le plus.
Des psychologues ont récemment démontré qu'on est plus attiré par une personne souriante qui nous regarde dans les yeux que par une autre qui l'est tout autant mais évite notre regard. Leur conclusion corrobore l'idée qu'hommes et femmes considèrent que, si quelqu'un les regarde dans les yeux, c'est le signe qu'il s'intéresse à eux - et qu'ils trouvent un attrait dans cette manifestation d'intérêt. "Ils évaluent celui ou celle qui est susceptible de les aimer.
Il ne
s'agit pas tant d'avoir un contact visuel avec une personne du sexe opposé que de regar­der quelqu'un qui nous intéresse", explique Ben Jones, psychologue de l'université d'Aberdeen. "Cette attitude relève d'un vieux désir de concentrer nos ressources de séduc­tion, limitées, sur des individus qui s'intéres­sent vraiment à nous."
L'étude dont il est l'un des auteurs a été effectuée auprès d'un groupe d'hommes et de femmes à qui l'on a demandé d'évaluer le pouvoir d'attraction d'une série d'hommes et de femmes photographiés en train de sou­rire, de froncer les sourcils, de regarder au loin et de fixer l'objectif.
Il s'est avéré que,
parmi toutes les combinaisons possibles, c'était toujours le visage souriant et fixant l'objectif qui était considéré comme le plus attrayant. Gela tend à prouver que les êtres humains sont attirés par des individus qui semblent s'intéresser à eux et que le pou­voir d'attraction ne se résume pas à la beauté physique. "C'est la première étude qui montre que, pour la plupart des gens, être regardé est plus important que les sentiments de ceux qui les regardent ou que leur sexe, poursuit Ben Jones. Même si cela paraît rele­ver du simple bon sens, c'est pourtant la pre­mière fois que ce constat est fait."

 
Traduit de l’anglais.
Article de Steve Connor, Journal The Indépendant, Londres
Par Maxime - Publié dans : Eroticblog
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Vendredi 8 février 5 08 /02 /Fév 17:50
Avec la Saint Valentin prochaine, nous allons avoir droit aux sempiternelles histoires "roses", aux offre de WE en relais château et autres dentelles à prix cassé.
Pour changer un peu, je vous propose d'aller voir ce qui se passe à l'étranger dans les médias.
Prêt(e) pour un beau voyage ?
C'est parti !
Commençons par Israël ... Et le bon docteur Ben Zion : une star là bas !


Le « scandaleux » Dr Ben Zion.

Quand un médecin participe à une réunion de famille, il se passe en général peu de temps avant qu'un cousin ne lui demande ce qu'il pense de telle douleur à la poitrine, de tel remède miracle contre les ulcères ou encore de la dernière pilule contre le cancer.
Le Dr Zahi Ben Zion, lui, peut participer à des réunions de famille sans être dérangé. En effet, il est hautement improbable qu'un proche le consulte pour des troubles de l'érection ou une absence d'orgasmes. Et ce n'est pas faute de savoir ce que Ben Zion fait dans la vie. Ce psychiatre et sexologue Israélien anime des conférences devant des publics d'étudiants, de médecins et des communautés thérapeutiques.
En outre, depuis quelques années, sa popularité a explosé grâce à des clips visibles sur Internet. Et, il y a six mois, prenant la mesure du phénomène Ben Zion, le producteur Zeev Eizik a décidé d'en faire une icône de la stand-up comedy en lui faisant réaliser un show à part entière : Okhel, shtiya, gever, isha ["Mange, bois, homme, femme", d'après le titre du film Eco, Drink Mon Waman (Salé sucré), du réalisateur taïwanais Ang Lee, sorti en 1994].
Bref, une étoile est née.

Un samedi soir d'octobre 2007, Tzahi Ben Zion enregistre son deuxième show au dock 11 du port de Tel-Aviv. En costume deux pièces, il serre les mains et distribue les baisers. "Ça me permet de jauger la composition de mon public (vieux, jeunes, religieux, laïcs, filles, garçons, Juifs, Arabes, etc.) et de m'y adapter." Le public, qui a déboursé 150 shekels [26 euros] pour une place, commence à s'installer et reçoit des rafraîchissements (alcoolisés et non alcoolisés), ainsi que des pizzas.
Ben Zion monte sur la petite scène, ôte son veston et démarre.


"Je sais ce que vous pensez. Qu'est-ce qu'un gros type comme moi peut bien vous apprendre sur le sexe ? C'est simple, une érection pour chaque homme et un orgasme pour chaque femme."
Pour lui, une bonne sexualité est le remède à tous les maux, la dépression, l'angoisse et même les rides. "Une femme qui a deux orgasmes par semaine a 30% de risques en moins d'avoir des rides." (SIC !)

Le phrasé de Ben Zion est rapide et son style direct. Les blagues se succèdent, et les gens commencent à parler de leur vie. Ses mains n'hésitent pas à tâter diverses parties de son anatomie pour se faire bien comprendre. Il parle d'anus, de bite, de chatte. Il lance des bordées d'injures pour illustrer une escalade verbale dans un couple, imite les gémissements d'une femme qui atteint l'orgasme.
Avec l'aisance d'un acteur de stand-up comedy, il donne à son visage poupin l'expression d'une femme irritée, ce stéréotype féminin que les Israéliens appellent "Ha'Pola-niyya" (la Polonaise), cette femme qui ne dit pas à son mari ce qu'il a fait de mal ni pourquoi elle boude, mais qui le met néanmoins en garde : "Tu l'as cherché, tu vas l'avoir." Et il n'hésite pas à mettre le public mal à l'aise en interpellant les gens qui réagissent ou qui essaient de s'en aller.

 "Un Bédouin est venu à mon cabinet. Il croyait être un éjaculateur précoce. Après vingt-cinq minutes !
'Après vingt-cinq minutes ? je lui dis, mais donne-moi donc un peu de ton sang !' Un de ses copains lui avait dit n'éjaculer qu'après quarante minutes, tandis qu'un autre se vantait de ne pas éjaculer avant cinquante minutes. Du coup, le gars paniquait ! Il a fallu que je lui explique que vingt-cinq minutes, c'était une sorte de record israélien. Il m'a remercié et est parti. Deux jours plus tard, il est revenu, fou de rage. 'Qu'est-ce que tu t'es imaginé, le Juif ? Parce que je suis bédouin, tu peux te foutre de moi ?' En fait, il avait loué des films pornos et minuté les performances des acteurs ! Or c'est quoi, le porno ? Un homme qui prend ce genre de films pour argent comptant a de sérieuses raisons d'avoir des complexes.
C'est bizarre, on peut regarder Superman sans pour autant sauter d'un gratte-ciel, mais les films pornos, eux, sont pris pour des documentaires.
Le Dr Ben Zion nous reçoit dans sa clinique d'Orner [une petite ville ashkénaze de la banlieue de Béesheva, la préfecture du Néguev]. Cela fait deux jours qu'il est revenu d'un séjour en Pologne, où il accompagné en tant que thérapeute une délégation de jeunes Israéliens dont faisaient partie ses propres enfants. Il se bat encore contre un microbe contracté là-bas, mais, bien que malade, il a du traiter une "urgence". Généralement, es "urgences" sont des nuits de noces contrariées chez des couples de juifs ultra-orthodoxes, de Bédouins ou d'autres communautés traditionalistes. Parfois, on lui demande carrément de venir sur place pour aider un jeune époux trop angoissé à prendre sa tâche à bras-le-corps "La plupart du temps, le traitement consiste à calmer les patients et à leur prescrire des médicaments », explique-t-il. Mais il arrive que, lorsque des résultats immédiats sont exigés, je fasse une injection dans le pénis pour provoquer une érection rapide et ferme. J'ai déjà été invité à plusieurs reprises par des Bédouins des environs, qui m'ont ainsi remercié de certaines interventions en urgence de ce genre.
Un jour, il a été appelé au chevet d'un patient qui désirait avoir une ultime érection après sa mort. C'était un nonagénaire à qui l'on avait greffé une prothèse électrique pour résoudre ses problèmes d'érection. "C'était un type incroyable. A son âge, alors qu 'il était déjà placé dans une maison de repos, il avait encore des relations sexuelles, non seulement avec son épouse, mais aussi avec des infirmières de l'institution ! Alors, j'ai exaucé son vœu et, après sa mon, j'ai enclenché sa prothèse et son membre s'est dressé une dernière fois."

Tzahi Ben Zion se comporte comme s'il était chargé d'une mission démocratique. Pour lui, tout le monde mérite d'avoir une vie sexuelle, pas seulement les top-modèles ou les stars du cinéma.
De plus, c'est sa propre apparence physique qui, précise-t-il, permet au public de s'identifier à lui et d'écouter son discours. "Ce n'est facile pour personne de venir écouter une conférence sur le sexe. Un jour, quelqu'un m'a reproché de me comporter comme un prédicateur évangéliste américain. Je préfère ça que ressembler à un bellâtre international, ce qui serait plutôt embêtant. Les gens pourraient penser : 'Oui, évidemment, avec une tronche comme la vôtre, vous n'avez pas de problèmes. Si je vous ressemblais, je n'en aurais pas non plus.' Mais, quand on voit quelqu'un comme moi, un gros type à lunettes qui se bat avec ses problèmes de poids, c'est plus facile de se projeter."

Cela fait maintenant huit ans que Tzahi Ben Zion organise des conférences hors du monde académique et professionnel. Jusqu'alors, il travaillait pour l'entreprise pharmaceutique Pfizer et donnait des conférences sur le Viagra, un produit nouveau à l'époque. "Mes conférences s'adressaient d'abord aux professionnels de la santé, puis, petit à petit, à un grand public évidemment moins réceptif aux graphiques qu 'à la mise en scène." Cela fait par ailleurs deux ans que des clips de ses shows sont mis en ligne sous le titre « Osim seks im Tzahi »* [Pratiquez le sexe avec Tzahi].

Comment réagissent ses confrères ? « Les plus subtils sont enthousiastes, et les plus idiots ne me prennent pas au sérieux. Moi, je sais que je fais une mitsva [bonne action] en faisant tout ça. » Et aussitôt de raconter une bonne blague :

"Un jeune homme entre dans une pharmacie pour acheter un préservatif. Il est un peu nerveux et se sent obligé d'expliquer pourquoi :
'Euh, hmm, ma copine vient enfin de m'inviter chez ses parents. Je sens que, si tout se passe bien, je pourrai passer la nuit avec elle.'
Avant de payer, il se ravise et demande un deuxième préservatif, tout en s'expliquant à nouveau au pharmacien :
'La sœur de ma copine me fait parfois de l'œil. Je crois qu'elle a envie de moi. Peut-être que, ce soir, je pourrai aussi me la faire.'
Alors qu'il sort son portefeuille, voilà qu'il demande un troisième préservatif. Au moment de payer, il rajoute :
'Il paraît que la mère de ma copine adore les beaux petits jeunes. Donc je devrais lui plaire. Peut-être que ce soir j'aurai aussi ma chance avec elle.'
Le grand soir arrive.
Devant la table, les hôtes et leur invité prononcent une rapide bénédiction avant de prendre leurs couverts, sauf le jeune homme qui reste debout et continue de prier, seul face à son assiette. Au bout de quelques minutes, sa fiancée le taquine gentiment :

'Je ne savais pas que tu étais si religieux.'

Et le jeune homme de répondre :

'Et moi, je ne savais pas que ton père était pharmacien.'

Quelle est la méthode du Dr Ben Zion lorsqu'un couple vient le voir ?
"Oh, rien de plus simple. Je les fais se déshabiller, je prends un sifflet et je donne mes instructions. 'A gauche ! Plus bas ! Laissez-moi faire, je vais vous montrer !'
Non, je rigole. Plus sérieusement, ma méthode est à la fois cognitive et comportementale. Je donne un devoir, les gens rentrent chez eux et ils me rendent leur copie à la séance suivante.

Limor Gai - Israël
 
Par Maxime - Publié dans : Eroticblog
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Mardi 5 février 2 05 /02 /Fév 18:45
Vous pouvez dorénavant visualiser l'ensemble des photos dédiées à ce texte Marlène 13, avec l'aimable concours de Julie ! (le petit problème technique est réglé !)
Par Maxime - Publié dans : Eroticblog
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Mercredi 23 janvier 3 23 /01 /Jan 23:12
Julie adore cette nouvelle histoire sensuelle. Elle m'a proposé d'illustrer ce texte à l'aide de quelques-unes de ses propres photos. Vous pouvez dorénavant relire cette nouvelle agrémentée des illustrations de Julie.
Si vous ne connaissez pas Julie, c'est par ici : JULIE SOUMISE
Par Maxime - Publié dans : Eroticblog
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Mardi 22 janvier 2 22 /01 /Jan 00:27
Marlène 13 – Anilinctus d’un inconnu
 

Voilà déjà plusieurs semaines que nous discutons sur le net et au téléphone. Tu as vu mes clichés de nus et mes textes érotiques et tu as apprécié en connaisseuse, toi dont la plume noircit le papier avec une telle aisance sensuelle.

Le moment est venu pour notre première rencontre.

Tu viens chez moi en train et nous nous sommes donnés rendez-vous à ton arrivée à la gare. Tu as mis une jupe longue et ample et un chemisier un peu vague presque translucide. La grande enveloppe que je t’ai fait parvenir avant hier est sagement rangée dans ton sac

Tu es dans le train depuis maintenant deux heures. Tu te sens de plus en plus fébrile, dévorée par la curiosité de me découvrir enfin et ... d’ouvrir le craft brun de la grande enveloppe.

Encore 45 minutes à attendre !!! Tu la caresses de la main, la tourne et la retourne, sans oser rompre ta promesse. Tu t’es conformée aux instructions, même si, du fait de ta taille il n’a pas été facile de trouver une longue jupe... Tu es tellement nerveuse et excitée, tu as l'impression que tous les passagers le remarquent. Qui plus est, tu sens que tu es mouillée, depuis le départ du train... Dieu que c'est long ! Ces minutes te paraissent une éternité et tu ne cesses de consulter ta montre en triturant l'enveloppe...

Ca y est, c'est l'heure ! ... Tu décachètes l'enveloppe... tu trembles ...

Dans cette grande enveloppe se trouvent deux autres plus petites.
Sur chaque enveloppe est simplement inscrit " Pour commencer… " et " Ensuite…" ; la seconde étant plus épaisse que la première. Tu ouvres la première et voici la lettre que tu y découvres :
Bonjour Marlène,
J'ai une bonne et une mauvaise nouvelle pour toi, la bonne c'est que tu vas enfin pouvoir me montrer ce dont tu es capable et aller jusqu'au bout de tes envies.
La mauvaise nouvelle tu la découvriras dans la seconde enveloppe mais chaque chose en son temps… Pour commencer, tu vas te rendre dans les toilettes du train afin d'y retirer tes dessous, tous tes dessous. Ensuite tu reviendras à ta place pour ouvrir la seconde lettre.
Maxime.
P.S. : laisse ce courrier en évidence sur ton siège avant d'aller aux toilettes.

Tu te lèves lentement, les jambes flageolantes... Cette attente t’as mis les nerfs à fleur de peau... Tu poses l'enveloppe sur ton siège en jetant un œil furtif à ton voisin, cadre fatigué et assoupi après deux heures de travail acharné sur son PC en première classe, et tu te diriges vers les toilettes, en tanguant au rythme des mouvements du train. Tu entres dans les WC dont l'exiguïté n'est guère propice au déshabillage, tu dois redoubler d'attention et d'ingéniosité pour éviter que ta jupe ne traîne sur le sol douteux. Après quelques contorsions, tu réussis à ôter ta petite culotte. L’air frais s’engouffre autours de ton sexe et te fait frissonner un instant.


Puis, tu défais sans peine ton superbe soutien-gorge à balconnet, acheté pour l’occasion - Ce n’était pas la peine finalement ! - Au seul contact du chemisier qui retombe sur ton buste, te sens les pointes de tes seins durcir et se dresser et constate que le tissu transparent laisse largement entrevoir ton état !
Qui plus est, tu te rends compte que tu es partie un peu précipitamment du compartiment et que tu n’as pas pris ton sac ! Où vas-tu bien pouvoir mettre tes sous-vêtements ??? Tant bien que mal tu les roules en boule et les glisses à ta taille, coincés sous la ceinture de ta jupe. Je sors et me dirige vers ma place. Je suis écarlate, je le sens ! Non seulement mes seins ballottent au rythme du train, mais en plus mes sous-vêtements forment une bosse très visible !!! J'ai l'impression que tout le monde me regarde et me sent honteuse, mais aussi de plus en plus excitée par la situation...

De retour à ta place, le moment d'ouvrir la seconde enveloppe est arrivée :
Anna,
Voilà la mauvaise nouvelle, je ne vais pas venir te chercher à la gare comme je te l'avais promis. Tu vas trouver, joint à cette lettre, un plan détaillé pour te rendre chez moi. Je te rassure tout de suite, il n'y a pas plus de dix minutes de marche. Arrivé chez moi, tu entreras après avoir sonné une fois, sur la table du salon tu trouveras de nouvelles instructions à suivre scrupuleusement.
Maxime.

A la lecture de ces quelques lignes, je me sens un peu déçue, moi qui pensais être accueillie à la gare. Je regarde le plan, effectivement ça n'a pas l'air d'être très compliqué. Le trajet en train touche à sa fin, sans ma petite culotte je sens que mon excitation croissante a traversé le tissu de la jupe. Heureusement que celle-ci est de couleur sombre, ça ne se voit pas trop ! Nous arrivons, je me lève, enfourne prestement les enveloppes et mes sous-vêtements dans mon sac. Je tire un peu sur ma jupe qui collait à mes fesses et me voilà partie. Je sens l'air qui s'engouffre sous ma jupe et vient me caresser... C'est agréable ! Je suis le plan, me voici dans la rue, le frottement du chemisier sur le bout de mes seins m'excite, et je dois à plusieurs reprises poser les mains sur ma jupe que le vent soulève.
J'arrive devant la porte, je sonne une fois comme convenu et pénètre dans la pièce. Celle-ci est dans la pénombre, les rideaux sont tirés. J'entr'aperçois la table basse et me dirige vers elle, je me cogne à un meuble, ça fait mal. Les lieux ont l'air déserts, je ne comprends pas... Je vois l'enveloppe et me penche pour la ramasser...

Je la prends, l'ouvre fébrilement et découvre ce qu'elle contient :
Anna,
Si tu lis cette lettre c'est que malgré les obstacles tu as eu le courage de venir jusqu'ici et je t'en félicite, je suis fier de toi…
A présent tu peux te désaltérer et manger si tu le souhaites, tu trouveras tout ce qu'il faut sur la table du salon. Ensuite tu iras prendre une douche, la salle de bains se trouve au fond du couloir. Je te laisse le choix de te rhabiller comme tu l'es en ce moment ou de mettre la tenue que tu trouveras dans la salle de bains. Ensuite, tu étaleras sur la table les objets et vêtements que je t'ai demandés d'apporter. Une fois prête, il ne te restera plus qu'à laisser un message sur mon téléphone portable, tu te mettras le foulard en soie sur les yeux et m'attendras debout au milieu de la pièce, jambes légèrement écartées et mains libres dans le dos.
A tout de suite…
Maxime.
P.S. : une règle à respecter impérativement… ne jamais passer une porte que tu trouveras fermée !!!

Comme je l'avais pressenti, j'ai la confirmation à la lecture de cette lettre que les lieux sont déserts. Je pose les yeux sur la table, effectivement il y a de quoi se restaurer, mais je suis tellement nerveuse et excitée que je n'ai absolument pas faim. Je prends néanmoins une pomme dans la coupe de fruits qui est posée là et la croque nonchalamment. Puis, je bois, à même le goulot, une grande gorgée d'eau fraîche, qui coule un peu sur mon menton et entre mes seins. Je me dirige ensuite vers le couloir, la porte de la salle de bains est ouverte, les autres sont fermées. Je me sens un peu comme Alice au pays des merveilles et m’attend à tout moment à voir sortir un lapin s’écriant « je suis en retard, je suis en retard ! » …... Toutes ces portes fermées, je suis très tentée de les ouvrir, mais je me force à me retenir... J'entre dans la salle de bains et laisse tomber mes vêtements sur le sol. Je prends une longue douche brûlante, m'abandonnant sous la chaleur du jet.


En sortant, je regarde mes vêtements sur le sol, puis la tenue qui est prête à mon intention : un porte-jarretelles et des bas couleur chair, des chaussures à brides, très hautes, une robe longue à bretelles en soie couleur chair, très moulante et légèrement transparente, avec un profond décolleté drapé dans le dos et un string couleur chair également. Je décide d'essayer cette tenue. Une fois vêtue de la sorte, je m'allonge sur le canapé,  me regarde dans la glace, soulève le rebord de la robe en me disant que je dégage un érotisme fou. J'aime me regarder et j'aime qu'on me regarde. Je suis bien consciente de ce côté narcissique et j'adore ça.


Je plaque mes cheveux mouillés en arrière puis retourne dans le salon. Je fouille dans mon sac et en sors tout ce que j'ai apporté : un corset de satin rouge foncé, un string rouge, des bas résilles noirs, une paire de chaussures dont les lacets de cuir font plusieurs fois le tour de la cheville, un cigare très gros, dans son étui rigide, une bougie, un long ruban de satin noir et deux petites pinces métalliques à mâchoires, que j'utilisais quand j'avais les cheveux longs. Je dispose avec soin tous ces éléments sur la table et prend mon téléphone. Je laisse un message laconique : "Je suis prête". J'attrape le foulard de soie qui se trouve sur le fauteuil et l'attache sur mes yeux.
Me voici debout, au milieu de la pièce, jambes écartées, mains dans le dos, les yeux bandés…


Je Vous attends...

Après dix minutes d'attente, tu perçois le bruit d'une porte qui s'ouvre, puis celui feutré de mes pas sur la moquette épaisse. Silencieusement, sans un mot, je tourne autour de toi, te jaugeant du regard, me rapprochant puis m'éloignant à nouveau. Par instant le bruit de la circulation à l'extérieur couvre celui de mes pas et, alors que tu me penses à ta droite tu entends un bruit à ta gauche. Tu es complètement désorientée et c'est alors que tu sens l'effleurement d'un doigt sur ta colonne vertébrale, partant de ta nuque tu sens ce doigt descendre aussi bas que le permet ton décolleté, puis c'est un ongle que tu sens venir te griffer doucement au même endroit, descendant et remontant sans fin avec plus ou moins de vitesse. Tu penses peut être au sketch de Guy Bedos et de Sophie Daumier car je te vois esquisser un sourire.
Tu sens soudain une piqûre !
Juste au niveau de ta nuque, alors que la main qui se promenait sur ton dos est à présent posée sur ta hanche, puis la même sensation de piqûre se renouvelle quelques centimètres plus bas à l'endroit où se promenait mon doigt il y a quelques instants. Cette piqûre légère se renouvelle à intervalles réguliers le long de ta colonne vertébrale, intervalles de plus en plus rapprochées au fil du temps…
Ma main se retrouve bloquée par la fermeture de ta robe. Je saisis le téton d’acier et fait glisser le zip d’un coup sec. Deux doigts suffisent alors à faire glisser les bretelles et le frêle tissu s’effondre en virevoltant sur tes chevilles enchaînées de cuir.


La rotondité parfaite de ton fessier rebondit me saute au visage. Chaque jarretelle épouse parfaitement la rondeur de tes fesses et vient pincer avec quelques plis les bas pleins à craquer.
Sous mes yeux inquisiteurs, la ficelle de ton string sépare nettement tes deux superbes pamplemousses musculeux et vient rapidement se perdre entre les globes de chairs.

D’un geste, je coupe au ciseau la fine bande de tissu central et la retire délicatement du sillon fessier en la faisant glisser vers le bas. Tes fesses résistent un peu et finissent par relâcher comme à regret la ficelle incongrue qui les divisaient. Inconsciemment tu m’aides un peu en te penchant en avant avec douceur et en écartant subtilement tes cuisses.
Mon regard accroche alors avec délice le fond de la raie et la naissance du sexe qui se découpe dans le contre jour.
Te voici debout et presque nue. Tout comme moi.


Le supplice va pouvoir commencer.

D'abord ma langue glisse le long de cette peau délicieuse, y détectant un mélange de brouillard de douche et de sueur, ce qui ajoute un goût salé très plaisant, d'une épaule à l'autre, lentement, très lentement. Puis je commence à te mordiller par-ci par-là, ce qui à chaque fois t'arrache de légers frissons, et maintenant des bruits feutrés qui semblent ne pas sortir de ta gorge, mais directement de ta peau, de tout ton corps. Chaque mordillement est suivi d'une attente délibérée durant laquelle ma bouche n'est plus en contact avec ton corps, alors que tu peux sentir par le contact de nos troncs que ma tête se déplace. Cela t'indique que le prochain mordillement va bientôt arriver, mais tu ne sais pas où. Et c'est cette attente qui t'est presque intolérable. Les bruits feutrés deviennent des gémissements, et les frémissements des contractions, et il est clair que ce n'est pas de douleur que tu te tords !

J'abandonne le cou et les épaules, suivant le chemin facile tracé par les bornes des vertèbres qui m'indiquent la voie à suivre. Je mordille de part et d'autre de ce sentier cahoté, là où la chair peut être prise à pleine dent sans douleur.

L'excitation de l'inconnu est remplacée par l'anticipation du parcours connu, car maintenant tu sais que la prochaine bouchée sera prise un peu plus bas que la précédente. Je peux sentir que tu prépares l'endroit en question à me recevoir, et nous sommes en unisson dans ce ballet oscillant d'un côté à l'autre.

Au fur et à mesure de ma progression, je me baisse, écartant les jambes pour assurer mon assise. Mon pénis a donc glissé de ton dos, laissant une trace humide et plaisamment gluante, un fil fin entre ton dos, puis l'espace entre tes fesses, et mon gland à découvert, fil qui finit par se rompre au milieu et pendre vers le sol, attrapant un scintillement qui décrit un arc harmonieux entre mes jambes vacillantes mais fermement plantées.

Avec l'aide de la pesanteur, je continue ma progression. Mes mains agrippent tes hanches, tirant la peau, ce qui tend ton pubis parfaitement lisse et intensifie le battement du sang.

Je me retrouve presque sur les genoux, lèvres et dents explorant avec volupté la chair généreuse de tes fesses. Je m'y plonge avec délice, doucement secouant la tête d'un côté à l'autre quand je tiens un morceau de chair, comme si je voulais l'arracher, mais bien sûr cela ne te fait pas mal ni ne t'inquiète sur mes intentions, car c'est doux, tendre.

La ligne que j'ai suivie me mène à une gorge qui devient de plus en plus profonde alors que je continue à me diriger vers le bas. Je peux ressentir chez toi une fraction de seconde d'hésitation, les images qui essayent peut-être d'envahir ton esprit pour te détourner du plaisir qui monte. Mais tu dois réaliser qu'en plus de savoir que tu viens de prendre une douche, je suis le mieux placé de toute façon pour juger de jusqu'où je veux aller.

Alors je continue, pris comme par une douce folie de jouissance.

Car il faut dire que si tu as montré l'intensité de ton plaisir par tes mouvements, les sons que tu produis, et le liquide qui maintenant coule libéralement le long de tes jambes. Mon plaisir n'est pas moindre, je suis ivre au point de sentir ma tête en feu. Ma langue est devenue si sensible, que le simple contact de ta peau lui occasionne des lancées de plaisir intense.

Après avoir pris quelques dernières bouchées de tes fesses, à l'endroit le plus charnu, je continue exclusivement avec ma langue, ce qui amène une atmosphère totalement différente, comme si tout d'un coup on avait tamisé la lumière. Tout devient douceur et lenteur. Si tes épaules et ton cou m'avaient offert un mélange de fluides savant, ici je rencontre plus de sueur, quasiment ruisselant entre tes fesses, rassemblée par le V profond du bas de ton dos. Je la bois presque, et son sel attise ma soif de plaisir.

J'écarte doucement tes fesses, pour découvrir une zone où la peau a une douceur quasiment unique, la peau du bébé primordial. Je m'en délecte, ne sachant quel est le plus doux : le bout de ma langue ou la peau contre laquelle il tâtonne doucement. Le mouvement devient une série de contacts posés, d'effleurements presque sans mouvement latéral, ma langue se posant puis se relevant, pour déjà aller se poser à côté, à chaque fois créant un contact humide d'une teneur différente. Et à chaque fois qu'elle quitte ta peau, j'aspire doucement l'air autour de ma langue, ce qui a pour effet d'abaisser la température, te donnant un frémissement qui va se confondre avec l'émoi qui s'empare de toi.

Je me rends vite compte que la région autour de ton anus est incroyablement sensible. J'en perds presque mes moyens de pouvoir te faire gémir un peu plus à chaque fois par le seul contact éphémère d'une fraction du bout de ma langue contre ta peau si douce que j'arrive à peine à la distinguer quand je la touche.

Tes gémissements deviennent prières de continuer, tu as clairement rejeté les fausses idées inconfortables concernant l'endroit auquel je rends visite. Tu t'abandonnes au plaisir pur de cette langue ensorcelée qui te parcourt le pourtour de l'anus en une danse folle et pourtant si lente et floue. Ton ressenti devient si intense que tu as besoin de t'agripper au rebord du canapé pour ne pas tomber par terre.

Par osmose ou par le simple plaisir de jouir du plaisir que l'on peut donner, je ne vaux guère mieux : Je ne m'attendais pas, en rentrant dans cette pièce, à faire une des expériences les plus intenses de ma vie, et surtout avec si peu de mouvement : simplement le bout de ma langue allant discrètement à la découverte d'une zone normalement interdite et qui s'avère être la source d'un plaisir d'une intensité renversante !

J'en suis à me demander si tu ne vas pas trouver le moyen de jouir, tant ton corps continue de réagir en un crescendo qui ne permet pas de méprise. Et je peux ressentir que l'intensité du plaisir, du moins de ses manifestations externes, augmente avec la proximité croissante de mes attouchements avec ce muscle ridé qui ferme ton rectum.

Je me dois donc de poursuivre mon exploration plus avant, pris par l'intensité de mon propre plaisir. Ma langue, jusqu'alors seulement papillon voletant de-ci de-là, s'applique avec plus de poids, se faisant pointue pour avoir plus de force, et je commence à la promener sur le pourtour du sphincter, chaque arrêt offrant une pression ponctuelle sur le muscle à la grande résilience, contraste avec la peau délicieusement douce l'entourant.

Ta réaction est claire : l'intensité de tes gémissements et des trémoussements de ton arrière-train monte en flèche ! Je continue donc ce processus et tente de trouver les endroits qui la feront encore augmenter. Tout le pourtour du muscle est alors, par cette exploration, déclaré zone érogène de première classe !

Les forts gémissements deviennent subitement des râles profonds et tes mains agrippent les miennes et les serrent en un geste dont le sens est sans équivoque bien qu'exprimé sans mots : "Comment au ciel peux-tu me donner tant de plaisir en CET endroit !", quand ma langue s'enhardit, après avoir joué assez longtemps sur toute la surface du muscle, et concentre ses pressions sur la dépression se trouvant en son centre.

Ma langue est forte et heureusement, car ce muscle arrière est très puissant et résistant ! Je parviens tout de même à l’assouplir un peu, suffisamment en tout cas pour pouvoir insérer la pointe de ma langue de quelques millimètres, produisant, par un mouvement de va et vient, un contact très intime entre ma langue et le côté de ton muscle. Ma bouche se repaît de tes fesses au point que mes lèvres peuvent doucement prendre et serrer ton anus assouplit comme pour lui prodiguer un massage inconvenant, alors que ma langue continue son va et vient en douceur.

Tes jambes se sont mises à trembler avec violence, tu as porté tes mains à ton sexe, rejeté la tête en arrière pour expulsé un long cri rauque et animal, si long.
Et tu t’es effondrée dans mes bras en hoquetant.

Je n’avais même pas eu le temps d’utiliser les petits ustensiles disposés sur la table : ce sera pour une prochaine fois …

 
Par Maxime - Publié dans : Eroticblog
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Mardi 22 janvier 2 22 /01 /Jan 00:23
Dans la série on en apprend tous les jours, voici une curiosité issue du cerveau d'un créateur amateur américain : "le canapé vagin" !
Et vous savez quoi ?! il est à vendre, 600 $ !
Mais à ce prix il faut venir le chercher !

Pedro Almodovar aurait il fait mieux ??!!!



Par Maxime - Publié dans : Eroticblog
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Lundi 14 janvier 1 14 /01 /Jan 17:56
On connaissait les articles de lingerie fine : culottes ouvertes, body transparents et autres jupettes de cuir. Mais je viens de "tomber" sur un article trés original !

Le finger string (mais oui !).

Le finger string est le plus délicieux et le plus coquin des strings qui existent.
Très simple et très épuré, on ne soupçonne pas un seul instant qu'il soit voué à la plus intime des jouissances.
Une petite fente horizontale a été prévue juste au-dessus de votre clitoris, pour que vous puissiez y glisser un doigt (ou deux !), très discrètement, et vous caresser(ou vous faire caresser !) sans même avoir à vous déshabiller ni à tenter vainement d'écarter le tissu au risque de l'abimer !
A vous de trouver les situations les plus improbables pour l'utiliser.
Bref, un string au look "sage" pour un usage "pas sage du tout" !

Qu'en pensez vous mesdames et messieurs ?!
Par Maxime - Publié dans : Eroticblog
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Jeudi 10 janvier 4 10 /01 /Jan 19:08
He oui ! Il y a peu d'années, c'était aux messieurs d'en redemander ! Il semble bien que depuis quelques temps (on ne donnera pas de date !) ce soit l'inverse ! Les hommes ont ils peur ? ou les femmes se sont elles (enfin !) libérées ?!
Bref, pour noêl, madame a reçu un drôle de cadeau et monsieur semble avoir quelques raisons d'être inquiet : elle joue avec le feu !

Par Maxime - Publié dans : Eroticblog
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