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Je m'intéresse à l'art sensuel à travers ses différentes productions artistiques.
PS : les illustrations des textes ou articles sont propriété de leur auteur et sont en général taggées de leur nom lorsque disponible. M'informer des corrections ou compléments éventuels et me signaler tout problème SVP.
Ancien élève des Beaux-Arts, Italo Bacardi exécute des empreintes de sexes féminins.
Une passion qui l'a naturellement conduit à débuter une collection de ses plus belles empreintes.
Vous êtes un fou ("folle") de "minou" ?
Petites lèvres ciselées, fermes et bien rentrées, un délicat clitoris toujours prêt à jaillir de son enveloppe sous les caresses habiles d'une langue ?
Vous pourriez passer votre vie la tête au creux des cuisses d'une belle ?
Alors je vais vous parler d'Italo et de son hobbie pour le moins original, il ne vous faudra pas très longtemps pour vous décider à immortaliser votre minou dans toute sa splendeur.
Direction : Saint-Tropez.
Vous qui veniez à peine de laisser repousser un charmant petit triangle de poils, vous voilà contrainte de tout raser avant "l'opération", afin d'éviter une épilation douloureuse lors du démoulage. En route, dans la voiture, vous vous surprenez à angoisser. Et s'il s'agissait d'un vieux lubrique qui s'était trouvé un bon prétexte pour toucher l'intimité des femmes? Bon, allez, ressaisissez vous ! Si ça se trouve, il est beau gosse, et ce ne sera pas aussi désagréable que vous pouvez l'imaginer.
Vous arrivez devant la porte de l'institut de beauté. C'est un homme grand, mince et jovial, au physique agréable qui vous accueille. Il vous fait pénétrer dans son atelier. Vous traversez un petit couloir qui mène à la salle des "tortures". Vous êtes tout émoustillée. Le cadre est agréable et chaleureux, tout en pierre, avec des mosaïques bleues et blanches. On se croirait dans un hammam. En fond, de la musique orientale très douce. Après lui avoir posé quelques questions sur le "déroulement des opérations", vous quittez tous vos vêtements et vous vous installez sur la table, jambes écartées.
Vous vous croiriez chez le gynéco, il ne manque plus que les étriers et le spéculum...
Italo étale sur votre minou et l'intérieur de vos cuisses une huile, afin que l'empreinte ne colle pas au moment de la retirer. Le contact de ses doigts sur votre sexe est très agréable. Vous vous sentez vous ouvrir sous ses caresses, et une chaleur intense vous envahit. Vous auriez presque presque envie de l'inviter à être plus pénétrant... Mais bon, restez sérieuse, vous n'êtes pas venue pour des galipettes !Italo vous prie de vous installer en tailleur, afin que vos lèvres soient bien écartées, et il coince un morceau de carton entre vos cuisses, à environ 10 centimètres de votre minou.
Vous l'observez pendant qu'il mélange rapidement une poudre avec de l'eau, jusqu'à obtenir une pâte épaisse et homogène de couleur verte.
La mixture est prête.
Italo en verse le contenu dans la cavité formée par vos cuisses, le bout de carton et la table.
Le contacte est frais !, mais la sensation devient vite agréable. Vous ne devez surtout pas bouger.
Au bout de trois minutes, la pâte se solidifie et vous passez au démoulage. Italo décolle l'empreinte très délicatement.
L'opération se passe sans douleur aucune, et votre sexe apparaît dans toute sa beauté, avec des allures un peu martiennes certes, vu la couleur vert pomme... Il installe alors le clone de "votre minou" dans un petit carton, et coule du plâtre à l'intérieur.
Quelques minutes plus tard, vous découvrez ensemble l'œuvre d'art.
Avouez que vous êtes plutôt fière du résultat. Autant que de l'original !
Vous décidez de faire un deuxième moulage dans une pose où vos lèvres seront un peu plus saillantes. Vous vous retrouvez accroupie, dans une position inconfortable mais très aguichante, sur un récipient en métal contenant le fameux mélange vert, afin de faire sortir vos lèvres le plus possible... C'est votre Jules qui va être content !
Rien que d'y penser, vous en avez des frissons. Résultat: ce second moulage est beaucoup plus expressif.
Normal, selon Italo, vos lèvres étaient plus gonflées. S'il savait les idées perverses qui vous traversent l'esprit pendant l'empreinte...
Vous êtes repartie de chez Italo avec votre moulage sous le bras et une envie de retrouver votre chéri à en avoir mal...
Maintenant, la statuette trône sur la table du salon de votre homme.
En plus d'ajouter une petite note très personnelle à sa déco, elle est censée aussi décourager les éventuelles rivales.
Peine perdue, vous êtes désormais une œuvre d'art, et il ne vous échangerait pour rien au monde, ni vous, ni votre petit minou !
Spécialiste du moulage, l'artiste revenait, dans un article de 2004, sur l'origine et la technique de sa collection très personnelle.
J'ai fait l'école des Beaux-Arts, et l'idée remonte à cette époque. Je réalisais des moulages en argile de mains et de pieds. Mais la prise d'empreinte à l'alginate restitue les détails d'une façon plus saisissante, le grain de la peau, les petits plis, etc. J'ai commencé il y a une dizaine d'années sur des amies avec qui j'avais eu des liaisons érotiques. Au cours des années, je me suis constitué une collection.
L'épilation tout d'abord, qui doit être parfaite. Il m'arrive de m'en occuper personnellement. S'il reste quelques poils sur les lèvres, les arracher avec l'empreinte serait plus douloureux qu'avec la cire. Le massage des lèvres à l'huile permet ensuite d'adoucir l'effet de l'épilation, mais aussi d'épanouir la forme du sexe qui va se gonfler légèrement par afflux du sang.
Quelles sont les qualités que doit présenter un sexe de femme pour en faire l'empreinte?
Être aussi charnu que possible. Les lèvres minces ont d'autres qualités, mais au niveau de l'empreinte, le résultat est moins spectaculaire.
Une vulve excitée donnera-t-elle une meilleure empreinte?
On peut dire ça. Bien sûr, il faut que la femme se prête au jeu et ne soit pas bloquée par la technique.
Du temps et de la patience. Un ami dentiste me fournit des sacs d'alginate. Mon métier de masseur à domicile me laisse des plages de temps libres dans la journée.
Êtes-vous excité pendant le déroulement des opérations?
Cérébralement, bien sûr. Mais vous savez, il faut aller vite, exécuter des gestes précis, on n'a pas vraiment le temps d'en profiter...
Que font les femmes de leur empreinte?
Elles la gardent, ou bien elles l'offrent à l'homme qu'elles aiment. Quand la prise d'empreinte est de bonne qualité et que je peux réaliser un deuxième moulage, j'en garde un pour moi.
Réaliser la prise d'empreinte de la superbe poitrine d'Estelle, votre journaliste testeuse ! De ses fesses aussi. J'ai très envie de réaliser des moulages de fesses ! Mais il faudra de nouveau faire face au problème technique de l'alginate qui durcit très vite et reste difficile à manipuler sur des volumes plus importants.
Nous choisissons d'abord ensemble la position que mon modèle va adopter. Lajjositior^ assise en tailleur est la_plus pratique pour des lèvres minces. Cela donne une forme d'empreinte différente, plus ouverte. Je place ensuite une planchette entre les cuisses du modèle. Puis, je mélange ma poudre d'alginate avec de l'eau, et je la coule rapidement dans le triangle aménagé par la planchette dans l'entrejambe. L'empreinte se solidifie en quelques minutes comme chez le dentiste. Je la place ensuite dans un récipient pour couler le plâtre, qui devient un objet d'art érotique auxjormes délicates.
Du temps et de la patience. Un ami dentiste me fournit des sacs d'alginate. Mon métier de masseur à domicile me laisse des plages de temps libres dans la journée.
Êtes-vous excité pendant le déroulement des opérations?
Cérébralement, bien sûr. Mais vous savez, il faut aller vite, exécuter des gestes précis, on n'a pas vraiment le temps d'en profiter...
Que font les femmes de leur empreinte?
Elles la gardent, ou bien elles l'offrent à l'homme qu'elles aiment. Quand la prise d'empreinte est de bonne qualité et que je peux réaliser un deuxième moulage, j'en garde un pour moi.
Réaliser la prise d'empreinte de superbes poitrines par exemple ! De belles fesses aussi. J'ai très envie de réaliser des moulages de fesses ! Mais il faudra de nouveau faire face au problème technique de l'alginate qui durcit très vite et reste difficile à manipuler sur des volumes plus importants.
On trouve des défilés de tout !
Voici des artistes qui n'ont pas froid aux yeux et dont les modèles ne doivent pas être frileuses ! Elles défilent entièrement nue, le sexe décoré de mèches colorées, de plumes et de touts sortes d'accessoires !
Un vidéo de 4 minute à voir absolument ! Etonnant.
"Septième ciel"
Soirée thématique ARTE le 10/10/2006 : "Qu'est-ce que l'orgasme ?"
Au mystérieux orgasme féminin, on a souvent opposé la simplicité apparente de la jouissance masculine. Femmes et hommes parlent librement de leur plaisir et tordent le cou aux idées reçues.
Un humoriste a dit que, pour atteindre l'orgasme, il fallait à la femme autant de minutes que de secondes à l’homme. Les saillies de ce genre sont légion. Elles dissimulent parfois un sentiment d'inconfort vis-à-vis du sujet. De grandes civilisations ont considéré la sexualité comme un art, une science méritant une étude attentive. Pour diverses raisons, l'Occident moderne a privilégié l'empirisme, jusqu'à des temps récents. L'idée que les femmes pouvaient retirer du plaisir des relations sexuelles n'était pas neuve. Néanmoins, la révolution sexuelle fut un séisme. L'école freudienne, Simone de Beauvoir, Masters et Johnson, Brigitte Lahaie, chacune et chacun apporta sa contribution. Des textes furent traduits du tibétain et du sanscrit, on médita dans les ashrams et sous les yourtes. Trente-cinq ans se sont écoulés. A l'heure où l'humanité n'ignore plus rien de la cosmologie tantrique et du rapport Kinsey, reste-t-il encore des espaces vierges sur l'atlas du sexe ? Deux documentaires aux titres évocateurs, « Pardon, mais c'est trop bon... », de Sophie Jeaneau (à 20MO), et « Alors, heureux ? », d'Yvonne De-beaumarché, (à 21h35), nous convient à leur intrépide exploration.
pousse à la performance.
être multiorgamisque.
Même si chacun sait que la gymnastique copulatoire n'est que la partie émergée de l'amour, il faut bien commencer par le commencement : à quoi sert l'orgasme ? Comment ça marche ? L'orgasme masculin est-il différent de l'orgasme féminin ? Confidences émues, témoignages francs, révélations surprenantes, analyses de psychiatres, de sexologues, de neurobiologistes nouent et dénouent la trame du désir, avec adjonction de gémissements, sarabande de godemichés, et, pour parachever cette subtile mise en abyme, extraits sautillants de films destinés à émoustiller la clientèle des maisons closes, au temps où jarretelles et fixe-chaussettes étaient de rigueur.
L'homme a naturellement un temps d'accouplement bref. D'où l'importance, s'il ne veut pas laisser un trop mauvais souvenir à sa partenaire, d'apprendre à gérer son excitation.
Certaines esquissent des petits cercles, toujours avec le même doigt, d'autres obtiennent l'orgasme par des contractions répétées du vagin. Chacune se fait son petit cinéma : l'amour avec Zorro, la maman et la putain, s'offrir au premier quidam. Au nom de quoi les dames seraient-elles plus sages que les messieurs ? Oui, elles se masturbent, mariées ou non, régulièrement, en pensant à des choses excitantes.
Clitoridienne ou vaginale ? A ce leitmotiv des magazines féminins, la majorité des lectrices répondent avec assurance, comme si elles revendiquaient leur appartenance à une caste. En vérité, physiologiquement parlant, toutes les femmes sont clitoridiennes et vaginales, même si le premier type d'orgasme est nettement plus facile à atteindre que le second. Un tiers seulement de femmes jouiraient par pénétration.
Muscler son périnée, c'est multiplier ses chances de rejoindre les happy few. A cet effet, un psychothérapeute viennois a mis au point un engin en forme de bouton de porte, avec lequel ses patientes s'entraînent intensivement. Depuis qu'elle sait contracter son vagin, Suzanne rayonne de bonheur. C'est une des meilleures élèves du Pr. Karl Stifter, qui ne prend pas l'orgasmus der Frau à la légère.
Au sein du marché du sexe, l'orgasme est une niche, un segment porteur. Dans le sud de la France, Sylvie organise des stages de découverte du point G : « Entrez votre doigt en crochet, à environ deux centimètres de l'entrée du vagin, vous sentez la boule ? » Ambiance moins baba-cool dans le cabinet d'un médecin esthétique parisien, où une jeune femme insatisfaite de la taille de son point G se fait injecter de d'acide hyaluronique (utilisé comme implant dans le traitement des rides) pour en augmenter le volume.
Objectif : favoriser le contact entre cette zone érectile et la verge de son amant…
Nous vivons des temps insatiables. L'idéologie sexuelle moderne pousse à la performance. Il faut jouir à jet continu, être multiorgasmique.
Et les hommes, donc ? A force de s'entendre dire que leur mécanique était simple, ils avaient fini par le croire. Eh bien, eux aussi les voilà en stage dans le sud de la France (toujours le sud, jamais le nord) pour y développer leur potentiel orgasmique.
C'est un héritage du singe supérieur. L'homme a naturellement un temps d'accouplement bref. Moins de trois minutes lui suffisent pour éjaculer, d'où l'importance, s'il ne veut pas laisser un trop mauvais souvenir à sa partenaire, d'apprendre à gérer son excitation. « Certains y parviennent intuitivement, d'autres ne trouvent jamais le truc », résume un sexologue entouré de fétiches africains. Contrôler le ludion du plaisir n'est pas évident. Pour maîtriser l'art de la rétention, l'homme doit apprendre à régler son rythme, à court-circuiter les spasmes. Là encore, un périnée obéissant peut être d'un grand secours. Un maître de la Chine ancienne préconise 5 000 pénétrations avant de s'abandonner, cela vous paraît excessif ?
Et puis, il y a les autres, tous les autres, les vaniteux à qui seule importe la satisfaction narcissique, les fébriles qui explosent avant le coup de pistolet du starter, et la multitude de ceux qui, par inhibition, puritanisme, timidité ou simplement parce qu'ils n'ont pas fait la bonne rencontre, restent boutonnés dans un pyjama une pièce toute leur vie.
=> Extrait d'une critique de l'émission parue dans un journal télé.Le clitoris: un rôle utile ou simplement un plaisir futile ?
En tant que femme, ce n'est pas très agréable à entendre, mais le clitoris n'a aucune utilité pratique. Il faut bien l'admettre: le clitoris n'a pas de canal urinaire et n'a donc aucune utilité dans ce domaine; le clitoris est incapable d'éjaculer, comme le pénis et l'ADN a donc été obligé de chercher un autre moyen de transport.
L'orgasme clitoridien est en outre aussi peu fiable et aussi capricieux que le temps en Belgique: parfois, il se manifeste, d'autres fois pas; une femme le connaît fréquemment, l'autre rarement ou jamais. Il reste finalement à signaler que le clitoris et le pénis se ressemblent étrangement sur le plan de ce qu'on appelle l'homologie génitale. Nous ne pourrions donc nullement reprocher à la science de se poser des questions quant à l'utilité du clitoris. A la lumière des théories de Darwin, il est en effet étrange de constater qu'un petit organe offrant un tel manque d'utilité visible (notez que nous n'avons nullement parlé de plaisir et de jouissance !) subsiste malgré tout.
Une première explication voit le clitoris comme une sorte de pénis rudimentaire. Selon cette théorie, le clitoris serait, tout comme les bouts des seins chez l'homme, un atavisme, une preuve tangible de ce qui aurait pu être, mais n'a pas été. L'homme a besoin de son pénis pour éjaculer, pour transmettre son ADN et pour uriner et il l'a dès lors conservé au fil des millénaires: le pénis est l'adaptation. Une femme, par contre, peut s'en passer sans le moindre problème et elle se retrouve donc avec un restant de cet organe, un exemplaire immature: le clitoris, une sorte de prix de consolation… soupir !
Une seconde explication représente le clitoris comme un clitoris rudimentaire. Dans ce cas, l'histoire de l'évolution veut que le clitoris n'est peut être plus très utile aujourd'hui, mais a bel et bien été une adaptation dans le passé. Nos ancêtres féminins auraient utilisé leur clitoris comme une arme à diverses fins: pour aplanir des disputes, pour se procurer de la nourriture, pour s'allier un nombre illimité de partenaires ou pour déguiser des questions de paternité. Cette explication voit la femme comme un entrepreneur, son clitoris constituant son capital. Il est inutile de préciser qu'une telle promiscuité peut difficilement être qualifiée "d'adaptée" de nos jours. Le fait que l'adultère soit puni de mort dans certaines cultures nous permet de conclure que la société actuelle penche davantage vers la monogamie. Le clitoris perd dès lors son statut d'organe parfaitement adapté. En réaction à cette évolution, il s'est rétréci au fil du temps et il s'est retiré derrière les doubles rideaux que sont les lèvres de la vulve. Si cette évolution se poursuit, nous pourrions, d'ici quelques décennies, parler du clitoris en disant "il y avait autrefois, il y a très longtemps…".
Nous préférons donc nous rabattre sur une troisième explication qui présente fièrement le clitoris comme étant une adaptation. Les défenseurs de cette théorie proclament que le clitoris est destiné à encourager sa propriétaire de prendre le contrôle de sa sexualité en main.
Capricieux comme il peut l'être, le clitoris refuse toute coopération s'il n'est pas traité comme il le souhaiterait. Il fournit par contre des performances inégalées lorsqu'il bénéficie de l'attention qu'il mérite, expliquent les adeptes de cette théorie. Dans le cadre de ce raisonnement, le clitoris devient une sorte de camarade de jeux avide de pouvoir qui aspire à la domination. Il revient dès lors à la femme d'apprendre à manipuler le clitoris afin de veiller à sa satisfaction. En échange, elle bénéficie des vagues extatiques d'un merveilleux orgasme. L'une des preuves invoquées pour justifier cette thèse du "clitoris au pouvoir" est le rôle joué par l'orgasme dans le processus d'absorption des spermatozoïdes. L'orgasme offrirait à la femme une façon cachée de régner sur le sperme en l'acceptant ou, au contraire, en le rejetant. Lorsque la femme connaît un orgasme juste après l'éjaculation de l'homme, le col de l'utérus se distend comme la bouche d'un poisson et aspire toute la semence abandonnée par le pénis. Baker et Bellis ont pu prouver ce mécanisme au moyen d'images vidéo obtenues en fixant une micro-caméra au pénis d'un homme avant que celui-ci ne pénètre la femme. Le combat de ces petits poissons que sont les spermatozoïdes pour accéder à l'ovule tant convoité serait donc finalement tranché par la femme: c'est elle qui décide, c'est son orgasme qui détermine si les semences sont accueillies ou se retrouvent devant une porte fermée. Ce processus confère une position de force inégalée au clitoris et à sa propriétaire. L'honnêteté nous oblige à préciser que les données de Baker et Bellis sont exposées à de nombreuses critiques, mais admettons-le: l'idée est absolument fantastique !
Envoyé par : I. Pelemans
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