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Votre serviteur

Je m'intéresse à l'art sensuel à travers ses différentes productions artistiques.

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Récits érotiques

Mardi 13 février 2 13 /02 /Fév 00:57
Marlène 10 – Le petit bikini rouge.

 

Je ne dirai pas que le sexe n'y fut pour rien. C'était son corps, après tout, qui m'avait d'abord attirée.

Je me souviens encore du Bikini. Il était rouge. Avec un bas minuscule aux deux parties reliées par une bande si fine qu’elle en était transparente et laissait voir la peau bronzée de la hanche. Irrésistible. Mais tout de même, ce n'était pas le plus important.

L'ennui et la solitude y avaient aussi leur part. Ma meilleure amie Ségolène venait de s'en aller après quatre années de « tendre passion ». Mon déménagement avait précipité la rupture définitive, mais je crois qu'elle serait partie même si j'étais restée dans ce quartier du Grésivaudan. Cette question lui avait seulement fourni un prétexte com­mode.

La perte de Ségolène avait sérieusement ébranlé ma confiance en moi-même. Recommencer à courir l'aventure me fai­sait un peu peur et je n'avais pas un travail qui m'aurait distrait de mes problèmes person­nels. Et on était en plein été. Je restais donc chez moi à traînasser, avec pour seule compagnie la télé et quelques livres de poche. Et c'est ainsi que tout a com­mencé.

Je ne l'ai pas vue emménager, car j'étais ce jour-là à Lyon avec un client. Ma maison est bâtie sur la colline de Biviers et domine de toute sa hauteur celles qui se trouvent de l'autre côté de la rue. La maison des Stendhal était inoccupée depuis un mois. Elle était petite, séparée de la chaussée par un joli carré de pelouse qu'une haie d'arbustes protégeait de tous les regards sauf du mien. Il est certain que le fait d'habiter une maison située en hau­teur représente un réel avantage quand la voisine d'en face est une jeune et jolie fille habituée à prendre des bains de soleil dans un minuscule Bikini rouge.

J'étais devant ma fenêtre quand elle est sortie de chez elle. Elle semblait calme et sûre d'elle. Si elle m'avait vu, je ne crois pas que ça l'aurait gênée. Elle tenait une grande serviette de bain et un flacon d'huile à bronzer d'une main, et un maga­zine de l'autre. Elle a secoué plusieurs fois la serviette, d'un geste nonchalant, pour bien l'étaler. Puis elle s'est enduite d'huile à bronzer. Puis elle s'est allongée sur le dos en rejetant ses longs cheveux bruns en arrière, et a fermé les yeux. Elle semblait d'un calme impressionnant.

J'ai dû l'observer pendant une heure, ce premier jour. J'allais de temps à autre faire un tour dans la maison, mais j'étais irrésistiblement ramenée vers la fenêtre. Le moindre de ses gestes me troublait. Chaque fois qu'elle s'étirait, qu'elle se retournait, je sentais les battements de mon cœur s'accélérer. Je me rappelle encore, douloureusement, ma déception quand elle a fini par rentrer.

Le lendemain, je n'ai cessé d'aller et venir fébrilement devant la fenêtre du living-room. Je me souviens de l'excitation qui m'a saisie quand ma vigilance a été enfin récompensée. Au début, j'ai tenté d'imposer des limites à ce voyeurisme. Je quittais intentionnellement la maison dans l'après-midi, ou installais une chaise longue dans la cour arrière, d'où je ne pouvais pas la voir. (C'est ainsi que j'ai remarqué pour la première fois la C4 grise garée sur la route qui passait der­rière ma maison, mais sur le moment je ne me suis pas posée de questions.) Puis j'ai renoncé à me discipliner, et ma surveillan­ce quotidienne est devenue routine.

Si je me souviens précisément du pre­mier jour où j'ai vu Sophia, je ne sais plus très bien à quel moment je suis passé de la surveillance à la tentative de filature. Je sais que c'était une à deux semaines après qu'elle eut emménagé, mais c'est tout. Un brusque changement dans ses habitudes qui a piqué ma curiosité. J'avais pu, au cours de cette première période, me faire une idée assez précise de son emploi du temps. Elle le suivait avec une certaine régularité et j'avais acheté une puissante paire de jumelles.

Levée vers 10 heures (je la voyais par la fenêtre de la cuisine), elle prenait son bain de soleil de 2 à 4 heures de l'après-midi. Elle sortait rarement le soir et personne ne venait la voir. Elle allait de temps en temps faire des courses, mais même ces sorties-là étaient régulières : le mercredi vers 14 heures.

Puis, un mardi, elle est sortie de chez elle à 9 heures du matin. Je m'en suis aperçue par hasard, en passant de la chambre à la cuisine. Et le jeudi matin, même chose. Avec, chaque fois, un retour à midi. Au bout de quelques jours, j'ai vu qu'elle portait un grand carton à dessin de teinte rougeâtre. Ségolène ayant elle-même suivi des cours de dessin pendant un an, j'avais tout de suite compris de quoi il s'agissait. Peut-être cette fille était-elle une étudiante ? Les cours d'été venaient sans doute de commencer. J'ai décidé d'en avoir le cœur net.

A ma première tentative pour la suivre, j'ai lamentablement échoué. Je l'ai épiée de ma fenêtre, cachée derrière le rideau, jusqu'à ce qu'elle sorte. Puis je suis allée chercher ma voiture. Calmement, pour ne pas attirer son attention. Trop calmement.

Le temps de sortir la voiture du garage, elle n'était plus là…

Le lendemain, elle était heureusement fidèle au poste sur la terrasse. Il faisait une chaleur douce et agréable, différente de ce que nous connaissons d’habitude dans la cuvette Grenobloise à cette saison.

Elle s’est allongée sur son bain de soleil. Longue, fine, ferme jusqu’au bout des mollets. Le même mini-maillot rouge moulait deux beaux seins ronds et pointus qui semblaient vouloir s’échapper à tout prix. Le bas épousait parfaitement une vulve forcément glabre vu l’étroitesse du tissu. On voyait parfaitement le bombé sensuel du pubis, surmonté d’un ventre musclé et nerveux. Le nombril laissait jaillir un petit diamant enchâssé sur un piercing d’or. Elle posa son livre à terre et ferma les yeux, immobile.

Déglutissant avec peine, j’installais mon fauteuil confortablement afin de mieux profiter du spectacle. J’attrapais mes belles jumelles toutes neuves et je me positionnais en petite voyeuse, toute excitée.

Cela faisait bien quinze minute qu’elle n’avait pas bougé et l’absence de vent rendait l’atmosphère un peu plus étouffante qu’à l’accoutumée. De fines perles de sueurs commençaient à naître sur son ventre nerveux exposé aux chauds rayons du soleil de juillet. Je le voyais monter et descendre en cadence, au rythme de sa respiration alanguie. Son petit nez mutin faisait un peu d’ombre à une bouche carminée et entrouverte sur deux rangées de dents aussi blanches que régulières. Mes jumelles étaient si puissantes que j’avais la sensation de percevoir son souffle sur mon visage de voyeuse.

Soudain elle releva le haut du corps, porta les mains dans son dos défit quelque chose et arracha prestement le haut de son maillot.

Les seins étaient parfaits. Ronds, pleins et surmontés de larges aréoles de brune méditerranéenne. Elle releva le dossier de son transat et se rallongea, mais ses seins ne perdirent rien de leur prestance, au contraire, ils trônaient fièrement toujours aussi ronds au dessus de ce corps de velours, comme deux sentinelles aux aguets. Elle repris son bouquin, chercha sa page et se mis à lire, en monokini.

La position relevée avis permis aux quelques gouttes de sueur de se rejoindre et de former des bulle d’eau un peu plus grosse. La pesanteur aidant elles commencèrent à descendre.

La première glissa prestement entre les seins, contourna le globe charnu par le dessous, l’abandonna pour filer tout droit vers les abdominaux. La seconde pris le même chemin mais poursuivi sa course au centre, tout droit vers le nombril et s’y enfourna. Une dizaine d’autres suivirent le même chemin avant que le trop plein ne soit contraint de se déverser encore un peu plus bas.

Leur progression fut difficile du fait du fin duvet blond qui freinait leur course. Elle finirent par surmonter l’obstacle et disparurent de ma vue en se glissant entre le fin espace laissé entre le haut du maillot et la peau, espace ménagé par la tension de l’élastique du string sur les hanches. Je les imaginais alors poursuivre leur chemin, plongeant par dessus l’arrondi d’un pubis parfaitement lisse, puis se faufiler le long du capuchon, contourner la peau si fine de la fourchette, caresser un instant le clitoris échauffé par le soleil, et glisser le long des petites lèvres pour venir se mêler à la liqueur intime de la belle au creux de son volcan endormi …

 Car ma victime mouillait. Je venais de le remarquer grâce à un changement de couleur du maillot au niveau du bas de la vulve. Etait-ce la chaleur qui excitait notre belle ou sa lecture ? Rapidement je me levais et couru chercher le petit télescope abandonné par ma Ségolène. Je fixais rapidement le pied bien au sol et pointais l’oeilleton en direction de la couverture : « caprices de femmes » tel était le titre du livre. Evocateur sans nul doute, mais encore ? Je me déplaçais vers ma seconde fenêtre et pointais à nouveau mon engin, telle une Mata-Hari des temps modernes. Maintenant je pouvais lire la page opposée :

 

« … Matisse sent monter en lui une sève brûlante, son gland le brûle, sa violence originelle le tenaille, il ne peut plus se retenir et tant pis s'il fait mal à cette main tendue. Il se dégage et soulève la jupe. Il s'attend à un cri.

La jeune femme ne dit rien, elle accélère seulement le rythme de sa respiration. Le jeune homme ne comprend rien. Il s'en moque, pressé par le désir, il fourre sa main sous le tissu et plonge ses doigts à l'intérieur du sexe humide de sa proie.

Nul besoin de dégrafer son jean, une main habile vient à sa rencontre qui se faufile et agrippe son vit. Elle le masturbe frénétiquement. La jeune femme se plie en deux, enfonce le gland gonflé au fond de sa gorge brûlante et mime avec application la scène des petits pantins. Le gland de Matisse, nu de son écorce glisse au fond de cette muqueuse brûlante; la béance boulimique l'avale littéralement, tentant d'atteindre la luette. Prêt à décharger, possédé par cette étrange créature, il la relève. Ses bras puissants soulèvent ses cuisses légères, seule la pointe des pieds résiste à cette élévation. Il l'empale sur son jonc tendu. Malgré les ongles qui éclatent la peau, la femme se laisse glisser avec volupté sur cette gaillarde solide. Le rythme de leur respiration s'accorde. L'instant d'après, l'extase les submerge : vertigineuse, terrassante. Jamais personne ne s'est offert à lui avec tant de générosité ! La jeune femme desserre l'étreinte, elle agite le pied gauche, son slip de soie bordé de dentelle coulisse le long de sa cheville. Dans un geste rapide, ses doigts froissent l'étoffe sexy et la fourre dans le sac à main. La déculottée trémousse son arrière-train, rajuste la jupe et quitte les lieux, assouvie d'un plaisir charnel. Le jeune homme la regarde s'éloigner, déjà elle ne le connaît plus… »

 

Excitant en effet, je comprenais mieux les fondements de cette tache humide …. Sophia semblait maintenant fin prête à poursuivre la montée vers le plaisir. Elle quitta des yeux son roman, posa sa tête sur le coussin moelleux et ferma les yeux. Sa main gauche saisit le mamelon du côté opposé et l’agaça des ongles. En quelques secondes il tripla de volume jusqu’à former une belle framboise mauve sombre. Elle pétrissait maintenant son téton sans ménagement entre le pouce et l’index, il vira rapidement au rouge sombre sous l’effet de la délicieuses torture.
Sa main droite de resta pas inactive bien longtemps. Elle se posa sur son ventre, au niveau du petit lac de sueur qui venait de se vider. Elle parcouru le creux du nombril quelques instants et entama une lente reptation vers le bas, se glissa sous l’élastique de la culotte, et caressa des phalanges l’arrondi du pubis glabre et fortement proéminent. Le tissu se souleva brusquement : son majeur venait de dresser sa tête tel un naja prêt au combat et fondit sur sa proie. Un petit frémissement la fit sursauter lorsque l’objectif fut atteint. Le doigt appuya, un peu plus fort et descendit lentement, remonta, re-descendit et remonta une vingtaine de fois dans un rythme mécanique.
La machine à jouir était en route et moi, je voyais ce ventre se soulever à chaque fois vers cette main, se souffle s’accélérer, ces reins se cambrer de plus en plus à chaque passage, ces cuisses s’écarter largement et se poser sur les accoudoirs du transat, dévoilant impudiquement la quasi-totalité de sa vulve.

Puis les doigts plongèrent plus bas, taquinèrent l’entrée du cratère en feu afin de s’humecter de sa lave bouillante, le dos de la main étira l’élasthanne du maillot à son maximum pour mettre les phalanges dans l’axe du puit d’amour. Les doigts s’enfoncèrent lentement, progressivement et jusqu’à la garde des dernières phalanges. Etaient ils tous enfournés ? Je ne savais trop, l’angle de vue n’était pas parfait, mais je les vis ressortir, pour mieux se réintroduire dans son sexe, ressortir et replonger de nouveau…

Le supplice fut de courte durée. Une minute plus tard la belle se cambra brusquement, la main gauche enfonça tous ses ongles carminés dans la chair tendre du globe plantureux, tandis que la main enfouie dans son intimité hoquetait sur son sexe. Elle écarta les lèvres, le cou raidi en arrière et exhala un râle doux et long, que je devinais plus que je ne l’entendis.
La « petite-mort » venait de la faucher.

Tous son corps retomba d’un coup sur le bain de soleil blanc. Flasque.

Les jambes pendantes sur les accoudoirs, elle ne bougeait plus. L’entrejambe de son string avait glissé dans les évènements et révélait désormais un trésor de chairs rosées, niché entre deux grandes ailes de papillons luisantes et finement dentelées.

Un filet continu de cyprine s’écoulait lentement de son sexe, comme si sa vie s’en était allée, et maculait progressivement le tissu froissé du transat ….

 
Par Maxime - Publié dans : Récits érotiques
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Jeudi 23 novembre 4 23 /11 /Nov 10:09
Marlène 9 – séance photo à trois.

 

Cela fait bientôt une demi heure que j’attend. Se seraient ils dégonflés ?! J’enrage rien que d’y songer !

Tout avait pourtant bien commencé la semaine dernière lors de mon expo photo. Le jeune couple qui regardait attentivement chacune de mes photos avait écouté attentivement mes commentaires, mes anecdotes sur certaines séances de poses. Ils avaient ris. Ils avaient finalement accepté de poser pour moi aujourd’hui.

En ce moment, ma recherche est orientée sur le nu en noir et blanc, essentiellement en couple et dans une lumière et des poses assez crues. L’expo était un début assez soft, mais j’avais le ferme intention d’aller plus loin. Je leur ai proposé des tirages en échange de leur patience. Tout était réglé pour ce samedi matin à mon studio.

Mais ils ne sont pas là.

Dépitée je commence à plier mes flashs parapluies et à ranger mes objectifs quand la sonnette retenti enfin. J’ouvre la porte et observe immédiatement avec un sourire d’aise que se sont bien mes deux tourtereaux et que mes consignes semblent avoir été respectées.

Jocelyne porte une large jupe noire froufroutante, jetée sur une paire de cuisses admirables de finesse que prolongent deux pieds aux ongles vernis de pourpre et enchassés dans un écrin de fines lanières de cuir surmontant des talons de dix bons centimètres, comme convenu.

Le corsage est assez sage au premier abord, mais les deux boutons dégrafés laissent entrevoir à chaque pas la naissance d’une poitrine ronde, prometteuse et vraisemblablement libre de ses mouvements. Les tétons pointent déjà bruyamment à travers le tissus léger et ne semblent pas entravés par un quelconque soutien gorge, comme convenu.

Elle me fait la bise et entre, j’en profite pour jeter un œil sur son postérieur indécemment rebondi : nulle trace de culotte ou de string, comme convenu.

Espérons que les autres consignes ont également été suivies à la lettre.

Les très longs cheveux de jais de la jeune fille retombent en cascade sur de belles épaules délicatement attachées au cou par de fines clavicules bien dessinées. Les grand yeux bleus regardent anxieusement vers l’arrière, cherchant dans la pénombre du couloir la silhouette de Maxime qui arrive.

A la vue de la bosse sur le devant de son large baggy, je devine que lui aussi a respecté la consigne.

Pas de sous vêtement : il n’y a rien de pire sur la pellicule qu’une affreuse trace d’élastique de culotte sur la peau !

A ce moment, la pensée de les imaginer totalement nus dans la rue sous leurs vêtements me procure un petit frisson d’excitation. Qu’ont ils ressentis ? De la honte ? Du plaisir à percevoir le frottement inhabituel du tissu sur leur chairs nues ? De l’angoisse peut être, que cela se voit, qu’une bourrasque ne soulève le frêle tissu de la jupe, telle une Marylin en goguette ?

 

J’ai mis de la musique douce pour calmer les angoisses du début et la lumière du studio photo est pour l’instant tamisée. Nous discutons un moment du déroulement de la séance.

-          « Nous commenceront par Jocelyne seule, puis nous rajouterons Maxime. Je souhaite que vous fassiez précisément chaque pose, chaque geste indiqués. Il s’agit d’un travail artistique que je dirige, alors pas de retard dans la mise en œuvre des tableaux prévus s’il vous plait ! »

-          « Bon d’accord » répondent ils en cœur.

-          « OK, alors on y va. Maxime tu t’installes dans le canapé du fonds sans bruit et toi, Jocelyne, tu montes sur l’estrade, bien dans l’axe du décors ».

Elle escalade le mètre de l’estrade en parquet en nous dévoilant subrepticement la fermeté de ses cuisses.

-          « OK, comme ça, cool détendue. Installe toi sur le plateau tournant. Allez, on enclenche la musique ».

 

La mélopée monte, lente, lancinante et forte et je demande à Jocelyne de bouger à son rythme, comme si ses mouvements se faisaient dans l’eau.

-          « oui comme ça ! » Je fais une série de déclenchement à blanc, les premières minutes sont toujours assez mauvaises de toute façon, notamment pour les débutants.

Jocelyne se trémousse depuis une petite dizaine de minutes maintenant, les yeux fermés. Grâce à mon plateau tournant de deux bons mètres de diamètre, on peut l’observer sous toutes les coutures, il suffit d’attendre quelques dizaine de secondes, ou de faire pivoter le plateau dans le sens souhaité à l’aide de la télécommande qui ne quitte pas ma main.

Des gouttelettes de sueur commencent à se former entre ses seins et glissent lentement bers le bas. Je m’approche et déclenche.

- «OK, c’est bien, maintenant on va se rapprocher de ce que tu as vu la semaine dernière à l’expo. Défait un bouton du corsage».

Sans cesser de se tortiller au rythme de la musique et sans rouvrir les yeux elle s’exécute. Sa poitrine se balance en rythme sous le corsage ouvert et laisse apercevoir un téton à chaque retour. Clic ! Clac !

-          « Un autre maintenant ».

La quasi totalité des seins est maintenant visible. Clic ! Clac !

- « le dernier, pour finir ! »

Les pans s’ouvrent entièrement laissant à l’air libre une superbe poitrine ronde et pigeonnante, qui se balance lentement sous mes yeux. Les tétons sont brun-sombre, durs et fortement érigés, comme tendus vers mon désir et ma bouche. Les seins sont d’une blancheur stupéfiante et d’une fermeté de marbre. La sueur est maintenant bien visible sur sa peau, les gouttes perlent entre ses seins, glissent, se perdent au creux de son nombril et poursuivent leur chemin un peu plus bas. Il serait dommage de mouiller cette jupe splendide!

-          « Défait la fermeture de ta jupe »

D’un geste précis le zip est ouvert et la jupe descend naturellement de dix centimètres. Le balancement de ses hanches accentue l’effet de chute et Jocelyne tente de la rattraper.

- « Non ! Laisse ! » Dans un sursaut elle referme les yeux et abandonne la lutte.

La jupe tient désormais à peine sur la pointe des hanches. J’observe le bas de son ventre : le pubis rond et bien dodu est apparu, blanc et lisse. Parfaitement lisse, comme convenu.

Mon cœur bat plus vite, décidément, la docilité de cette jeune fille me séduit ! Clic ! Clac ! En quelques coups de hanche la jupe poursuit sa descente inexorable. On devine maintenant la fente de son sexe, qui monte si haut. Un dernier déhanchement achève le travail et la jupe virevolte en s’effondrant à ses pieds comme une feuille morte. Clic ! Clac ! On voit maintenant parfaitement la longue cicatrice qui lui fend le bas ventre comme un coup de hache dans du bois tendre. Le sillon est profond et les grandes lèvres forment deux bourrelets dodus de chaque côté de l’entaille. Rien ne transparaît des profondeurs de son sexe, les petites lèvres sont restées enfermées dans leur grotte comme gardées par deux gardes du corps intransigeants.

Je fait tourner le plateau pour être derrière elle. Je me baisse au raz du sol pour obtenir une parfaite contre-plongée, mon objectif focalise sur le haut de ses cuisses, remonte entre ses fesses et saisie le canyon étroit et magnifique de son cul en une fraction de seconde . Clic ! Clac !

 

A ce moment j’entend un bruit au fonds de l’atelier, Maxime marche vers nous, tout rouge.

-          « Tu fais bien de venir, on va avoir besoin de toit. Déshabille toi. »

Interloqué, ne sachant plus que faire il bafouille :

-          « Mais … »

-          « Déshabille toi. »

Jocelyne ne réagit pas et, sans ouvrir les yeux, seins aux aguets, ventre et fesses nues, elle continue de se balancer en cadence de plus en plus lascivement en me tournant le dos.

Dépité, le baggy tombe rapidement suivit du t-shirt. Clic ! Clac !

-          « Monte sur la scène et monte y la chaise …Va derrière elle et caresse lui le sein droit »

Maxime se place derrière sa copine. Je vois son sexe pendant effleurer la douceur de ses fesses : la surprise aidant il n’a encore pas perçu l’érotisme aigü de la scène. Sa main emprisonne le sein et le pétri lourdement.

-          « Caressé j’ai dit nom d’un chien, ce n’est pas une vache ! Regarde»

Je m ‘approche, monte sur la scène, pose ma main sur sa main et lui imprime le bon mouvement. Mes doigts titillent au passage le téton, tendu comme une corde à piano. Jocelyne trésaille, les yeux clos, mais ne se dérobe pas. Je recommence … ses seins se tendent vers moi imperceptiblement. Le mouvement de Maxime est maintenant plus doux et le sein a pris un peu plus de volume. Les joues de Jocelyne se sont colorées de rouge et sa respirations s’accélère. Clic !Clac !

-          « l’autre maintenant »,

Les deux mains emprisonnent par derrière les deux mamelles qui pointent maintenant dans ma direction, la cambrure de la jeune fille se tend et ses fesses frottent le sexe du jeune homme qui refait surface. Son pénis commence à prendre enfin un peu de volume, je les fait pivoter de nouveau vers l’arrière : Clic ! Clac !

Je les fait repasser de face et ordonne au garçon :

-          « met toi à genou derrière elle, … garde la main gauche sur le sein et passe la droite entre ses cuisses doigts écartés en éventail ».

La main cache le sexe et semble vouloir le protéger de mon intrusion de voyeuse. Clic, Clac !

-          « Lache le sein et écarte lui les jambes »

La main hésite un peu, redescend vers la cheville et écarte une jambe de 30 cm.

-          « Plus ! »

La main pousse un peu plus loin la jambe.

-          « Encore ! »

L’écart est maintenant bien supérieur à 90° et la largeur de la main peine à camoufler les trésors rosés qui se cachent derrière.

-          « Ecarte bien les doigts et descend lentement ta main. »

Maxime semble enfin avoir compris mes intentions, les doigts s’écartent au maximum, dévoilent le pubis tondu et seul le majeur en cache la fente oblongue. La descente du doigt dévoile progressivement la haut de la fente profonde, ce point si délicat qui marque le fin de le décence et le commencement de la luxure. J’adore ce petit espace si sensible, si prometteur.

Sans que je le lui dise, Maxime appuis un peu sur la fente en poursuivant son mouvement de descente, le doigt s’enfonce à moitié entre les grandes lèvres dodues et, au soubresaut de la belle, passe manifestement sur le clitoris de Jocelyne. Il franchit l’obstacle et le laisse apparaître enfin : ovale comme une petite olive, proéminent à souhait, la peau de sa petite tête rouge vif semble prête à éclater sous l’afflux de sang qui le gorge. Clic ! Clac !

- « Remonte ! »

La pulpe du doigt rebrousse chemin, écrase au passage de nouveau le clitoris gonflé et avide, provocant une brusque cambrure réflexe de la belle qui se mord les lèvres. Clic ! Clac ! La redescente de la phalange lui permet de reprendre sa place d’un coup : tendue à craquer vers l’avant, tel un pistolet prêt à faire feu.

-          « Descend !»

Le doigt poursuit son retrait, plonge cette fois franchement entre les grandes lèvres qui commencent à briller de mouille, disparaît pratiquement au cœur du sexe, débusque les fragiles nymphes rosées des petites lèvres et les fait saillir enfin au grand jour. Leur base est rose très clair alors que leur crête frisotte dans un fouillis de chair violacée ! Quel spectacle ! Clic ! Clac !

Elles pendent maintenant un peu de chaque côté de l’antre sombre qui les sépare. Le doigt pénètre sans hésiter au creux du volcan en feu. Lentement, mais … jusqu’à la garde. Ressort … replonge tout aussi lentement… ressort de nouveau en amorçant un quart de tour et replonge dans le sens inverse…

Jocelyne a cessé de se balancer et ses cuisses tremblent sur ses genoux écartés, les abdominaux sont durs, le bas-ventre est projeté vers l’avant comme pour faire jaillir son sexe à l’extérieur de ses entrailles, ses mains empoignent ses seins et les massent en cercles appuyés. Maxime, toujours agenouillé derrière elle, lui embrasse le haut des fesses et lui mordille la courbe du grand fessier.

Je tourne un peu le plateau afin de bien être en face d’eux. Je vois parfaitement à moins de cinquante centimètres, les allées venues du doigt inquisiteur : il est luisant de sécrétions, mademoiselle est presque à point !

-          « Un autre ! »

Sans hésiter l’index rejoint sans effort son acolyte, l’annulaire enchaîne immédiatement, arrachant un gémissement à la danseuse arquée vers mon objectif. Le mouvement des trois doigts se poursuit inexorablement, en haut, en bas, en haut …

D’un signe de tête j’ordonne la suite à maxime.

L’auriculaire rejoint in-peto ses trois compagnons et s’engage également dans le vagin profond, élargi et brûlant. Les glaires abondantes coulent pratiquement sur le poignet de Maxime : la suite sera d’autant plus aisée. Les phalanges ressortent enfin presque entièrement, dévoilant le cœur de la vulve béante. Ses muqueuses rouge vif sont irriguées à grande vitesse d’un sang propulsé par un cœur au grand galop.

Le temps est alors comme suspendu un bref instant.

Le pouce rejoint les quatre doigts luisants pour former un projectile fuselé. Le coude se pose sur le sol, bien en appuis. La main gauche de Maxime appuis alors sur l’épaule de sa maîtresse lui intimant l’ordre de s’empaler sur l’avant bras disposé sous elle. La vulve ouverte se rapproche de l’olisbos géant, le cratère en éruption aspire alors immédiatement avec avidité les premières phalanges qui s’engouffre progressivement en son cœur.

La belle feule de plaisir et de surprise. Les trois premières phalanges sont avalées en une fraction de seconde. La tête des métacarpiens bloque un instant sur les grandes lèvres écartelées qui forment un bourrelet de chair de part et d’autres du sexe distendu, à la fourche des cuisses blanches. Jocelyne lâche ses tétons qu’elle martyrisait de ses ongles carminés et porte les mains de chaque côté de son sexe. Elle étire fortement ses muqueuses sur le côté et ploient les genoux pour accompagner la pénétration ultime.

La main plonge alors d’un coup dans le bas-ventre amical alors que les grandes lèvres pulpeuses se referment immédiatement et avec gourmandise sur le poignet de Maxime dans un bruit de sucions. Clic ! Clac !

Accroupie sur l’avant bras de son compagnon, mains de chaque côté de son sexe, Jocelyne tremble de tout son corps, la tête renversée en arrière, la bouche ouverte comme pour hurler son plaisir. Clic ! Clac !

Mais il semble manquer quelques chose à la belle qui me jette un regard suppliant. Le coup de grâce ?

Par compassion, je m’approche du bord de l’estrade, pose mon appareil sur le parquet maculé de gouttes de cyprine, abaisse mon visage vers ce sexe écartelé. Je l’observe un peu de très prés, détaillant la saillie des veines gonflées sous la peu blanche presque transparente de l’aine Je pose ma bouche sur le bord de la cuisse pour sentir le sang battre sous mes lèvres. Je la fait remonter vers la renflure des grandes lèvres écartelées que je caresse de la langue. Je remonte vers le sommet de la fourche des lèvres et happe entre mes lèvres le clitoris gorgé de sang et de désir. Il est décapuchonné comme jamais et facile à saisir. Je le caresse fermement du bout de la langue tout en le pressant fortement entre mes lèvres.

Instantanément un long hurlement s’échappe alors de la bouche de notre victime. Tous ses muscles tressaillent dans une même contraction d’extrême jouissance. Je vois sous mes yeux les muscles du vagin pétrir en un spasme d’une fureur inconsciente le poignet de Maxime, qui n’en revient pas. Le ventre semble faire des vagues alors ques les seins se dressent au ciel tétons tendus au maximum...

Cela dure une éternité… La « petite mort » l’a fauchée brutalement.

Le corps arqué et tendu reste suspendu en l’air un bref instant, puis elle s’effondre sur son bourreau, telle une supplicié à l’agonie. Clic ! Clac !


C’est dans la boite : il ya là un excellent sujet pour la prochaine exposition.

 
 
Par Maxime - Publié dans : Récits érotiques
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Jeudi 9 novembre 4 09 /11 /Nov 17:40
Marlene 8 – Nuit initiatique.
 

Marlene se rendit ensuite au salon de la grande demeure, espérant y trouver François en train de prendre son petit déjeuner. Mais une fois de plus il avait déserté son propre toit, laissant un mot à Marlène :
« Soyez prête pour dix-neuf heures. »

Elle le fut.

Lorsqu'elle entendit François, ce beau PDG Suisse très mystérieux et ami de Luc ouvrir la porte d'entrée, elle se leva, le cœur battant un peu plus vite.

Cet homme-là n'était pas ordi­naire, et sans rien savoir de très précis sur son compte, Marlène devinait qu'il représentait une certaine forme de puissance, et cela excitait la jeune femme autant que le flegme et le mystère qui caractérisaient le Suisse.

Mais cette fois, il ne put cacher son émo­tion : Marlène était somptueuse.

Une robe en crêpe de Chine blanc, de Saint-Laurent, simple­ment rattachée à l'épaule par une broche de turquoise, moulait son corps, le dévoilant plus qu'elle ne le dissimulait. Le riche tissu, très souple, suivait la moindre courbe, épousant le plus léger creux, révélait les seins hauts et drus, le ventre, à peine bombé, les cuisses longues. Son cou et ses bras étaient dénudés et tranchaient par leur teinte dorée sur l'éblouis­sante blancheur de la robe. Elle avait relevé ses cheveux, ce qui la grandissait encore, et faisait d'elle l'extraordinaire vestale d'on ne savait quel rite.

- Admirable, dit enfin François.  Cette soirée sera infiniment rehaussée par votre présence, et j'espère que les autres convives seront dignes de vous, ajouta le Suisse en baisant la main de la jeune femme.

II était lui-même assez étrangement vêtu : il portait un smoking des plus classiques, ce qui, par cette chaleur, était en soi un exploit, et par-dessus, une immense cape noire. Bien que très étonnée, Marlène ne lui fit cependant aucune remarque, ni ne lui posa pas de questions. Après une série de compliments plutôt bien tournés, François l'emmena hors de la ville, dans un coupé décapotable. Les gens se retournaient sur leur passage. François sortit de la ville, prit une petite route vers l'est, qui serpentait entre les collines. Très vite, ils atteignirent la forêt. Marlène s'étonna :

- Où donc a lieu cette fête, François?

- Vous allez voir, c'est très beau : un vieux château fortifié, qu'on a restauré il y a peu, et qui date du moyen âge.

- Et quel genre de soirée y donne-t-on ?

- Ça ressemble un peu à des clubs comme le Rotary, ou le Lion's, si vous voulez. Mais stric­tement Suisse. A la fois très mondain et très pittoresque. D'ailleurs, je dois vous prévenir que les invitées qui viennent pour la première fois sont soumises à une petite cérémonie... d'intronisation. Vous n'y voyez aucun inconvé­nient, bien entendu?

- Bien entendu! le rassura Marlène.

François avait parlé d'un château, mais Marlène découvrit une véritable forteresse, au sommet d'un mont assez curieusement escarpé. Le pont-levis s'abaissa pour eux, et Marlène se dit : « Les guetteurs ont prévenu de l'arrivée de Sa Majesté. J'espère qu'ils ont prévu des jus de fruits, je meurs de soif! ». François gara le coupé dans la cour, puis ils pénétrèrent dans une vaste salle tendue de velours vert et rouge, et ornée d'étranges bannières. Il faisait nettement frais sous les hauts plafonds voûtés, et Marlène se sentit rafraîchie. François l'entraîna ensuite sous un petit porche, et ils se retrouvèrent dans une chambre aux proportions beaucoup moins grandioses que la précédente. On aurait dit une cellule de moine, autant par la dimension que par la simplicité de l'ameublement.

- Vous êtes ici chez moi, donc chez vous, expliqua François. Je suis, pour quatre ans, le Grand... le président de notre association, et j'ai pour seul privilège de pouvoir disposer, quand bon me semble, de cette chambre.

Marlène tourna sur elle-même et fit une petite moue en disant :

- Bien mince, le privilège. On ne peut pas dire que ce soit vraiment présidentiel...

- Vous avez raison, mais j'aime cette sobriété. Et puis le château dans son ensemble est tellement superbe... Il réserve bien des surprises à qui veut bien le découvrir. Et quand je viens me retirer ici quelques jours, j'ai vraiment l'impression d'être un prince du Moyen-Age!

Tout en bavardant, François ôtait sa cape, sa veste de smoking, et sa chemise. Quand il fut torse nu, Marlène dut réprimer l'envie de passer la main sur la large poitrine rousse et velue... « François le Lion », se dit-elle rêveusement. Mais son mentor revêtait une cagoule noire, brodée au front d'une tête de lion stylisée.

- Ne vous inquiétez pas, dit François, ce n'est qu'un vêtement rituel. Voyez-vous, aujourd'hui c'est un grand jour pour notre association : l'anniversaire de sa création. Et c'est l'occasion pour nous d'une grande cérémonie lors de la pleine lune. De nou­veaux membres vont être intronisés, et en tant que président, ce sera pour moi la première manifestation importante. C'est un grand jour, en somme, conclut-il d'un ton empreint de dérision.

- Mais qu'est-ce que cette association repré­sente? questionna Marlène. Vous ne m'avez pas dit grand-chose. Et d'abord, quel est son nom?

- Son nom ne vous dirait rien du tout, ma chère, tout ça est purement local, je vous l'ai dit. Et vraiment d'aucun intérêt pour vous, je vous l'assure. Disons que le Temple de la Lune pourrait être notre second emblème. Si vous connaissez le Mexique, vous comprendrez. Mais venez, il va bientôt être l'heure.

Il prit la jeune femme par le coude et l'en­traîna dans une suite de couloirs aux murs de pierre suintants d'humidité, éclairés par d'im­pressionnantes torchères.

- Ce décor est destiné à donner au novice une haute idée de son engagement parmi nous. Vous faites en ce moment le trajet que font tous ceux qui veulent faire partie de notre groupe.

- C'est le parcours du combattant, en quel­que sorte, ironisa Marlène. Il n'est pas très difficile...                               '

Le Suisse eut un petit rire et commenta :

- Au vingtième siècle, les initiations, vous savez... Si c'était franchement désagréable ou difficile, nous n'aurions personne.

- Comment sélectionnez-vous vos candi­dats?

- Très classiquement : ils sont parrainés. Mais ils doivent aussi subir avec succès certai­nes épreuves initiatiques : il y a une sorte d'interview, et quelques autres tests...

Ils arrivèrent devant une autre porte que François poussa en s'effaçant pour laisser passer son invitée. Il la prévint :

- Vous allez avoir une petite surprise, j'es­père qu'elle sera à votre goût.

Marlène eut un choc, en effet. La salle était ronde, presque aussi grande que le hall d'en­trée, et vide. Et sur les murs, d'immenses photos qui la représentaient! Le portrait le plus grand, au-dessus de l'une des portes qui donnaient accès à la salle circulaire, ne mon­trait que son visage, les yeux fermés, serein et beau, comme si elle avait été surprise pendant son sommeil. Mais les autres posters la mon­traient en pied, nue, allongée au soleil, nue et mouillée comme au sortir de son bain, nue en train de passer sur son corps magnifiquement

révélé une crème fluide qui rendait sa peau plus brillante encore...

- Mais... qu'est-ce que ça veut dire? mur­mura-t-elle.

Le plus étrange était que les fonds, les décors avaient été rendus flous par le photographe, et qu'elle ne pouvait reconnaître les lieux où ces images lui avaient été dérobées. Marlène se sentit à la fois flattée et flouée...

- Vous auriez pu me demander mon avis! s'insurgea-t-elle.

Cela lui paraissait incroyable... Puis elle se souvint! La prédiction d'François, le premier soir, chez Cécile... Les Tarots... Il lui avait parlé de son double! Elle devait rencontrer son double en Suisse. C'était sûrement le modèle des pho­tos, cette jeune femme qui lui ressemblait... Mais c'était impossible! Il ne s'agissait pas là d'un sosie, avec ce qu'il comporte toujours de différences, aussi subtiles soient-elles! C'était bien elle, Marlène. Il était peu probable que son sosie ait aussi ce minuscule piercing au nombril, légèrement de travers, ou ce geste bien à elle pour relever ses cheveux sur sa nuque mouillée, ou encore la cambrure caractéristique des jolis pieds, donnée par dix années de danse classique.

- François, vous allez m'expliquer, intima-t-elle d'un ton sans réplique.

- Mais bien sûr, ne vous mettez pas en colère, je vous en prie. C'est très simple : tous les quatre ans, nous nous réunissons et nous invitons une très jolie femme, choisie parmi les plus belles qu'il nous soit donné de rencontrer. Nous l'invitons à notre cérémonie et nous rendons hommage à sa beauté, à sa perfection. Et pendant quatre ans, elle va symboliser cette perfection que nous nous engageons, entre autres choses, à rechercher et à produire.- Voilà tout. Cette année, vous avez fait l'unanimité. Lorsque je vous ai rencontrée, chez Cécile, j'ai tout de suite imaginé que vous pouviez faire partie de ces femmes d'une grande beauté que nous sélectionnons...

- Quelle horrible mot! En bref, vous m'an­noncez que j'ai remporté un concours de Miss, c'est bien ce que vous êtes en train de m'expli­quer? Eh bien cela n'excuse en rien votre manque total d'éducation, en l'occurrence! D'abord vous me volez des images de moi-même, puis vous m'attirez dans une cérémonie dont vous m'aviez dit au départ qu'elle n'était qu'une banale soirée! Vos manières n'ont rien d'idéal, mon cher, et vous devriez, avec vos amis, plancher sur ce sujet-là pendant les qua­tre prochaines années.

Visiblement, les remontrances de Marlène avaient quelque peu agacé son hôte. Il serrait les mâchoires d'inquiétante façon, puis se maî­trisa et répondit :

- J'avais pensé qu'avec le sens de l'humour qui vous caractérise, vous auriez fini par appré­cier tout cela. Après tout, si ce n'est pas extraordinaire, ça n'arrive pas tous les jours, ce genre de situation.

Foncièrement honnête, Marlène reconnut qu'il avait raison. Elle consentit à lui sourire et demanda :

- Dites-moi quand même où vous avez pris ces photos? François haussa les épaules :

- Chez vous, à la plage, que sais-je? Cela a-t-il de l'importance? Mais l'heure avance, Marlène. Acceptez-vous d'être notre Grande Prêtresse ce soir?

Bien. Alors veuillez vous tenir au centre de cette étoile.

Il désignait une immense mosaïque, au mi­lieu de la salle. Marlène alla se placer dans le rond central, hiératique et splendide dans sa robe blanche qui découvrait son cou,, ses épau­les parfaites, et la quasi-totalité de son sein gauche. Elle refréna un petit sourire en se di­sant « Cécile va encore penser que je fais de n’importe quoi ! » Elle se voyait déjà en train de lui raconter la situation loufoque dans laquelle le destin et son insatiable curiosité venaient encore de la précipiter. Nul doute qu'elle appré­cierait, comme à son habitude.

- Qu'est-ce que je suis censée faire ? deman­da-t-elle pour mieux réprimer l'angoisse qui la gagnait.

- Pour l'instant, rien. Les participants vont entrer, dans quelques minutes, par ces portes. Ils vous admireront, c'est à peu près tout.

Mais vous semblez nerveuse. Voulez-vous boire quelque chose?

 Elle fit oui de la tête, et François alla chercher, derrière une tenture, un grand verre tout blanc de givre.

- Fruit de la passion, citron, et une goutte de gin, annonça-t-il.

Reconnaissante, Marlène but à grands traits. Puis, au bout de quelques secondes, elle se dit que les gouttes de gin devaient être nombreu­ses, car elle ressentit une immédiate et légère euphorie. Mais déjà, les portes s'ouvraient et les participants entraient, torses nus, en cagou­les noires, tous des hommes. « François avait omis de me livrer ce petit détail, mais ce n'est pas vraiment étonnant. Toutes ces associations sont horriblement misogynes... » continuait à penser Marlène, luttant contre la brume chaude et cotonneuse qui envahissait son cerveau. Autour d'elle, les hommes devaient être une trentaine. Marlène soutint leur regard avec d'au­tant moins de gêne qu'elle se savait très belle et qu'elle commençait à véritablement appré­cier la situation. Le léger brouillard euphori­que glissait lentement dans tout son corps, et se sentir regardée par tous ces hommes aux visages dissimulés ne tarda pas à faire naître en elle une sensation d'excitation familière et pourtant incongrue... Le silence régnait dans la grande salle. François se tenait à un mètre de la jeune femme, et lorsque le dernier des partici-

pants fut entré, et la dernière porte refermée, il se tourna vers elle, ordonnant :

- Otez votre robe, Marlène!

La jeune femme sentit de vagues velléités de refus refluer dans sa tête, mais elle obtempéra, se trouvant curieusement docile. En même temps, il lui plaisait d'obéir à l'homme roux, comme il lui plaisait de lentement dévoiler son corps devant tous ces hommes qu'elle ne rever­rait jamais.

Quand elle posa la main sur l'agrafe de turquoise qui retenait sa robe à l'épaule, François prononça d'une voix forte des mots qui ne s'adressaient pas à elle et qu'elle ne comprit pas. Cinq hommes s'avancèrent alors, entou­rant la jeune femme de plus près. Tous pou­vaient la voir, cependant, mais les cinq privilé­giés auraient pu la toucher en tendant simple­ment le bras. Marlène fut certaine de reconnaî­tre, parmi eux, le petit homme brun et sec – sans doute un Italien - qui les avait abordés, elle et Simon, au restaurant, à Lausanne : il portait, à l'index droit, une grosse bague en saphir et brillants... Lui seul, d'ailleurs, semblait extrêmement excité par la situation : son torse maigre se soulevait à un rythme rapide, alors que les quatre autres faisaient preuve d'un grand calme. Marlène les fixa, l'un après l'autre, tentant de découvrir elle né savait quoi sous ces masques noirs...

Puis elle commença à faire glisser le soyeux crêpe de Chine sur son corps doré. Elle ne portait, sous sa robe, aucun sous-vêtement qui eût pu faire malencontreusement plisser le beau tissu, et la soie blanche glissait avec lenteur, s'enroulant miraculeusement autour des seins tendus et pleins, les découvrant ensuite, puis autour de la taille presque trop fine pour le poids des fruits lourds qui la surmontaient. La soie blan­che se coinça un instant entre les cuisses, à la fourche mystérieuse, retardant cruellement le moment où elle se révélerait à la vue de tous. Savamment, la femme blonde lâchait ici, rete­nait là, et figeait l'instant Une tension évidente crispait les poings des hommes qui la regar­daient. Le silence n'était troublé que par l'éner­vant crissement de la soie sur la peau... Cer­tains devaient se retenir pour ne pas porter une main sacrilège vers le miraculeux assem­blage de perfections féminines qu'ils avaient sous les yeux. Au moment où Marlène laissa tomber sa robe à terre, enfin plus nue qu'ils n'eussent pu le désirer, toutes les poitrines se vidèrent ensemble d'un souffle trop longtemps retenu. Volontairemment, elle creusa les reins, faisant saillir davantage son fessier bombé, révélant le seuil moussu et blond.

Perchée sur ses hauts talons, elle présentait un spectacle d'une beauté presque obscène, et le contraste qu'offraient sa perfection physique et la lubricité de sa pose donnait aux regards masculins des lueurs de folie.

Le petit homme à la bague et qui était maintenant tout près d'elle, paraissait particulièrement nerveux. Il tremblait presque et de dessous sa cagoule sortaient des mots sans suite. François lui parla sèchement, et douché, il s'arrêta sur-le-champ. Les quatre autres ne semblaient pas moins émus, mais .ils maîtrisaient mieux, semblait-il, les manifestations de leur excitation. François s'ap­procha d'eux, leur murmura quelque chose, et ils s'écartèrent d'un pas.

Puis le maître de cérémonie s'approcha de Marlène, et la força, sans un mot, à s'allonger nue sur le dos sur les dalles froides du sol. Alors elle sentit celui ci bouger sous elle et les dalles s'élevèrent lentement, pour former une espèce d'autel à environ un mètre vingt du sol. Un plancher coulissait sous la table de pierre. François parla encore, et les cinq postulants s'appro­chèrent, cette fois tout près. Marlène se sentait toujours aussi passive, vaguement intéressée par ce qui se produisait autour d'elle, mais surtout fascinée par les regards qui ne la quittaient plus, chauffant sa peau. Ils étaient tous différents, ces regards, et pourtant elle lisait en eux tous exactement le même mes­sage.

François vint se placer à la tête de la jeune femme, seul endroit resté libre autour de l'au­tel. Il commença alors à prononcer des mots rituels, auxquels les autres, restés près des portes, répondaient en chœur. Puis il interro­gea chacun des cinq candidats, et ils répondi­rent aussi, d'une voix plus ou moins assurée. Alors Marlène sentit les mains de l'un d'eux se poser sur ses chevilles. Elles étaient légère­ment moites et tremblantes, et elle fut certaine que c'étaient celles de l'Italien.

Puis l'un de ceux qui étaient sur son côté gauche posa les siennes sur sa cuisse, frôlant d'abord la peau, et les appliquant ensuite avec force, écartant le fuseau de chair lisse et ferme. L'homme qui lui faisait face fit de même avec l'autre cuisse. En face d'elle, celui qui mainte­nait ses chevilles se mit à haleter : il décou­vrait, comme ceux qui étaient restés au fond de la salle, le spectacle affolant de l'intimité déjà luisante de sève de Marlène, et elle sentait ces regards couler sur elle comme une lave, qui lui fit, sans qu'elle s'en rendît compte, s'écarter d'elle-même davan­tage.

Alors, ceux qui étaient à la hauteur de ses épaules posèrent leurs mains sur son ventre et ses seins. François parla encore, et les cinq hommes caressèrent le beau corps offert, qui ne put bientôt plus retenir de lascifs mouvements, sur la table de pierre. Marlène ouvrait parfois les yeux, et voyait de grosses gouttes de sueur . tomber de dessous les cagoules. A ses pieds, le petit Italien ne se contenait plus, et ses gestes se faisaient de plus en plus hardis. Pour finir, il saisit à pleines mains le pubis charnu, grimpant pour ce faire sur l'autel où Marlène s'écartelait. Elle sentit un doigt dur et noueux percer sa chair, glisser le long des pétales détrempés de sa vulve, et lui faire un peu mal. Mais elle ne fuyait pas ce contact, au contraire, et avançait vers lui, rampant sous les mains qui mettaient le feu à son ventre, vers ces doigts affolés et presque agressifs. Ceux qui maintenaient ses cuisses les replièrent sur son ventre en les écartant largement, ouvrant davantage le sexe corallien, exposant l’anus délicieusement plissé, l'offrant pleine­ment à la vue et à l'appétit de l'Italien.

Marlène avait tant remué sur la table qu'elle se retrouvait les genoux sur le menton et les fesses tout au bord.

François lança un ordre, et le petit Italien, qui avait enfilé trois doigts dans la conque veloutée, poussa un grognement et défit nerveusement son pantalon. A la bonne hauteur, il s'enfonça en Marlène sans aucune douceur, mais là encore la brutalité de son assaut ne fit que porter à son comble l'excitation de la jeune femme.

Elle cria, car aussi mouillée qu'elle le fût, elle eut quelque mal à accueillir la verge étonnamment épaisse et longue de l'Italien. Les quatre autres, à leur tour, se déchaînèrent sur elle, pétrissant la chair délicate de ses seins, meurtrissant leurs pointes dressées, frottant leurs membres contre la peau enfiévrée. L'un d'eux s'abattit sur le ventre blond, soulevé par la houle du désir et le mordit, faisant crier sa victime de plaisir et de douleur mêlés. L'Italien ne bou­geait pas, jouissant à longs traits dans la vulve qui se crispait autour de lui. Extatique, il semblait ne pas croire à l'intensité du plaisir qui brûlait ses veines. Puis il se retira alors que Marlène, frustrée, gémissait sur la table. Pour­tant, il fut aussitôt remplacé par l'un des qua­tre autres, qui se débattit tant dans le sexe englué que la jeune femme ne tarda pas à jouir en saccades aiguës, qui ne relâchèrent en rien la tension sexuelle dont elle était la consen­tante victime. Son deuxième tortionnaire ne cessait de là pistonner avec une régularité têtue et très vite, lé désir de Marlène remonta dans ses reins insatisfaits. Une fois de plus, cependant, son partenaire la laissa au bord de la jouissance, et elle s'épuisait à ne pouvoir atteindre l'orgasme plein et dévastateur que tout son corps réclamait. Le troisième, puis le quatrième vinrent à leur tour. Ils la firent jouir à chaque fois, lui donnant ce plaisir aigu qui ne la soulageait que   quelques secondes pour mieux la faire haleter de désir ensuite. Elle avait l'impression qu'elle n'était plus qu'une machine à jouir, et elle gémissait de plus en plus fort, appelant une satisfaction totale de ses sens. Elle reprenait conscience, de temps à autre, et se disait que le breuvage d'François devait contenir une drogue quelconque qui avait enflammée ses muqueuses, mais elle s'en moquait aussitôt reprise par le rut forcené de ces hommes qui la possédaient sans fin, sans qu'elle désirât qu'il y ait une fin.

Mais le dernier des cinq s'avança. Son sexe émergeait d'un pubis blond et frisé. Il ne se précipita pas en elle, comme les autres l'avaient fait. Il caressa un moment le sexe féminin engorgé de son propre plaisir et de celui des quatres hommes. Sa caresse était presque apaisante, après les assauts brutaux des autres. Il avait de grandes mains lisses et jeunes. Marlène le regarda, vit de magnifiques épaules, larges et musclées, un torse bronzé, des hanches étroites dans le pantalon de smo­king noir. Sous la cagoule, des yeux bleu-vert la fixaient. Après de longues caresses, il lui pris les jambes et la força doucement à se mettre à plat ventre sur la table minérale. Le cœur de Marlène se mit à battre un peu plus vite. Tous pouvaient, à présent, admirer les sphères bombées de ses fesses, le creux de ses reins souligné de deux fossettes, et tous eurent envie de les mordre. A nouveau, l'homme passa lentement ses longues mains sur la cambrure excitante, comme pour mieux en souligner le galbe. Il écartela doucement les globes jumeaux, mettant à nu l'orifice secret. Autour d'eux, on s'agita... Marlène sentait l'ex­citation monter en elle comme elle montait en eux, et elle appuya davantage son ventre nu contre la pierre tiède, prit un peu appui sur ses genoux, écarta les cuisses à l’invite des douces mains. Puis elle cambra les reins, révélant la naissance de sa vulve rosé et trempée de sperme, son anus qui appelait un viol consenti. Pour mieux s’offrir, elle se mit à quatre patte, croupe tendue au maximum et appuya ses seins sur la froideur de la pierre. Un ordre claqua et la table descendit de 50 cm pour mettre son postérieur à portée de tir.

L'homme recueillit un peu de cyprine au creux ouvert du sexe féminin et en enduisit la surface étoilée. Il défroissa les plis radiés du muscle contracté, lentement, patiemment, lissant chaque fronce de chair d’un doigt inquisiteur et ferme. L’anus se détendit, s’épanouit en corolle sous la pression bienveillante de la pulpe du doigt amicale. Il y posa son gland violacé, puis il força son passage avec une implacable lenteur obstinée. Marlène haletait bruyam­ment, se mordait les lèvres pour ne pas crier sa douleur, mais se sentait enfin envahie, déflo­rée, prise comme elle le désirait depuis le début. Ce membre qui s'enfonçait inexorable­ment dans ses reins la brûlait d'une flamme exquise et sans fin. L'orgasme, comme un étau puissant, se resserrait autour de son ventre, irradiant ses cuisses, montant dans sa poitrine écrasée sur le marbre. Lorsque son bourreau fut complètement en elle, l'écartelant jusqu'aux limites de la déchirure, une jouissance énorme la broya et elle ne retint plus ses hurlements.

Quelques secondes plus tard, son partenaire jouit à son tour, en un jet épais qui ne semblait pas vouloir s'interrompre. Elle sentit sa semence tiède la remplir et déborder de ses entrailles. Enfin il murmura quelque chose que Marlène, terrassée, n'entendit pas bien. Elle se sentit ensuite soulevée par quatre bras puissants, emportée hors de la salle, et allongée sur une couche moelleuse, où elle s'abandonna à un sommeil réparateur.

Par Maxime - Publié dans : Récits érotiques
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Vendredi 8 septembre 5 08 /09 /Sep 16:41
Marlene 7 – Hammam
 
Le rendez-vous est fixé à ce soir 19h.

Pour la première fois je me rends dans un hammam. Ma copine esthéticienne m’a assuré que c’était un endroit divin et relaxant.

D’un air mystérieux elle a appuyé son affirmation : « tu verras, c’est TRES relaxant, vraiment … ». D’autorité, elle m’a pris un rendez-vous au « hammam boudoir », rue St Jacques à Grenoble.

En cette mi-juillet il fait très chaud et me rendre dans un lieu encore plus chaud n’est peut être pas l’idéal !

Mais c’est trop tard, j’ai acquiescé.

De retour du boulot, je rentre rapidement pour me rafraîchir un peu. A peine rentrée, je fais valser mon petit haut par-dessus ma tête. Mon soutien gorge pigeonnant en dentelle pourpre peine à camoufler les aréoles si sensibles de ma gorge ronde et ferme. Je la libère illico et ce simple frottement en fait tressaillir les pointes. Buste et ventre nu, je dégrafe ma jupe ultra courte à volants. Ce matin, ma collègue de boulot m’a dit en riant que c’était un « scandale » de porter ça dans la rue ! Pour ne pas la contredire et la faire bisquer un peu, j’ai entamé un 360 de danseuse, lui laissant ainsi admirer la quasi-intégralité de mon popotin rebondi, à peine fendu du mince trait blanc de mon string en dentelle de Calais (très « ajouré » …).

Habituée à mes frasques, elle a rit de plus belle, mais la petite lueur qui brillait dans ses yeux ne m’a pas échappé …Ce sera à suivre …

Enjambée, la jupette rejoint le canapé de cuir rouge qui orne mon salon. Il fait meilleur ainsi vêtue dans la fournaise Grenobloise. Mes doigts agrippent les fines bandes latérales de mon string et les rabattent d’un geste sec sur mes cuisses. L’entrejambe ne suit pas. La moiteur de mon entrejambe le colle à mon sexe glabre. J’écarte un peu les jambes afin de libérer l’étroite bande de tissu chiffonné de mon entrecuisse. Il se décolle soudain, étirant légèrement mes petites lèvres lisses et trempées de sueur. J’en sursaute presque !

En le retirant de mes pieds, j’attrape du regard mon profil sur le grand miroir du salon : belle vision ! une grande brune, juchée sur ses talons hauts, Buste penché et mamelles libérées, lève haut la jambe afin de récupérer son dernier rempart. Le galbe de la fesse est arrondi par la position, les muscles des cuisses saillent et la fermeté des seins, même dans cette position, se devine sans ambiguïté. C’est moi ! Un peu d’autosatisfaction ne fait jamais de mal !…

Je me glisse sous la douche fraîche, et savoure ce moment de détente. Mes mains glissent sur mon corps, s’attardent sur ses courbes, mes doigts plongent dans la vallée, escaladent les collines, contournent des monticules et se perdent enfin sur les bords de la baignoire pour couper le flux d’eau qui cascade.

Il faut y aller. La rue St Jacques n’est qu’à quelques pas d’ici.

J’arrive devant la porte. Ou plutôt l’entrée. Le bois de la porte monumentale est finement sculpté de figurines qui s’enchevêtrent. Je toque, la porte s’ouvre seule. Je suis un long couloir surchargé de stucs maures, on se croirait à Grenade ! Tout au fond, une femme immense me sourit : 

« Vous êtes Marlène ? »,
« Oui ! »,
« Nous vous attendions ! ».
(« Nous » ???)
« Entrez … ».

Je pénètre, dans une grande salle aux hauts plafonds de marbre, tout comme les murs. Une fine musique arabe filtre de je ne sais où.

La femme immense se nomme Yasmina, elle me présent Zhora et Aïcha, les deux autres filles qui vont également s’occuper de moi. Tout ce monde est pour moi ? XXX a bien fait les choses !

Zhora est aussi petite que Yasmina est grande, mais sa poitrine détonne vraiment et distend profondément un corsage bien léger. Quant à Aicha, elle semble bien jeune et sourie béatement, sa peau est très mate mais ses yeux éclairent intensément son visage de leur bleu intense, surprenant !

« Vous pouvez vous dévêtir »,
« Heu, là ? »,
« Oui ».

Bon, s’il faut y aller allons-y… Un peu gênée, je quitte mon corsage et ma jupe. Les trois filles m’entourent toujours et ne me quittent pas des yeux. Encore plus gênée, j’ôte mon soutien gorge, me cache vaguement la poitrine et entreprend la descente de mon string assortie.

« Vous souhaitez de l’aide ? »
« Heu, non ! Ca ira »

Je me baisse rapidement et enlève le bout de tissu léger qui entoure maintenant mes chevilles et ôte mes talons au passage. Je peine un peu à les déboucler et ne rend pas compte que ma position tête en bas doit dévoiler la fente de mon postérieur, son anus épilée et la longue estafilade mauve et lisse qui plonge en dessous vers le secret de mon sexe.

Je me redresse lentement ne sachant comment m’y prendre pour affronter leur regard et leur « jugement ».

Je respire un grand coup et fais face.

Les trois filles me regardent un instant, sans un mot, parcourent des yeux les courbes de mon corps, semblant en jauger le grain, le gras, le dur ou le mou. Regard de professionnel ? J’intercepte le coup d’œil gourmand de Zhora sur la fine bande de poil noir et court qui trône au sommet de mon pubis et s’arrête net au-dessus de mon clitoris. Celui de la grande Yasmina est moins discret et plonge carrément entre mes fesses, semblant en évaluer la rondeur. Quant à Aicha, c’est mes tétons qui semblent l’attirer. Il faut dire que la situation les a stimulés et qu’ils pointent fièrement du globe blanc qui les supporte.

« Allez-y » me dit Yasmina en désignant la porte du fonds de la pièce.

Je passe devant mes trois hôtesses, ouvre la porte et m’engage dans le couloir.

La moiteur y est intense. Le couloir est long et j’avance lentement. De chaque côte d’immenses miroirs me renvoient mon profil. Les trois hôtesses me suivent. Le sol est mouillé et j’avance prudemment, ma démarche est un peu chaloupée et j’imagine sans peine le regard de mes trois voyeuses fixé sur le déhanchement voluptueux de mon postérieur.

J’arrive dans la première salle. L’eau ruisselle sur les murs et une sourde vapeur se répand lentement sous deux grandes tables de marbre blanc et lisse. L’air est saturé en eau et lourd, mais la température n’est pas si importante qu’il y paraît. L’atmosphère de cette pièce est étrangement calme et rassérénant.

« Allongez-vous sur la table »,

Je sursaute et me retourne. Les trois filles, souriantes sont également dans le plus simple appareil.. Alignées comme elles le sont, on pourrait les prendre pour des bas-reliefs de temples hindous. Yasmina est très mince et ses cuisses fuselées se perdent au creux d’un sexe parfaitement glabre et à peine fendu. A contrario, les deux autres, plus trapues, présentent de belles rondeurs aux hanches, accentuées par une grande finesse de taille. Leur poitrine est généreuse et un regard furtif sur celle d’Aicha me confirme sa grande jeunesse. Ses seins sont oblongs, en poire et presque ovales mais tiennent tout seul comme en apesanteur ! L’aréole est large et gonflée par la récente poussée hormonale. Je doute qu’elle soit majeure, il doit s’agir d’une apprentie ? Toutes deux arborent également un sexe parfaitement lisse surmonté d’un brillant au nombril. Le sexe d’Aicha est étrangement et entièrement camouflé par deux épaisses grandes-lèvres qui se rejoignent au centre de l’entrecuisse, comme un verrou de chair. Zhora, elle, dévoile d’immenses petites lèvres presque noires qui débordent largement de son sexe pratiquement dépourvu de grandes lèvres.

Yasmina a remarqué mon regard.

« Nous-autres Maghrébines, nous pratiquons depuis des centaines d’années l’épilation intégrale. Pour l’hygiène et pour le respect de la tradition et de la religion, Nous pourrons nous occuper plus tard de votre « ticket de métro » européen si vous le souhaitez : c’est l’une des fonctions millénaires de ces lieux : les soins du corps et de l’âme, loin des hommes et de leur brutalité. Allongez-vous ».

Cette fois l’ordre est clair et ne supporte pas de discussions.

Je m’allonge sur ventre.

La pierre est chaude, lisse et détrempée. Le contact est doux et agréable. Ma peau est désormais constellée de petites gouttes de sueurs chargées des toxines qui me quittent progressivement.

Ma respiration est calme, reposée, apaisée.
Je ferme les yeux.
Je suis prête.

Une première paire de main attrape mon talon gauche, remonte le long du tendon d’Achille et malaxe lentement mon mollet. Une seconde paire de main fait de même sur mon mollet droit. Je sens la troisième paire de main se poser sur ma nuque, l’envelopper lentement, redescendre vers les premières dorsales et remonter encore. La tête posée sur le menton, j’entrouvre les yeux et les lève. Je vois le brillant du nombril d’Aicha. Mon regard descend un peu parcoure le pubis lisse et dodu de la jeune fille, en apprécie le bombé sensuel et prononcé et parcours la fente fermée qui se perd entre les cuisses jointes. Son sexe est à quelques centimètres de mon nez. Elle se penche un peu pour pousser les mains dans le bas de mon dos. Je peux voir ses grandes lèvres s’écraser sur le bord de la pierre, céder sous la pression et s’écarter légèrement dans le mouvement. Les petites-lèvres apparaissent : elles sont très fines, roses et finement dentelées. A chaque mouvement elles se cachent et réapparaissent, se cachent … réapparaissent …

Plus bas sur mon corps, les quatre mains pétrissent mes cuisses, montent à la naissance du pli fessier, redescendent. A chaque mouvement la peau s’assouplie, s’étire, s’allonge. Progressivement je sens la pression s’accentuer et la peau s’étirer de plus en plus. A chaque mouvement dorénavant, mes fesses s’écartent subrepticement, mes petites-lèvres s’étirent légèrement et je sens une douce humidité gagner mon entrejambe. Mon clitoris est en érection et frotte également sur la pierre lisse à chaque vague des mains qui me pelotent.

Aicha participe également au jeu pervers. Ces mains descendent bas sur mes reins et en tirent la peau vers le haut. A chaque mouvement, mon anus se découvre un peu plus. Les deux autres synchronisent leurs mouvements et c’est maintenant tout mon anus qui s’étale à la vue de toutes. La répétition des mouvements en attise la sensibilité. Je sens ses replis s’assouplir, sa puissance se diluer. Je le sens s’entrouvrire progressivement.

Yasmina et Zhora en profitent pour me prendre les chevilles et m’écarter largement les cuisses. Je suis à leur merci. Leurs mains reviennent directement sur mes fessiers. Les doigts effleurent le périnée, l’anus et son sillon supérieur. Enrobent les muscles, les pétrissent.

Aicha pose alors un genou sur la table, me dévoilant un bref instant le spectacle admirable de sa fente rose entrouverte, pose le second et se met à quatre pattes, tête-bêche dans mon dos. Je sens son souffle descendre le long de mes reins et s’approcher de mon anneau brun. Elle a maintenant une vue parfaitement dégagée et plongeante sur mon anus. Les deux autres maintiennent fermement mes fesses écartées au maximum pour lui laisser le champ libre. Sa langue se pose alors doucement sur les muqueuses excitées de mes reins. La langue pointe, tâte les replis mauves, tournois, pénètre légèrement, ressort. Et puis, tel un pénis minuscule, la langue dure et conquérante s’enfonce d’un coup dans mon rectum…

Je sursaute relève la tête et gémis sourdement. Que c’est bon !!!.

En même temps deux mains se glissent sous mon ventre, me force à le soulever et à cambrer les reins. Plusieurs doigts prennent alors possession de mon sexe. Mes petites-lèvres délicates sont étirées, malaxées, mon clitoris est décalotté, malaxé, pincé même.

Les deux mains sur mon ventre accentuent leur pression. Aicha quitte mon dos mais pas mon anus. L’une de ses mains me malaxe langoureusement le sein droit. Me voici à quatre pattes, croupe en l’air, reins cambrée et fesses tendues, complètement abandonnée, offerte et soumise à mes bourreaux de douceur.

Par Maxime - Publié dans : Récits érotiques
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Vendredi 18 août 5 18 /08 /Août 16:18

Marlène 6 – Quatre anges dans une boite libertine.

 Tout a commencé par un pari, un coup de tête.

 Un « chiche » lancé un peu vite lors d’un dîner chez Luc et Cécile alors que j’étais accompagnée par Simon, mon compagnon.

 La soirée avait été animée et chaleureuse, le bon vin aidant, j’ai lâché ce « chiche » un peu crânement et par pure provocation.

 Luc parlait de sa curiosité de découvrir le monde des clubs libertins et se demandait s’il serait capable de lutiner d’autres femmes, ou de voir son épouse caressée par des inconnus (ou inconnues !) et jouir dans d’autres bras.

 Après quelques échanges très sages et philosophiques sur le sujet, il me lança la question fatidique « et toi ? » …

  Ce « chiche » m’a alors un peu échappé …

 « OK, chiche ! » rétorqua t il, « je propose samedi prochain :  je vais chercher un endroit adéquat ! » lança t il goguenard.

 Impossible de se dérober, même si Cécile nous lança un regard un peu horrifié, vaguement inquiet,  mais brillant d’une lueur que je ne lui connaissais pas...
...
Mais aujourd’hui, je suis au pied du mur, comme mes 3 complices. La voiture file à vive allure : nous sommes en route vers ce mystérieux endroit de luxure inconnu. Nous nous sommes parées pour l’occasion et ma copine Cécile a trouvé des perles dans sa nouvelle collection couture.
Ma robe courte et coquine en mousseline noire, fendue de toute part dans les verticales, flirte avec mon nombril découvert orné d’une perle blanche. Les couleurs des fins voiles superposés de mon haut se croisent, se mélangent, s’opposent. Pastel, rose, turquoise et parme, rouge fureur ou Orange mandarine, c’est tout un florilège printanier que déroule des matières nobles, pure soie, lin, mousseline ou coton. Pas de soutien gorge possible sous ces sept voiles orientaux, mes seins ronds et pleins, pointent bravement à travers les fines épaisseurs. A chaque mouvement mes tétons s’agacent et se dressent un bref instant, comme s’ils se préparaient au pire, ou au meilleur. Et à chaque fois un éclair sensuel me vrille le bas-ventre. Ce ventre est légèrement bombé sous ma jupe et descend rapidement vers le fin trait vertical noir sombre de mon pubis taillé avec soin. Le reste de mon sexe est parfaitement lisse, comme à mon habitude depuis les événements avec Sylvia (voir Marlène 1 - Débroussaillage). L’ensemble est à peine voilé d’un string en maille de filet de pêcheur, ce qui fait ressortir entre les mailles  les chaires de mes petites et grandes lèvres à chaque pas !  Mon clitoris, assez corpulent, s’étrangle un peu et pend presque, enserré par les fils durs tendus autours de lui. Mon sexe ressemble presque à un saucisson en mal de séchage ! Cécile m’assure que c’est ravissant et super sexy !… La pointe inférieure du sous-vêtement pénètre légèrement dans le bas de ma vulve, glisse sur le délicat espace qui la sépare de mon anus, le survol et pénètre profondément entre mes fessiers rebondis. Le fil en ressort et se sépare en deux chaînettes en or qui remontent haut sur mes hanches pour replonger vers mon pubis rebondi. J’adore mon pubis charnu, fortement proéminent et fendu très haut comme une belle pêche bien mûre. Il surprend toujours mes amants qui s’y attardent volontiers, pour mon plus grand plaisir.

Cécile n’est pas en reste, bien que plus classique avec son body blanc de fin jersey translucide qui la moule comme une seconde peau,  laissant tout deviner de ses amples seins nus en poire et aux immenses aréoles sombres. De dos, le décolleté plonge très  bas et laisse apparaître le haut de ses fesses nerveuses, un peu comme Mireille Darc dans son numéro face à Pierre Richard ! Sur sa peau nue, quelques chaînettes s’égarent en diagonale et se perdent au creux de ses reins. Elle a jeté sur ses cuisses musclées, une longue jupe de daim clair, mais fendue jusqu’à la ceinture, laissant deviner à chaque pas un splendide porte-jarretelles rose parme. Par moment on devine que son sexe est nu, mais pas tout à fait : de fines fleurs de strass brillantes sont enchâssées sur sa brune toison et ornent tout son pubis taillé en grand triangle isocèle. Il plonge ensuite à peine entre ses grandes lèvres gourmandes, parfaitement glabres, et si charnues qu’elles ne laissent pas deviner la fine couleur corail de ses petites lèvres, ni la protubérance ronde et rosée de son bouton d’amour. Contrairement à moi donc, seul un trait sombre et mystérieux, net et profond, fend en deux ce bas ventre que je connais bien.
Nos hommes sont plus classiques et nous regardent avec des yeux de pauvres hères en manque ! Il faut dire que nous y sommes allés un peu fort, sans doute. Mais il fallait marquer le coup et nos hommes nous protègeront des assauts non sollicités si nécessaire.

Nous voici arrivés. La lourde porte s’ouvre et nous entrons. La salle voûtée est grande et séparée de larges piliers de pierre. L’ambiance est douce, la lumière tamisée, une langoureuse musique de jazz entraîne déjà quelques couples à chalouper en cadence sur le parquet patiné. Après avoir laissé nos manteaux à une jeune soubrette aux seins nus et tout menus, nous nous avançons.

« Allons boire quelque chose » lance  Simon. Nous nous approchons du bar. Le serveur, pectoraux imposants et nus nous sourie et nous indique de hautes chaises. En se rapprochant, elles nous paraissent un peu bizarres : le tabouret n’est pas plat mais présente une assise en forme de demi-sphère. Nous nous asseyons tout de même, pour sursauter aussitôt !  Notre poids a déclenché le mécanisme infernal et, à peine appuyé sur le sommet de la large boule, notre sexe a été traversé d’une forte vibration ! Simon et Luc pouffent de rire : des sièges « vibromasseurs » ! Ca commence fort ! Nous nous rasseyons en riant et en savourant ces nouvelles sensations : je sens ma vulve se faire lentement masser par les sourdes vibrations qui tirent un peu les mailles du filet enserrant mon sexe et propulsent un peu plus dans le vide mon clitoris déjà bien malmené par le voyage.

 L’ambiance chauffe un peu plus avec une musique plus musclée. Les chaloupements  des danseurs se font plus rapides. Un jeune trentenaire a maintenant soulevé la robe de sa partenaire et lui malaxe consciencieusement les fesses pendant qu’il lui dévore le cou. Une grande blonde a plongé sa main droite dans l’arrière du pantalon de son beau brun, pendant que son autre main semble se perdre au niveau de ses bourses. De l’autre côté une rousse flamboyante danse seins nus et rein cambrés devant son compagnon, dont les yeux exorbités en disent long sur son état excitation

 Mon ami Luc me prend dans ses bras et m’entraîne sur la piste dans une salsa endiablée. A chaque pirouette, le tulle de ma jupe se lève largement, dévoilant sans équivoque mon intimité lisse aux yeux de l’assistance. Je sens les yeux des hommes, des femmes suivrent en cadence les mouvements de mes fesses, attraper un cliché de ma vulve congestionnée à chaque renversement de mon corps. La danse se termine enfin par une pose érotique plaquée sur l’un des piliers, jambe soulevée à la verticale.

Des applaudissements fusent, un homme s’approche et me relève en me prenant les mains. Il les lève au-dessus de ma tête et me soulève même un peu. Et soudain tout va très vite : j’entends un claquement sec. Des menottes se sont refermées sur mes poignets qui ont été accrochées à un anneau fixé dans la pierre, bien au-dessus de moi en avant du pilier. Dans le mouvement, ma courte jupe est remontée au niveau du haut de mes cuisses et dévoile intégralement mes jambes nues jusqu’au raz de ma vulve. La traction me fait cambrer et accentue l’impudeur de la position. Sans que j’aie pu réagir, l’homme m’attache sur les yeux un bandeau de soie qui me prive de la vue. Je panique un peu alors même que je sens de nouveau le contact de Luc sur mon corps. Mais dans le feu de l’action et du mouvement, est-ce bien toujours lui qui est collé à moi ?!!

 La musique baisse un peu et je sens un mouvement de foule se produire autours de moi. Manifestement je suis devenue malgré moi le clou du spectacle ! L’homme collé à moi, détache gaillardement la ceinture de ma jupe (quel toupet ce Luc !!), elle retombe rapidement au sol dévoilant les replis de mes chaires intimes marqués par les mailles du filet qui s’y enfoncent toujours profondément. Mon haut suit tout aussi rapidement le même chemin. Me voici plus que nue, pendue par un anneau au plafond voûté de cette salle, fesses cambrée. Mes seins projetés en avant pointent haut et  mes tétons saillent avec provocation.  Mes hauts talons touchent à peine le sol et mes poignets commencent à me faire mal, je vais le crier à Luc afin qu’il me libère !
Mais trop tard : le contact avec Luc a disparu et une grosse boule de caoutchouc vient de me bâillonner la bouche et je ne peux que grogner sourdement.
Une intense angoisse m’étreint brutalement. Je respire bruyamment par le nez, les yeux roulant de droite à gauche cherchant à voir, telle une jument affolée. Je sens plusieurs personnes s’approcher encore. Une première paire de mains se pose sur mon ventre, une autre sur mes épaules, une autre sur mes cuisses tendues et une autre encore sur mes fesses, alors que je sens des ongles pointus (de femmes ?) agacer lentement les tétons pointus de mes seins.

 Je suis leur jouet !
Paniquée je me débats, mais la douleur de mes poignets me calme rapidement.
Je suis contrainte de subir.
Les mains se mettent en mouvement, au rythme lancinant de la musique. Elles montent, elles descendent, caressent, pincent, empoignent mon pubis, mes seins, mes fesses ou mes cuisses. Combien sont-elles ? Dix ? Seize ? Je ne peux plus compter. Je ne suis plus qu’un poteau de chair fraîche parcouru par des dizaines de phalanges avides. Deux doigts plus habiles dégrafent le dernier rempart de ma panoplie nocturne, et mon string-filet s’effondre sur mes pieds. Il  laisse sans doute la vision de mon mont de vénus outrageusement bombé et zébré de carreaux violacés. Libérées, je sens mes longues petites lèvres s’épanouir en aile de papillon à l’extérieur de mon sexe, alors que la protubérance de mon clitoris reprend ses aises hors de sa cache, déborde de ma fente ouverte et pointe crânement en haut de ma vulve... »

…Cécile, elle,  n’a pas remarqué tout de suite la « capture » de Marlène.

 Discutant avec Simon, le bel homme de sa copine, elle riait depuis dix bonnes minutes à ses compliments. Elle sait qu’elle lui a toujours fait de l’effet, mais rien ne s’est jamais passé en présence de son mari. Celui ci s’est d’ailleurs éclipsé depuis un bon moment avec Marlène, sa danseuse préférée, comme d’habitude lorsqu’il y a de la bonne musique !
C’est lorsque celle ci s’est mise à baisser et que les gens se sont regroupés prés du pilier centrale qu’elle a vu le supplice en cours de son amie. Marlène est accrochée par les poignets au plafond de pierre, entièrement nue, bâillonnée et aveuglée. Une demi-douzaine d’hommes et de femmes la parcourent de leurs caressent. Fascinée, Cécile esquisse un geste de secours en sa direction, mais la main ferme de Simon la retient fermement en la plaquant contre lui. Les yeux braqués sur le splendide corps cambré et offert, Cécile est devenue à son tour spectateur.
Un homme attrape subitement un pied de Marlène et le pose sur l’un des tabourets du bar, la blonde aux mains baladeuses attrape le second pied et le remonte également à l’horizontale lentement. On voit les poignets de Marlène se tendre et un rictus lui traverse le visage. Heureusement que sa grande souplesse lui permet de tenir sans hurler  - comment faire de toute façon avec cette boule noire et dorénavant baveuse dans la gorge ?- Le grand écart est atteint rapidement, à froid, et un second tabouret de bar est glissé sous son pied.
Un faisceau de lumière surgit soudain de nul part et éclabousse de sa blancheur le bas ventre de Marlène.
C’est le signal. La jeune fille du vestiaire arrive alors en courant en tenant un panier d’osier. Elle l’apporte au bourreau échevelé qui officie entre les jambes de marlène.
La belle rousse dépoitraillée est accroupie devant le sexe écartelé de son amie, on distingue parfaitement les immenses petites lèvres qui pendent largement hors de la vulve distendue. Elle parcourt le ventre de ses deux mains aux doigts lourdement chargés de bagues en argent, elle flatte son pubis proéminent à plusieurs reprises, semblant en apprécier le délicieux  bombé. Chacune de ses mains reviennent à mi-cuisses et remontent lentement et simultanément vers leur centre bouillonnant. Marlène adore ça, Cécile le sait et perçoit le tressaillement de son amie. Les mains aux ongles parfaitement manucurés et vernis de noir saisissent alors les petites lèvres qui pendent hors de du sexe béant, les étirent largement vers le bas, puis sur le côté afin de dégager l’antre rouge et congestionné de son vagin et l’offrir à la vue de l’assemblée.
La tension du public est à son comble et la concentration de tous est à son paroxysme. Certains se baissent pour mieux voir.  D’autres caressent frénétiquement le sexe de leu compagne ou compagnon.
Pendant ce temps, Cécile n’a même pas senti Simon passer ses mains dans son dos et empoigner ses lourds seins oblongs, sa propre main caresse mécaniquement son pubis emperlé et s’égare entre ses muqueuses par saccades. Un troisième larron, assis par terre à côté d’elle, a glissé un bras sous sa jupe et parcours ses dentelles à pleines mains. Soudain il fait basculer sa jupe par-dessus sa tête et se glisse entre ses jambes. Il dégrafe prestement les deux pressions à l’entrejambe de son body transparent, attrape ses hanches et abaisse sèchement sa vulve humide sur sa bouche grande ouverte. Cécile se mord les lèvres en gémissant sans détacher ses yeux du spectacle, ses genoux  plient un peu plus afin de mieux sentir la bouche avide et chaude qui la fouille avec délectation. Elle manque de tomber et pour s’équilibrer s’adosse complètement sur Simon qui n’en demandait pas tant. Il sent ainsi parfaitement la pression moelleuse de ses fessiers opulents, sur son sexe raidi à l’extrême.
Sur la scène principale, la belle rousse poursuit son œuvre et extrait du panier deux pinces en acier munies de chaînettes. Elle étire de nouveau l’une des petites lèvres de Marlène et y fixe la première pince munie de caoutchouc, elle étire l’autre petite lamelle de chaire rosée pour y appliquer la seconde. Marlène trésaille de nouveau. Les mains tachetées replongent dans le panier et en exhibe deux lourds poids de plomb, qu’elle accroche aux chaînettes et qu’elle lâche. Entraînées par la masse métallique, les nymphes se tendent violemment et prennent une longueur démesurées alors que les poids frôlent le parquet en se balançant librement. Leur couleur nacrée vire rapidement au rouge puis au violet sombre. Marlène se cabre et gémit bruyamment à travers son bâillon.

 Sans attendre, son bourreau lui épingle également deux autres pinces lestées sur la pointe des seins. Violemment tirés vers le bas, les tétons lancent un éclair de douleur qui plonge instantanément vers son sexe en le contractant violemment.

 Sans lui laisser de répit, la rousse plonge alors sa main droite au creux de son sexe, elle y introduit brutalement deux doigts, puis trois. Ramène son pouce prés des autres et entame la pénétration de la main entière.

 La liqueur de Marlène bave généreusement sur les phalanges qui distendent progressivement le sombre cratère.

 Ca y est.

 Marlène sent la pointe des doigts de la rousse buter contre sa matrice alors que sa vulve se referme avidement sur son poignet. La belle entame alors un lent ballet, faisant coulisser en une lente rotation descendante et ascendante la main comprimée arrosée de ses glaires.

 Elle sent tout à coup deux grandes mains empaumer largement ses seins par derrière et un corps puissant et nu se coller à son dos. Un sexe raidi par le spectacle se présente prés de son œillet sombre et distendu par le grand écart. Il avance un peu à l’orée de sa vulve pour recueillir un peu de sa sève abondante, remonte vers l’arrière et plonge d’un coup sec dans son rectum comprimé par la main féminine plongée dans son vagin. L’anus cède immédiatement, s’évase complaisamment, s’écarte en souplesse  et avale avidement et presque sans douleur le pieu de chair dressé qui s’enfonce jusqu’à la garde. Au même instant la rousse attrape entre le pouce et l’index son clitoris gonflé qui déborde largement de sa vulve et le presse brutalement entre la pulpe de ses doigts.

 S’en est trop.

 Malgré le public, ses sens exacerbés dominent dorénavant son cerveau et provoquent une houle irrépressible de son ventre. Un énorme éclair lui traverse le corps, des pointes de pieds à la nuque. Elle se cabre à l’extrême, gémit, halète, peine à respirer, agite frénétiquement ses liens et secoue la tête de droite et de gauche. Son corps se contracte en tout sens sans contrôle et fait balancer outrageusement les poids qui lestent ses zones érogènes. Son rectum se contracte violemment sur le pénis qui lui perfore l’intestin tandis que poignet de la rousse est fébrilement pétri par les muscles tétanisés de son vagin.

 Un énorme orgasme vient de dilapider toutes les forces qui lui restaient.

 Vidée de toute velléité de résistance, elle se relâche enfin  et se laisse aller sur cette main et ce sexe, qui s’enfoncent ainsi un peu plus au fonds de ses orifices.

 Affaiblie, vaincue, sa conscience s’étiole avec sa résistance.

 Maintenant elle est vraiment à leur merci …

 

Par Maxime ZYGO - Publié dans : Récits érotiques
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Mardi 20 juin 2 20 /06 /Juin 21:35
 
Marlène 5 : Fouille au corps
 

Ce samedi matin, j’allais faire un tour en ville, tout simplement, enfin je le pensais …

J’adore bien m’habiller, mais aujourd’hui je resterai à l’aise pour marcher en ville.

J’ôte ma chemise de nuit encore nimbée de mon odeur. En la faisant voler par-dessus le canapé, j’accroche du coin de l’œil mon profil que me renvoi le grand miroir du salon. Ma peau est blanche comme du marbre et mes épaules sont couvertes d’un fin crin blond. Je baise un peu les yeux et admire un instant ma poitrine ronde et ferme. Mes seins sont bien ronds et leur aréole est d’une très grande sensibilité. Il ne faut pas grand chose pour les voir se dresser fièrement et toiser celui ou celle qui les admire avant de les déguster du bout de la langue (j’adore ! …). Plus bas, mon nombril brille de la pierre verte qui le transperce délicatement. Ce piercing m’a été offert par mon amant en titre l’an passé. Mon regard poursuit sa route et s’arrête, attendri, sur la courbe de mon ventre plat qui s’enfonce entre mes cuisses musclées. Je fais beaucoup de sport et pas mal de danse, ce qui me permet parfois des positions pour le moins acrobatiques et me procure une réputation locale bien méritée ! En me retournant, je ne peux m’empêcher de flatter du regard mon postérieur : ses deux globes parfaits sont d’une rondeur exquise, le profond sillon obscur qui les sépare est encore marqué d’un minuscule triangle encore plus pâle, témoin de la marque de mon mini-string pour plage non-naturiste, on ne peut pas rester libre et nue partout !. Il se prolonge par une paire  de longues jambes aux contours forgés par l’effort. J’aime les mettre en valeur par de beaux talons hauts qui font toujours saillir mes mollets et me cambrent magnifiquement les reins.

Mais ce matin, non, je mets un simple jean par-dessus un sage string d’un blanc immaculé, vu la fraîcheur de l’hiver je rajoute une paire de bas et descends me perdre dans les ruelles de Grenoble …

Je me suis vite retrouvée au milieu du joyeux brouhaha d’une manifestation. Pour qui, pour quoi ? Je ne sais plus, mais l’ambiance étant sympathique et bon-enfant, je suis restée à écouter les slogans et à déambuler avec eux.

Soudain des bruits de vitrine que l’on brise … des cris … des sirènes et … la police qui se déploie …

Me voila embarquée ! Cette manif était pourtant bon enfant, mais comme souvent des gens en ont profités pour casser. Et pas une vitrine de bar : une bijouterie ! Avec ma chance habituelle j'étais ou il ne faut pas et me suis fait embarquer.

Le panier à salade: nous étions compressés la-dedans, et les flics ne nous ont pas  ménagés. Puis le commissariat, les menottes,  la cellule, où nous sommes restés au moins deux heures… et puis  on nous a changés d'endroit et j'ai été mise dans une cellule a part.

Personne ne m'a rien  demandé, pas de vérification d'identité qui m'aurait permis de me justifier et sans aucun doute
de me libérer.
Apres une longue attente, deux « policières » sont entrées. Il y avait une blonde plantureuse et très blanche et une métis sèche et toute petite. La blonde avait l'air  sympa et j'ai essayé d’expliquer que je n’y étais pour rien, qu’il s’agissait d’un simple malentendu. J'ai demandé à partir.
-Tes explications, tu les gardes pour le commissaire, nous on est chargées de faire une fouille complète. Lève toi et laisse nous faire notre travail. Moins tu feras de problèmes, mieux ce sera pour toi ! OK ?!
Résignée, je me suis levée et la blonde s’est approchée de moi et a commencé à me palper les  vêtements. Elle m'avait fait mettre debout, les bras levés. Ses mains ont parcouru mon corps,  retourné les poches de mon jean. Puis elle m'a palpé au niveau de la poitrine un instant avant de me  donner l'ordre de quitter mon chemisier et d'enlever mon soutien-gorge, pour fouiller l'armature m'a  t-elle dit. Elle a ouvert les menottes et j'ai obéi sans discuter et me suis mise torse-nue comme elle l'avait exigé : la métis  suivait tous mes gestes avec minutie, en retrait devant la porte refermée derrière elle. Je lui ai  tendu mon soutien-gorge mais j'avais mis mes mains instinctivement sur mes seins, ce que n’a pas eu l'air
d'apprécier ma surveillante qui m'a ordonné sèchement de me tourner et de mettre mes mains sur  le mur, en me penchant en avant, jambes écartées. Les menottes se sont de nouveau refermées sur mes poignets douloureux  puis ont été également suspendues à un crochet présent sur le mur. J'ai obéit sans discuter et me suis mise en position, comme au cinéma, ma poitrine libre et légèrement pendante à cause de l'inclinaison de mon buste.

Je me rendais bien compte du ridicule de la situation : moi, là, appuyée et attachée au mur à moitié nue et ces deux rombières qui manifestement prenaient plaisir à m’humilier. La blonde plantureuse a posé mon soutien-gorge, elle est venue derrière moi et a continué son travail de fouille en tâtant chaque jambe par-dessus mon  jean. Ses mains enserraient mes cuisses au niveau du genou puis elles sont remontées jusqu'a mon entre-jambes, appuyant au passage sur mon pubis, ce qui me fit sursauter. Puis elles sont redescendues, ont palpé les chevilles, elle m'a fait lever une jambe, puis l'autre. J'ai été déchaussée et mes chaussures visitées.  Elle a essayé de quitter mes chaussettes, mais je portais des collants sous mon jean. Chaque  jambe a été minutieusement palpée, jusqu'au bout des pieds. Elle s'est relevée et a dit à sa  collègue qu'elle ne pouvait pas vérifier entre mes orteils à cause des collants.
- Quitte-lui son jean et ses collants ! Aboya la métis dans un rictus.
Révoltée par ces attouchements, je me suis redressée et leur ai dit d'arrêter, que c'était insultant  pour moi et dégradant :

- Je vais le quitter moi-même ce pantalon et comme ça vous verrez que je n'ai rien piqué !.
La surveillante m'a ordonné de me remettre dans la position de fouille et en me menaçant avec la  matraque et de les laisser faire leur travail. Elle m'a envoyé un coup sur les fesses sans l'appuyer.
Je me suis remise en position sans discuter.
La fouilleuse a déboutonné mon jean et a essayé de me le quitter. Comme il était serré, elle  a eu du mal et je n'osais pas l'aider. Je gardais mes mains menottées sur le mur. Elle a enfin réussi, mais  tout est venu : jean, collant et string ! J’étais devenue toute rouge de honte et la peur commençait à me gagner. Mais que voulaient-elles à la fin ?
Elle a beaucoup travaillé pour passer l'obstacle de mes fesses et je sentais ses mains sur ma peau, ses doigts frôlaient mon intimité ou se promenaient sur mes fesses pour tirer sur les vêtements.
Il a fallu que je ramène mes jambes pour lui permettre de descendre complètement mon pantalon et mes dessous.  Mais sitôt l'opération terminée, j'ai reçu l'ordre de reprendre la position, mais en me penchant davantage.

- Mais pourquoi faire bon sang ?!!!

- Tais-toi, ont fait notre travail ! Me suis-je vu répondre.
Un coup au niveau de la cheville droite, pour que je l’écarte davantage, un coup sur l’autre, voyant ma souplesse elle donna  encore un coup supplémentaire. Je me maudissais presque d’avoir fait tant de danse et de leur donner ce spectacle d’une belle blonde aux jambes très largement écartées et au sexe ouvert. Elles fouillaient méthodiquement les vêtements, les ourlets, elles ont retourné mes collants et chiffonné mon petit string transparent, en me laissant dans cette position infamante.  Mes vêtements abandonnés par-terre, j'ai reçu un léger coup sur le creux des reins avec l'ordre de me cambrer davantage. J’obtempérais.

Elles avaient maintenant une vue dégagée sur toute mon intimité. Je ne pouvais rien faire. Cuisse écartée je sentais confusément  leurs regards s’attarder sur mon dos, descendre sur mes fesses rondes et bien fermes. La position ne faisait que mieux faire saillir ma croupe dont j’étais, je le reconnais, assez fière, mais ce n’était pas le moment !  La  position devait laisser voir mon anus sombre, étroit et bien épilé qui se prolongeait par un bref intervalle de peau ultra sensible et plongeait rapidement sur mes petites lèvres glabres, fines et largement saillantes. Je sentais d’ailleurs l’air frais s’engouffrer entre elles au bord de mon vagin béant. Plus haut elles allaient débusquer un bouton d’amour tout en rondeur, proéminent à souhait et délicatement rosé. Elles découvriraient  alors l’extraordinaire protubérance de mon pubis épilé de frais, fendu comme une belle pêche d’un long et profond sillon de chair tendre et rosée… Rien, non rien ne me protégeait plus et je regrettais amèrement de m’être rendue ce matin chez Cécile, ma copine esthéticienne, dont la remplaçante m’avait convaincue de faire une « totale ».

Sans se presser, ma fouilleuse m'a alors lentement écarté les fesses ! Je me suis crispée et ai laissé s’échapper un petit cri, ce qui eu pour effet de propulser une nouvelle fois la matraque contre mes chevilles. L’écart de mes jambes s’aggrava et ouvrit naturellement les deux belles pommes de mon postérieur.

- Haiie !!!

-Tais-toi si tu ne veux pas en prendre davantage ! Me jeta la métis qui s’était approchée tout près.

Penchée sur mon postérieur, elle a admiré-je suppose- quelques instants le spectacle de mes chairs débarrassées de leurs pilosités. Elle s’est alors rapprochée de moi, a revêtu un gant de caoutchouc : j’avais compris, elle voulait voir si je ne cachais rien dans mon intimité ! Elle a passé son doigt ganté de plastique dans le sillon de mes fesses et en le suivant, a effleuré l’anus et s'est engouffrée dans mon vagin, d’un coup sec, m’arrachant une plainte.

Elle l’a alors fouillé méthodiquement et longuement, ressortant et replongeant son doigt comme si elle y prenait plaisir. J'avais fermé les yeux de honte, de la sueur perlait de mon front et j'attendais  la suite avec angoisse.
Son doigt est ressorti de mon vagin, de moins en moins sec et y replongea accompagné d’un second puis très rapidement d’un troisième.

Terrifiée, j'ai senti qu'elle m'écartait les fesses. Je sentais son souffle derrière moi.

Et cette matraque qui m'obligeait à me cambrer toujours plus. ..
La blonde s’est alors approchée à son tour, a revêtu également un gant, a appliqué une pommade sur le doigt inquisiteur et m'en a mis sur l'anus ! Mes jambes maintenant tremblaient : mais où étais-je donc tombée ?!!!
Après avoir marqué une pause à l’orée de mon fondement, elle a tranquillement appliqué son doigt sur mon œillet brun et a poussé lentement. J'ai senti son doigt me pénétrer les entrailles, il s’enfonça lentement. Il n’en finissait plus de s’enfoncer,  toujours plus profond. Enfoncé jusqu’à la garde il se replia et explora les parois de mon rectum, il ressortit et se ré-enfonça de nouveau, puis encore et encore…

-Elle n'a rien, dit la fille a genoux derrière moi en ressortant son doigt luisant.
-T'es sur ? Vérifies encore, c'est pas possible, on va être obligées de lui faire une radio !
Leur dialogue sur ma personne se faisait sans s'occuper de moi qui restais appuyée au mur, les bras tendus, les mains attachées par ces foutues menottes qui marquait mes poignets délicats d’un large sillon violet, et les reins cambrés, leur offrant toute mon intimité luisante des deux côtés.
- Refais un touché des deux cotés, cette salope l'a sûrement enfoncé loin en elle. Remet de la vaseline, comme ça, ca le fera tomber tout seul, en la faisant sauter, mais il faut bien l'ouvrir auparavant.
- Bon ok chef ! Répondit la blonde,
Et la voila qui présente à nouveau son tube de crème. Une noix sur ma vulve et une noix sur mon anus. Elle m'écarte les grandes lèvres et m'enduit la vulve de crème. Frôlant au passage au passage mon clitoris, elle m'arrache un sursaut de nouveau, mais son geste a été suffisamment doux pour m’arracher malgré moi,  une plainte qui n’est pas de douleur. Lorsque son doigt pousse a l'intérieur de mon vagin, il trouve sans doute une  humidité suspecte qui lui fait dire à sa collègue que « pour ici ça descendra tout seul ». Un second doigt rejoint alors rapidement le premier, puis un troisième et elle fait quelques aller-retours en moi et montre ses doigts enduits de crème, mais aussi de cyprine.

- il me semble que j’ai senti quelque chose susurra la blonde,

- alors fouille encore et attrape la marchandise, elle ne l’a tout de même pas mise dans l’utérus !

Un nouveau coup sur ma cheville gauche me fait descendre encore les fesses de quelques centimètres. Maintenant mon sexe baille littéralement sous la tension de mes abducteurs étirés.

La blonde reprit son inspection avec trois doigts et tenta d’introduire le pouce et l’annulaire également afin d’attraper  son paquet imaginaire.

- Ca ne rentre pas ! cria t elle,

- tu parles, elle résiste pour qu’on ne trouve pas la marchandise ! Force donc !

Je suis au supplice. Les yeux révulsés, le souffle court, je ne parviens plus à penser. Je suis trempée de sueur, mais c’est de sueur froide dont il s’agit. Et cette main qui tente de me pénétrer sans ménagement …

La blonde ressort finalement sa main qui n’a pu faire son office, elle l’inonde de la crème du tube resté au sol et l’approche de mon sexe, les doigts regroupés en pointe, en forme de missile éventreur…

La pulpe des cinq doigts me pénètre en premier, je ferme les yeux, me mord les lèvres et rejette la tête en arrière, elles sont folles elles vont me déchirer !

Les trois premières phalanges passent assez rapidement grâce à la préparation précédente. Je sens alors les têtes des métacarpiens disjoindre les lèvres fragiles, meurtrir mes muqueuses. D’un coup sec elle force le passage et englouti toute sa main jusqu’au poignet dans mon vagin brûlant.

Hébétée je jette un regard furtif à la scène obscène : de chaque côté de ma vulve martyrisée, mes grosses lèvres sont tellement écartelées qu’on ne les distingue plus au milieu de cette débauche de chair rougie. Au centre mon sexe  semble vomir  l’avant bras de la blonde planté là et dont la main disparaît dans mes entrailles.

-  Il n’y a rien ! éructe la blonde,
Sa collègue me regarde sans rien dire,

-enlève ta main de là ça doit être de l’autre côté !

La blonde retire d’un coup sa main. Mon sexe la rejette dans un bruit de bouteille que l’on ouvre. Je respire un peu mieux. Mais dans ma position, mon sexe est resté largement ouvert et mes petites lèvres, violentées par l’intrusion pendent dorénavant piteusement.

La brune s’approche de nouveau et je sens que mon calvaire n’est pas terminé. Elle écarte mes fesses pour la seconde  inspection rectale. Son doigt me pénètre avec plus de facilité que la première fois. Il m'ouvre et laisse le passage pour un deuxième. Je pleure, gémit mais sans effet. Au contraire, un troisième doigt me poignarde également l’anus et s’enfonce jusqu’à la garde. Les trois doigts ressortent lentement et je ne peux m’empêcher d’accompagner leur sortie en me cambrant et en craignant la suite. Ils sont sortis, mon anus est encore ouvert, le les sens à quelques centimètres …

Brutalement ils replongent dans mes entrailles, je sursaute en criant. Ils entament alors une série de violents aller-retour agrémentés de rotations des phalanges.

Je n’en peu plus, ma conscience s’étiole et je ne vais pas tarder à m’évanouir.
Alors je sens sa collègue qui me caresse les reins en me disant de me calmer, de me laisser aller… Sa main se promène sur mes fesses, puis descend sur mon sexe et caresse mon clitoris ! Ses doigts attrapent mes petites lèvres violacées, les étire fortement comme pour les allonger et les froissent sans ménagement. Je crie ! Sa main empoigne mon mont de vénus, si parfaitement lisse, si sensible donc et flatte sa proéminence outrageusement suggestive. Elle l’enveloppe et le masse, remonte sur mon ventre, le caresse, puis viens sur mes seins. Elle me les palpe, me caresse le corps partout… Sa collègue a cessé son touché rectal et me caresse le sexe également. Ses doigts excitent mon clitoris et malgré moi, je me laisse aller à ressentir une montée libératrice de plaisir. Elles s’en aperçoivent et intensifient leurs gestes, les mains me palpent, me caressent, les doigts m’écartent les chairs en me pénétrant à nouveau  en tout sens. Mes muqueuses largement distendues laissent passer toutes les intrusions. Je ne sais plus où je suis, ce que je fais ici mais ces quatre mains qui me parcourent sont un supplice horrible et délicieux. La matraque me caresse également la vulve de haut en bas, pivote sur elle-même dans un mouvement de rotation mécanique et s’enfonce tout à coup sèchement et sans aucune résistance jusqu’au fond de mon vagin liquide, il en ressort et se ré-enfonçe encore, en ressort de nouveau de plus en plus vite, glisse plus bas pour se poser sur l’anneau étroit de muscle qui protége mes entrailles. Il s’y engouffre alors d’un coup jusqu’à la garde, sans état d’âme …

Un violent orgasme finit par me secouer tout entière...
- regarde la cochonne, dit une des femmes, elle jouie !


Mes deux gardiennes m'on laissée là, pantelante.

Je me suis effondrée sur la paillasse et j'ai pleuré longtemps avant que le commissaire ne vienne m'interroger et ne me relâche sans autre explication que de me dire que, la prochaine fois, il vaudrait mieux que je fasse attention ou je pose les pieds quand je manifeste.

Par Maxime - Publié dans : Récits érotiques
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Mardi 14 mars 2 14 /03 /Mars 18:03

Marlène 4 – le donjon.  

 

La porte en chêne est lourdement ferrée d’énormes clous de fer brut de forge. Au-dessus de la poutre en granit qui la défend, la haute muraille grise se dessine dans le jour qui s’éteint.

 Les marches sont abruptes, glissantes et une sourde odeur de moisi me saisie à la gorge. Mes talons pointus claquent sur la pierre millénaire et lisse.

 Soudain je glisse, dérape, mes pieds s’envolent brusquement et mes mains ne peuvent amortir la chute : les liens de chanvre qui les entravent dans mon dos ne m’autorisent aucun secours. Je m’affale lourdement près des douves, sur le perron de la porte dérobée de la forteresse, ma longue robe de bure remonte jusqu’à mon ventre dans la chute et ma tête frappe fortement le bas de la porte massive.

 Sonnée, je gis là, les cuisses et tout  le reste à l’air, donnant aux quelques corbeaux présents le curieux spectacle de mon ventre nu, prolongé d’un pubis sensuellement bombé, parfaitement glabre et fendu comme une belle pêche bien mure. La position laisse deviner les dentelles écarlates de mes nymphes secrètes qui saillent hors de ma vulve écartelée par la chute. Quelques flocons de neige indiscrets s’abattent sur elles et fondent instantanément à leur contact brûlant. Je sursaute et tente de me redresser.

 La porte s’ouvre.

  Inutile de frapper plus, pour signaler ma présence, ma tête a fait le nécessaire et le bourreau m’attend. Je le sais.

 Mais qu’est ce que je fais ici ??!!!….

 Le bourreau est « une » bourreau, je le devine.

 Ma bouche à hauteur de ses pieds, je vois dépasser un long manteau de fourrure de loup qui doit être jeté sur ses épaules. Elle est chaussée de lourdes sandales de gros cuir sombre. Les orteils sont de type « grecs » avec les deux premières phalanges alignées sur le même plan. Les ongles sont minutieusement taillés en pointes et vernis de pourpre.

 Mes yeux remontent. Le mollet est galbé, musclé et s’enchâsse harmonieusement sur le genou rond et ferme. Mon menton  se redresse, le genou se prolonge par une cuisse très blanche, gironde voir un peu grasse mais interminable.

 Ma tête se redresse. Les deux cuisses se rejoignent au centre d’une fourche noire et très velue : le manteau est grand ouvert. Les poils sombres du pubis sont d’une extraordinaire longueur mais s’arrêtent nets au niveau de la vulve, comme si on avait voulu que le regard aille directement à l’essentiel : plus bas, d’immenses lèvres mauve sombre pendent largement, entrainées et distendues par deux lourds poids accrochés par un large anneau d’or pur sur chacune de leur extrémité.

 Mon cou se tend. Un ventre rond et puissant à la fois surmonte le tout et laisse apercevoir dans la perspective de contre-plongée dans laquelle je me trouve, deux énormes seins laiteux qui balancent lentement. Chacun des tétons est également transpercé d’un large anneau d’or prolongée d’une chaînette. Au bout du lien de métal, deux poids comparables aux précédents étirent outrageusement les larges aréoles brunes.

 Inutile de relever plus  mes cervicales, le masque de cuir fendu uniquement aux niveau des yeux, ne révèlent rien de l’identité du bourreau.

 Elle me ramasse d’une poigne ferme et me balance à l’intérieur comme un fétu de paille. Je m’écrase en piaillant au pied d’une immense croix de bois qui me barre la route. Tout prêt d’un immense cierge de cire brune, dont les  coulures rappellent les veines d’un immense sexe de géant

 Elle attrape mes pieds et y accroche d’autres attaches. J’entends alors un bruit de chaînes et de palans. Le crochet happe les liens de mes chevilles et la lourde machine se met en branle.

 Rapidement mes pieds sont emmenés vers le haut, mes fesses décollent, puis mon dos et vient le tour de ma tête : je suis pendu par les pieds dans le vide. Je gigote, tente de hurler, je ne vois plus rien, la robe de bure retombe sur ma tête qui en bloque la chute complète et découvre toute la nudité brute de mon corps. Mais une énorme claque sur les fesses me calme instantanément.

 J’ai signé. Il faut assumer.

 Deux poutres sont rapprochées latéralement de mes hanches et me serrent la taille, soulageant un peu la traction sur mes jambes. De nouveaux un bruit de chaîne. La traction sur mes pieds devient latérale au lieu de verticale, mes pieds, mes cuisses s’écartent, l’appui de mes hanches  sur les poutres devient plus ferme, mais l’écartement se prolonge ; je suis parti pour un grand écart maximal, la tête en bas. Heureusement que mon entraînement de danseuse n’est pas très loin ! Me voici complètement écartelée. Je sens l’air frais balayer mon sexe épilé et  distendu par la position, il s’insinue entre mes grandes  lèvres, caresses mes petites lèvres et plonge un peu dans ma vulve ouverte comme une bouche avide et carminée pour en ressortir en une caresse intime et aérienne. Au passage, mon anus se fronce et frissonne. De peur ? De jalousie ?

 Subitement une brûlure.

 On me brûle vive ! Une nouvelle brûlure me traverse le sexe, puis une autre et encore une autre !Il pleut de l’acide ?!! Les lueurs qui balancent sous la robe qui me recouvre me renseignent. De la cire chaude ! Cette garce me verse de la cire chaude sur le corps. Les gouttes brûlantes pleuvent maintenant avec intensité, tantôt sur un sein qui pend ou un téton dressé, tantôt sur mes grandes lèvres distendues ou mes fesses ouvertes. Mon cratère sans défense est épargné. Une goutte mieux orientée s’écrase sur mon clitoris et une convulsion me secoue. « « Pitié pas ça ! ». Une lourde baffe me traverse les fessiers de nouveau et je me mords les lèvres pour ne plus crier. Une autre goutte s’abat de nouveau sur mon entre-cuisse et une autre encore. Tout le haut de mon sexe est maintenant recouvert de cire brûlante qui refroidi lentement. Mon anneau brun subit à son tour le même sort et se contracte sous les assauts du liquide ardent, je gigote en tout sens, lèvres pincées en tentant d’échapper à ma punition.

 Mais j’ai signé.

 Au bout de plusieurs minutes, mon corps supplicié est recouvert d’une croûte de cire chaude et je ne me débats plus. La douleur a cédé le pas à une douce torpeur presque sensuelle. Mes tétons pointes plus que jamais, mon ventre entame des mouvements de vague à la recherche d’un contact. Je sens mon clitoris darder sa petite tète mauve et commander à mon vagin de sécréter ma liqueur d’amour.

 A ce moment je sens que l’on se rapproche de mon cratère en feu, resté intacte. Quelque chose de tiède s’y pose. S’y appuis et s’y enfonce lentement. La chose est large, très large. Les mouvements de rotation aident à la pénétration. Mes petites lèvres s’écartent démesurément et finissent par s’effacer devant le monstre qui les pourfendent dans une reptation lente mais continue.

 En quelques instants, le reste de l’immense cierge que j’avais aperçu tout à l’heure à mon arrivée, est intégralement avalé par mon ventre avide.

 Il finit par buter contre le col de mon utérus. Mon bourreau, soucieux du travail bien fait, ressort quelques peu  l’énorme godemiché et le replonge bien au fond de mon vagin béant afin de s’assurer d’une pénétration maximum. Rassurée, elle le lâche et s’écarte de moi pour revenir aussitôt. J’entends un bruit de flamme : elle allume le cierge ?!! Deux minutes plus tard, ma crainte est confirmée, la cire rendue liquide se met à dégouliner lentement et se répand sur mon entrejambe écartelé, coule sur mes grandes lèvres, déborde sur mon pubis lisse, se faufile au creux de mon nombril pour rebondir sur mon ventre et finir sa course visqueuse et tiède entre mes seins retournés.

 Vaincue, je ne bouge plus du tout. Je ne sens plus rien, même pas le froid qui mord mes pieds privés de sang par les liens de chanvre brut.

 Ma conscience s’étiole.

 « Elle est prête, Maître » s’exclame le bourreau !

 Mon supplice va maintenant vraiment commencer…     

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par Maxime - Publié dans : Récits érotiques
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Lundi 30 janvier 1 30 /01 /Jan 17:42

Marlène 3 :  Salle obscure et de luxure.

 

Sombre.

 Il fait très sombre ici et assez chaud.

 Mes bras nus reposent sur le velours décati d’un accoudoir vétuste. Mes jambes également découvertes frôlent le Skye du bas du siège sur lequel je suis assise. Mes cuisses sont protégées par une jupe serrée, très légère et par des bas très fins, retenus par un porte-jarretelles arachnéen que j’affectionne tout particulièrement. Mon string recouvre à peine de sa tulle transparente mon sexe lisse mais finement décoré d’un petit triangle pointu  brun sombre. Un triangle isocèle très court et ciselé de frais ce matin. J’ai jeté sur le tout un chemisier rose pale, largement échancré sur mes seins tout ronds qui trônent dans un push-up un peu affolant. A ma droite, mon genou touche celui de Cécile, ma meilleure amie. Comme à son habitude elle est splendide ! Sa crinière d’un roux flamboyant retombe en cascade sur ses épaules musclées et bronzées, pour replonger ensuite sur sa gorge pulpeuse. Un mini top rouge cache tant bien que mal le superbe balconnet qui propulse ses attributs à la vue de tous. Le nombril est largement apparent et découvre une superbe rubis enchâssé au fond de son nombril fendu verticalement comme un sexe de jeune vierge. Plus bas, le pantacourt taille basse- maxi est si « maxi » qu’il laisse presque à découvert un pubis dodu, parfaitement lisse, bronzé lui aussi, brillant et  bombé comme une pomme tendre. Il est facile de deviner que tout port de sous-vêtement est impossible. La trajectoire de la couture avant de son taille-basse achève de convaincre : elle pénètre assez largement entre les grandes lèvres confortables, les font saillir de chaque côté en deux bourrelets prometteurs, pour s’enfoncer encore plus loin entre ses cuisses tachetées.

A ma gauche mon genou effleure celui de Michel, son mari, un beau brun un peu ténébreux, mais d’un charme fou. Ses pectoraux m’on toujours impressionnée. Ses cuisses sont puissantes sous son pantalon de flanelle légère st son petit cul  musclé est un régal pour le regard (et parfois les mains, ou …plus) de ces dames qui ne se gênent pas pour se retourner parfois dans la rue.

Le film est un peu rasoir.

 Un peu fatiguée,  je m’affale un peu sur mon siège et ferme les yeux.

 Soudain je sens une main se poser sur moi. Instantanément je me raidis, surprise et réveillée. Je ne vois rien dans la pénombre de la salle. Mais cette main s’est posé sur mon ventre à hauteur du pubis. Vu l’orientation du poignet que je devine, il s’agit forcément de celle de Michel. Je ne bouge pas et garde les yeux fermés. La main ne bouge pas non plus, elle reste immobile, les doigts à hauteur de mon sexe. Au bout de quelques minutes je commence à en sentir la chaleur, puis la masse. Son simple poids appuie sur mon bas ventre et commence à provoquer un échauffement de mes sens. Ma respiration s’est accélérée.. Il a du s’en apercevoir : la main bouge. Remonte vers ma taille, descend lentement  la fermeture de ma jupe et s’engage dans le passage libéré. Elle repose désormais au même endroit mais seul le fin tissu de mon string me protège. Enfin manière de parler, comme pour le pantacourt de Cécile et avec les mouvements de mon corps, le tulle plonge assez profondément entre mes grandes lèvres lisses et permet aux doigts de peser directement sur le renflement glabre du capuchon de mon clitoris. Je me mords les lèvres et garde les yeux fermés, tendue et attentive.

 A cet instant un coup de théâtre se produit, une seconde main se pose, elle, sur mon genou.

 Il s’agit du genou droit ! Cécile ! La coquine me caresse lentement le genou, l’enserre dans sa paume, le malaxe lentement et entame une remontée vers l’intérieur de mes cuisses. Des frissons me parcourent. Me voici prise en tenaille entre mon amie et son mari ! La main de Cécile poursuit sa remontée en écorchant légèrement ma peau fragile de ses longues griffes toujours acérées. Elle atteint le liséré du bas, frontière de la décence et du plaisir. La sensation de cette main féminine sur la peau tendre et nue de mon entrecuisse me fait sursauter, je tente alors d’écarter un peu les jambes afin de faciliter la tâche à mon amie. La main en profite pour plonger vers ma fourche et atteindre ma vulve devenue bouillante.

 La main de Michel et de Cécile entrent en contact et s’immobilisent…

 Le temps est suspendu. Que va-t-il se passer ???

  Rapidement la main de Michel se retire de mon ventre.

  Déception.

 Mais je les sens immédiatement dans mon dos, elles sortent mon corsage de ma jupe, s’enfilent à l’intérieur et remontent dans mon dos. En une fraction de seconde mon soutien gorge dégringole et libère mes deux beaux seins ronds sous mon corsage clair. Les mains reviennent vers l’avant et dégrafent mon corsage.

 Un bouton, je sens le sillon de mes seins apparaître.

 Deuxième bouton, le galbe de ma poitrine est à nu.

 Troisième bouton, seul mes aréoles restent pudiquement voilées

 Quatrième bouton, mes seins pointent désormais  hors de leur refuge, hauts, fiers, arrogants. Les pointes se dressent et je sens un fin filet de sueur perler dans la douce vallée qui les sépare si peu.

 Le dernier bouton est défait et découvre tout le reste de mon ventre, la courbe de mes abdominaux de danseuse, mon nombril rond et profond, surmonté d’un petit piercing en forme de cœur et tout le reste  jusqu’à ma fine culotte, découverte par l’abaissement de la fermeture éclair de ma jupe.

   Pendant ce temps, la main droite de Cécile n’est pas restée inactive. Elle est redescendue au  niveau de mes genoux et, accompagnée de sa jumelle de gauche a entrepris de remonter ma jupe sur mes hanches. Je soulève au passage un peu mes fesses et me retrouve quasi nue sur le skie collant de ce siège de cinéma. La main droite de Cécile replonge alors entre mes cuisses et passe lentement son médius le long du sillon profond et détrempé de ma vulve. Il descend de haut en bas, enfonce encore un peu plus le tissu méconnaissable de mon string et plonge un peu plus loin jusqu’à la ficelle de ma dérisoire pièce de lingerie. Il remonte tout aussi lentement, s’attarde sur les bourrelets  formés par mes grandes lèvres, remonte encore vers la taille et attrape la fine attache de mon string sur mes hanches. Elle tire dessus lentement. Je soulève de nouveau mes fesses afin de permettre la chute de mon ultime rempart intime, sert un peu les cuisses, pour ne pas le déchirer. Il descend, l’élastique de mon string est maintenant presque à mi-cuisse, mais le tulle est toujours coincé entre mes grandes lèvres boursouflée par l’excitation. Le liquide que je secrète le colle irrémédiablement à mon entrejambe. Elle tire encore sur l’élastique. Mes grandes lèvres s’entrouvrent alors comme à regret et libèrent d’un  coup le tissu liquéfié dans un clapotis qui me fait honte et en dit long sur mon état.

 Pendant ce temps les mains de Michel ont pris possession de mon buste.

 Chaque sein est soigneusement caressé, soupesé, enveloppé et égratigné. Les pointes en sont taquinées sans ménagement et ont atteint leur taille maximum : elles pointent, dures, fières et appellent le baisé. La bouche de Michel se pose alors sur la pointe de mon sein gauche et provoque une houle de tout mon corps.

 Cécile en profite pour poser ses paumes sur la face interne de chacune de mes cuisses afin des écarter. Elles s’entrouvrent avec empressement  autant qu’elles le peuvent et viennent buter contre les accoudoirs. Cécile plonge immédiatement la main vers mon sexe semi-ouvert, caresse la peau enfin nue de ma vulve lisse, en suit les contours, attrape une à une chacune de mes pétales et les étire pour les faire saillir –j’ai les petites lèvres assez longues- et les faire déborder largement de mes grandes lèvres, telles deux langues rouges et avides. Puis elle plonge en leur centre, dans ce cratère carminé qui fume et s’écoule déjà sur le skie du siège en de longues traînées un peu visqueuses.

 Un doigt pénètre mon sexe et s’enfonce profondément en moi, je gémis longuement, il ressort et y retourne accompagné d’un second doigt. Ils ressortent et remontent vers le haut de ma fente. Les ongles agacent mon clitoris afin de le forcer  à se montrer. Celui gonfle alors ses joues, rougie, sort rapidement de son nid et tend le cou pour se faire câliner par la pulpe du doigt qui l’a débusqué. Deux doigts s’en saisissent et le torturent en le faisant rouler sur lui-même. Mon ventre est largement projeté en avant, je suis désormais complètement affalée sur mon siège, cuisse écartées, tremblantes, buste dépoitraillé et assailli par une langue irrésistible.

 La main droite de Michel quitte mon sein gauche et descend dans mon dos, flatte de la paume mes fesses en pommes, contractées par la tension qui m’habite et descend dans le sillon de mes fesses. Il passe au-dessus de mon anus en le touchant à peine : j’en sursaute. Descend plus bas rejoindre les doigts de sa femme, les caresses et remonte. Le majeur de Michel retrouve mon anus, mais cette fois le contact est plus doux, il est allé chercher un peu de ma cyprine pour retourne à son but. De la pulpe du doigt, il  masse doucement mon oeillet brunâtre. Iil tourne, virevolte, retourne, feint de s’enfoncer mais se ravise. Fesses tendues et n’en pouvant plus de cette torture, j’abaisse brutalement mon postérieur sur ce doigt facétieux et m’empale avec délice jusqu’à la garde.

  A quelques millimètres en avant, les doigts de Céline pétrissent fiévreusement ma vulve alors que trois de ses doigts font des aller-retours à grande vitesse dans mon vagin liquide, produisant un fort clapotis, digne d’une série X de bas étage.

 C’est à ce moment que Cécile a disparu.

 Ses mains me lâchent et je la devine se lever, mais c’est pour se glisser entre mes jambes, dos collé au siège vide de devant, comme la quasi-totalité de la salle, fort heureusement. Elle s’accroupit au milieu de mes cuisses, attrape mon mollet gauche et le projette par-dessus l’accoudoir. Mon sexe s’écarte encore un peu plus. Convaincue de ma souplesse, Cécile se saisie de mon mollet droit est l’envoi buter sur le ventre de son mari. Me voici en position de grand-écart, les fesses surélevées par les accoudoirs et l’anus et le sexe à parfaite portée de la langue de Cécile et des doigts de Michel. Qui dispose ainsi de plus de place. Il saisit l’occasion offerte pour planter un second doigt dans mon anus assouplit, tout en massant mes seins de sa main libre et en en butinant les pointes érigées.

 Cécile a enfoncé quatre de ses doigts dans mon vagin détrempé, elle retourne sa main paume vers le plafond et masse contre l’os de mon pubis la petite boule de nerfs à vif qui matérialise mon point G. De son pouce, elle pétrit fermement en cercles concentriques mon clitoris surchauffé et le presse fermement contre l’os du pubis: mon sexe est ainsi  empoigné dans une sorte de pince infernale et voluptueuse. Son mari l’imite aussitôt et insère un troisième doigt au fond de mon rectum au supplice. Sa main amorce également un terrible demi-tour et son pouce est maintenant en appuis sur le profond sillon qui sépare les belles rondeurs de mes fessiers.

 Soudain, mes jambes ne touchent plus les accoudoirs et je me sens soulevée. Les deux époux, dans une puissante traction, me soulèvent par mes orifices intimes. Les doigts profondément imbriqués au centre de mon corps me pénètrent atrocement. Mes yeux se révulsent et un cri rauque ne parvient même pas à sortir de ma gorge. J’entends un cliquetis de métal suivit d’un froissement de tissus sur ma gauche, je tourne la tête, dans la pénombre blafarde je découvre un gland violacé, surmontant une tige turgescente dressée comme un pal au-dessus du bas ventre de Michel. Les deux mains me transportent d’un demi-mètre à gauche pour positionner ma vulve écartelée par la main de Cécile au-dessus de ce pieu de chair rouge et tendue. Les deux mains abandonnent brutalement leur pénétration et je retombe sèchement sur le sexe large et brûlant qui m’attend impatiemment.

 Une décharge de douleur et de plaisir me traverse tout le bas ventre. Son sexe ressort et me pénètre de nouveau, ressort et se replante dans mon vagin affolé … Cécile pousse alors son avantage en se plaçant entre les cuisses de son mari et darde sa langue sur mon clitoris en feu, elle l’enlace en volutes ensorcelantes et le presse du plat de la langue contre ses lèvres.

 Je sens alors les puissantes mains de Michel empoigner mes hanches, me soulever encore plus haut … je retombe alors brutalement sur lui, mais c’est mon anus qui est visé. Sous la charge, le sphincter cède immédiatement. La bite gluante de ma propre mouille s’enfonce d’un coup et jusqu’à la garde dans mes reins.

 C’en est trop.

 Une onde de choc explose dans mon ventre, remonte dans mes reins, me perfore la poitrine et semble alors jaillir de la pointe de me sein vers le sombre néant du haut plafond de la salle obscure. Tous mes muscles sont tétanisés par l’intense salve de plaisir qui me secoue en longues vagues successives. L’ultime lame de  jouissance me projette en l’air en une convulsion brutale et maladive pour m’abandonner quasi-inconsciente sur le ventre de mon pourfendeur.

 Libérée de cette tension extrême qui me vrillait les reins, me voici  avachie sur les couilles de Michel,  vidées de leur liqueur.

  Molle, flasque, vaincue mais repue …

La soirée s’annonce animée …

Par Maxime - Publié dans : Récits érotiques
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Samedi 3 décembre 6 03 /12 /Déc 17:21
Marlène 2 : la main en l’air.
 
Il fait chaud et sombre.
Les vibrations sont de plus en plus intenses. Au début je n’y prêtais pas trop attention, mais depuis une heure, j’ai l’impression que tout mon corps est secoué par un énorme vibromasseur. Je sens la pointe de mes seins se durcir et mon ventre onduler imperceptiblement. Entre mes cuisses, une douce chaleur a envahi mon bas ventre, je sens les glandes de mon sexe secréter lentement ma liqueur d’amour. Bien réveillé, mon clitoris dresse son petit cou sensible hors de son capuchon et mes petites lèvres gonflées doivent peiner à le retenir !
Que faire ?
Coincée dans un avion à 11 000 m d’altitude, semi-allongée dans mon fauteuil 1ère classe, il me reste 7 heures de vol avant de retrouver mon beau brun de mari.
C’est l’été. J’ai mis un petit top rose laissant entrevoir mon adorable nombril fendu, sur une petite jupette de soie froissée blanche. Un petit string translucide vient couvrir mon pubis finement décoré d’un étroit bandeau vertical de petits poils blonds taillés raz. Mes beaux seins pointus n’ont nul besoin de soutien et tendent fièrement le coton moulant de mon haut. Mais je n’ai pas mis la couverture à notre disposition, il fait une chaleur tout à fait inhabituelle.
Cela fait plusieurs minutes que je gigote sur ma couche sans savoir que faire. Dans les mouvements, ma jupe est remontée et découvre maintenant largement mes cuisses musclées. Je n’y prête pas attention, la pénombre ambiante ne permet aucun regard. Même la belle rousse de l’autre côté du couloir qui semble dormir ne verra rien. J’admire un instant ses belles jambes tachetées que découvre une courte jupe elle aussi remontée haut.
Je me tourne et me retourne encore sur le coté droit, face au couloir. Je tente de me calmer en me décontractant par de profondes respirations.
 
C’est alors qu’elle se pose sur ma hanche.
La main. Celle de mon voisin de gauche. Pétrifiée je ne bouge plus. Mais je n’esquisse pas non plus de mouvement de retrait. Je lui tourne le dos et nous ne sommes que deux sur la rangée bâbord de cet avion. Je ne me rappelle même pas de son visage : j’ai changé de place en cours de vol et le propriétaire de cette main dormait à mon arrivée.
Mon cœur s’accélère. La main ne bouge toujours pas. S’agit-il d’un homme ? D’une femme ? Je ne sais même pas.
La main se meut lentement. Elle descend le long de ma hanche, en attaque la courbure par-dessus le tissu sur ma cuisse. Elle atteint le bas de ma jupette. Elle repose maintenant directement sur ma peau, la sienne est douce, s’il s’agit d’un homme, ce n’est certes pas un bûcheron !. La main presse ma peau  et remonte, entraînant le fin tissu de soie vers le haut.
Mes fesses sont maintenant nues, seul le fin lacet de mon string est encore un frêle rempart.
La main ne s’embarrasse guère de simagrées, elle crochète sur ma hanche le bord de mon string et le tire rapidement vers le bas. Je soulève ma hanche droite pour aider à la manœuvre. L’étoffe coincée dans l’humidité de ma fente tarde à se libérer et étire comme à regret mes petites lèvres dans un dernier sursaut de résistance.
Dans un chuintement humide, le minuscule sous-vêtement glisse le long de mes jambes et quitte mon corps impatient.
La main remonte et en profite pour me faire replier les genoux vers le ventre. Je me plie à la commande et cambre un peu plus les reins que de nature.
Me voici les fesse offertes vers ce personnage inconnu qui parcoure les douces courbures de mes fessiers d’une main sensuelle et légère. Les doigts montent et descendent le long de ma raie sans en toucher le centre, ils prolongent leur course vers mon sexe, en frôle les pétales rendus saillants par la position et reviennent ver le haut de mes reins.
Cette fois la descente est différente, ce sont les ongles que je sens. Ils gratouillent, palpent,  agacent mes chairs et se rapprochent du gouffre sombre de mes reins. Mon anneau brun se crispe instinctivement à son approche. Les ongles crissent sur les replis dénués de tout poil, tournoient, tâtent la souplesse des muqueuses plissées et brusquement s’en vont plus bas, caressent le périnée et écartent par de petits mouvements les replis inférieurs de ma vulve. Ils se glissent dans l’espace entrebâillé, plonge dans le cratère brûlant, y récolte un peu de nectar et remonte vers le gendarme embusqué encore plus haut.
Yeux fermés, mâchoires crispées je suffoque de désir. Je cambre encore plus les reins et soulève ma jambe gauche en signe de soumission.
Cette main me torture plus qu’elle ne m’apaise !
La pulpe du doigt enveloppe mon clitoris en petits mouvements secs et circulaires, le presse contre mon pubis. De violente décharges électriques me gonflent désormais le bas ventre. Je sens lors le pouce se frayer un passage entre mes pétales détrempés et s’enfoncer dans mon vagin. Les autres doigts continuent de masser mon clitoris par leurs mouvements et accentuent leur pression grâce à l’appui du pouce à l’intérieur de mon corps sur mon point G (la zone mythique existe bien, chez moi en tout cas !). Isolé du reste du monde par ces sensations inattendues, ma jambe se lève un peu plus afin de faciliter le travail de forage de cette main inconnue.
 
C’est à ce moment que la sœur jumelle de la Main qui me tenaille vient à sa rescousse. Sans ambages, l’index se presse déjà autours de mon anus lubrifié par le précédent passage. La pulpe en palpe la résistance, s’enfonce de deux ou trois millimètres, tourne ressort y retourne et plonge lentement dans mon rectum. Je pousse un peu afin de lui faciliter la tâche. Mes muqueuses obéissantes s’écartent lentement en une corolle mauve autours de ce doigt qui plonge en moi. Elles le happent goulûment en l’invitant à poursuivre son exploration au centre de mon corps. Le doigt n’en demandait pas tant et pousse son avantage en s’enfonçant jusqu’à la garde, effectue un demi-tour, ressort rapidement et replonge d’un coup. Il caresse alors de l’autre côté de la fine paroi son cousin le pouce gauche qui masse toujours puissamment de sa pulpe la boule de nerfs à vif de mon point G.
Les deux doigts entrent et sortent en cadence et produisent un doux clapotis terriblement excitant.
Ma propre main remonte sous mon petit top et attrape mon sein gauche sous le léger soutien gorge qui les protège. J’attrape le téton gonflé de sève entre le pouce et l’index et l’écrase violemment. La délicieuse douleur me fait bondir et propulse brutalement mes fesses vers l’arrière m’empalant encore plus sur le majeur qui me fouille le fondement. Interprété comme un signe, les deux doigts se retirent en même temps. Deux autres viennent les rejoindre et tentent de me perforer par mes deux orifices en même temps. Par-devant, la pénétration est instantanée et les doigts s’agitent déjà dans mon vagin distendu. Par derrière, les choses sont plus lentes. Les premières phalanges écartèlent d’abord mon anus, une profonde poussée de ma part les encourage et la main se propulse encore une phalange plus loin. C’est une lente rotation de l’ensemble qui aura raison des mes muqueuses dilatées.
Un éclair de plaisir m’explose dans le ventre, tout se brouille, ma bouche grande ouverte cherche de l’air alors que ma main martyrise mon sein de ses ongles acérés. Ma tête se renverse en arrière et exhale un vague son rauque et bestiale alors que mon corps est secoué de spasmes désordonnés. Dans un réflexe j’entrouvre les yeux comme pour apercevoir mon agresseur. Je vois alors le visage de la jolie rousse, les yeux braquées sur mon sexe à nu. Ses cuisses blanches sont entièrement découvertes par la main qui plonge dans la fourche de son sexe aux poils fournis et flamboyants Sa gorge est tendue et sa bouche s’ouvre elle aussi sur un cri inaudible.
Dans le vacarme des réacteurs, les reins cambrés et les yeux révulsés, nous jouissons ensemble…
 
Par Maxime - Publié dans : Récits érotiques
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Jeudi 1 décembre 4 01 /12 /Déc 18:50

Marlène 1 :  Débroussaillage.

 Je m’appelle Marlène.

 J’ai 26 ans et un grand appétit de la vie. Elle est trop belle pour la laisser s’envoler sans en profiter un peu. Je ne m’en prive donc pas ! Je suis toujours en éveil, prête à saisir l’instant présent. Carpe Diem ! S’il le faut, je n’hésite pas à provoquer parfois de nouvelles rencontres, à vivre de nouvelles expériences, toujours plus étonnantes, amusantes ou excitantes les unes que les autres.

   Ce vendredi matin je vais aller faire un tour chez Cécile. Ma copine esthéticienne. Dimanche je retrouve Mario, mon plus bel amant et je souhaite lui faire honneur.

 J’enfile rapidement un petit top noir à fines bretelles qui dévoile largement ma gorge (mais quelle gorge ! J’en suis fière. Je n’ai pas de soutien gorge, comme souvent car j’aime me sentir libre et à l’aise, de toute façon je ne fais pas de chichi avec ma copine Cécile. Je me débarrasse de mon jogging d’intérieur pour me glisser dans mon mini string léopard, avec son petit liseré de dentelle en plein milieu du sexe qui laisse voir ma toison brune taillée bien raz : c’est celui qu’elle m’a offert à Noël, ça lui fera plaisir ! Une jupette un peu courte dévoilera bien mes jambes et mettra en valeur mon postérieur si rond et si ferme. Quand on est belle, ce serait un péché de ne pas en faire profiter les autres ! Il fait froid en févier, mais le salon de ma copine dispose d’un parking souterrain, je ne risque pas de m’enrhumer. Et puis ça fera se tordre le cou à sa patronne qui n’arrête pas de me mater quand je viens : ça m’amusera beaucoup ! J’achève le costume par une paire de talon s hauts assortis qui affineront élégamment mon mollet.

   Arrivée  cours Berriat à Grenoble, je me gare et prend rapidement l’ascenseur pour entrer. Comme d’habitude, il fait une chaleur terrible dans ce salon !Vous me direz que c’est préférable, la tenue des professionnelles présentes est toujours très légère, comme celle de leurs clientes.  Je soupçonne même la patronne de le faire exprès afin de mieux reluquer les cuisses et les seins de ses clientes et de ses employés ! Celle là, elle est homo à fonds et ne s’en cache guère.

   C’est elle qui m’ouvre. Elle me fait entrer avec bienveillance comme à son habitude :

 -          bonjour Marlène ! Me lance-t-elle en louchant immédiatement dans mon décolleté,

  -          bonjour Lilianne répondis-je désinvolte,

J’en profite pour la taquiner en lui claquant une superbe bise sur la joue gauche, ce faisant je me colle un peu à elle en lui faisant bien sentir, sein contre sein, la fermeté de la poitrine qu’elle vient de détailler du regard.

 Elle suffoque  un peu, s’empourpre,  mais poursuit :

 -          Cécile n’est pas là aujourd’hui mais c’est notre nouvelle recrue Sylvia qui s’occupera de toi, installe-toi, elle arrive. Tu verras c’est une gentille « Italienne » très compétente ! …

 Je me dirige alors vers la luxueuse cabine. Comme d’habitude, la musique douce est déjà en route et un bâton d’encens discret se consume lentement sur la commode décorée de jade.

 L’absence de ma copine me contrarie un peu, ma tenue n’est peut être pas la plus appropriée face à une inconnue.

 D’ailleurs la voilà qui entre…

 Sylvia est petit un bout de femme de vingt-cinq ans environ, mesurant dans les un mètre soixante, ce qui devait faire son désespoir vu l’altitude des talons hauts qu’elle portait ! Elle devait être fille d'immigrés italiens, c’est courant à Grenoble,  elle avait du hériter de ses parents transalpins, de son teint mat, d’une longue et abondante chevelure d'un noir brillant, de deux merveilleux yeux vert-irisé, d’une grande bouche aux lèvres épaisses et sensuelles ; « d’une bouche parfaite pour faire des pipes », auraient dit crûment mes amis libertins,  et qui s'ouvrait sur une rangée de dents petites et brillantes. Et surtout, ce qui affligeait certainement la jeune femme, c'est que malgré sa petite taille, la nature l'avait gratifié d'une paire de seins aux mensurations imposantes, un quatre-vingt-quinze C de tour de poitrine ne passe pas inaperçu, et rare étaient les hommes qu'elle croisait qui ne devaient pas loucher avec concupiscence sur les volumineuses figures de proue qui déformaient le devant de ses corsages. Dotée d'une taille assez fine, elle possédait par contre des hanches rondes, évasées, qui donnaient naissance à une croupe bien dessinée, nerveuse, bombée, extrêmement arquée : une croupe qui, comme sa poitrine, devait attirer irrésistiblement le regard des mâles et qui se trouvait bien mise en valeur par une courte jupe noire très ajustée.

  Joyeuse et souriante, Sylvia se laisse admirer de pied en cape, consciente que la fraîcheur de sa venue nécessite un temps d’adaptation.. Nous échangeons quelques banalités et nous en venons à ce qui m’amène : l’épilation de mes jambes et du maillot afin de rendre mon corps plus doux aux mains de Mario, mon bel Italien.

 Un peu gênée, je soulève par-dessus ma tête mon petit top noir, dévoilant ainsi mes beaux seins fermes et encore bronzés de mon séjour à la Guadeloupe à Noël. L’encolure reste un peu accrochée à mon menton et ma poitrine  ballote un instant sous les yeux de Sylvia, le temps que le fin tissu glisse finalement sur la chaise de métal forgée, posée là pour accueillir mes effets. J’intercepte au passage un éclair de « quelque chose » s ‘allumer dans ses somptueux yeux émeraude. Est ce de la surprise de me voir ainsi sans soutien gorge, ou était-ce une lueur d’intérêt ? Pourtant mon modeste 90B ne peut guère rivaliser avec l’opulence de son poitrail, mais la finesse du galbe de mes seins et leur provocantes pointes tendues semblent faire leur petit effet …

 -          « C’est sans doute la natation que je pratique chaque semaine, »  répondis-je avec naturel, « on commence par les jambes et j’enlève le reste de mes vêtements après ou dois-je … » -          « Votre poitrine est superbe ! » me lance t elle gentiment,

 -          « Enlevez tout maintenant ce sera plus pratique une fois installée, » me coupe t elle immédiatement,

 Bon, il va donc bien falloir que je dévoile le cadeau de Cécile …

 Je me surprends alors à me tourner un peu pour ôter  ma jupette assortie. Je ne vais pas  jouer à la timide tout de même ! D’habitude j’adore ce moment. Devant mes partenaires, je plie légèrement les genoux, fait saillir mon postérieure  pour faire glisser lentement le tissu fluide par-dessus mes reins, cambrés par la position. La jupe balaye alors lentement ma peau avant de s’effondrer à mes pieds, tel un disciple éblouis …

 Là, je la joue plus soft, je fais glisser la fermeture d’un coup sec et récupère immédiatement l’étoffe avant qu’elle ne se trouve au sol. Je devine le regard de Sylvia qui parcourt en même temps mes fesses, ma cuisse et qui s’égard brièvement dans mon entrejambe exposé au moment où j’écarte une cuisse et soulève mon talon afin d’ôter définitivement ma jupe.

 -          « Original ce sous-vêtement ! » fit-elle mi-amusée mi-moqueuse en détaillant mon mini string léopard,

 -          « C’est à dire, que, heu !, il s’agit d’un cadeau que m’a fait ma copine Cécile que vous remplacez, je pensais lui faire plaisir en le mettant »

 -          « C’est gentil de penser ainsi à ses copines » répondit-elle, « on y va ? Allongez-vous sur ventre, on va commencer par les mollets »

 A moitié nue, je m’allonge à plat ventre sur la table de massage en skye noir. La fraîcheur du plastique me procure un petit frisson qui me rappelle celui ressenti la semaine passée, au donjon de Vizille, avec Mario. Mais c’était pour une cause plus sensuelle !

 Sylvia éclate alors de rire : « je vais vous enlever vos talons non ?! ». Je dois être un peu perturbée, je les avais oubliés !

 Sylvia délace alors les fins liens de cuirs. Je sens la paume de sa main chaude délicatement enserrer mon tibia alors que son autre main parcourt un bref instant mon mollet afin de rejoindre la chaussure et de l’ôter. De même avec l’autre jambe. Mais je me rends compte alors  que quelque chose a changé. En reposant mes jambes sur la table, Sylvia s’est débrouillée pour les écarter chacune  de 5-6 cm par rapport à leur position initiale, bien jointe. Vu l’étroitesse de la très fine bande de tissu de mon string, elle a maintenant une excellente vue sur mon postérieur, dans lequel plonge profondément le bandeau zébré. Enfin, quand je dis « bandeau », je devrais dire « ficelle » zébrée, tellement cette pièce de lingerie est « mini » !

 Je suis allongée, quasi nue, mes seins s’écrasent sur le skye froid et leur pointe durcie doivent déjà marquer le plastique. La ficelle de se maudit string s’enfonce entre mes fesses et écarte, j’en suis sur, le bas ma vulve pour s’y enfoncer en partie. Je suis certaine que c’est ce quelle voulait voir : et bien la voici servie !

 - vous vouliez également faire le « maillot » je crois non ?

 

 - et bien oui pourquoi ?

 

 

- Il faudrait faire mieux …

 

 

-  ??

 

 

- Vous savez que vous avez quelques poils qui dépassent de votre string au niveau des fesses ? Il faudrait les enlever également, c’est très inesthétique !

 

 

- Heu,…. Et bien, je ne sais pas …si vous voulez , oui, pourquoi pas,

 

 

- Retournez-vous s’il vous plait,

 

 

J’obtempère, un peu surprise, découvrant ainsi les quelques centimètres de tissu triangulaire qui me protègent de la nudité complète. Sylvia balaye du regard mon entrejambe, avance une main vers le liseré de fine dentelle léopard qui fend en deux mon pubis et esquisse une moue réprobatrice :

 

 

- là aussi il faut faire quelque chose, laisser des poils dépasser de ce sous-vêtement serait bien dommage. De plus c’est très à la mode et les hommes adorent ça.

 

 

- adorent ça quoi ?

 

 

- la « totale » !

 

 

- ??

 

 

- l’épilation totale ! On enlève tout, tout simplement, comme ça l’esthétique est parfaite et Monsieur pourra se délecter de vos trésors, une petite minette sans poil vous allez adorer !

 

 

- Mais je vais avoir l’air d’une gamine !

 

 

- Peut être, c’est justement ce qu’ils adorent ! On y va ?

 

 

- Heu … et bien, si vous voulez.

 

 

- Alors,  on va commencer par là. Je vais vous mettre une serviette humide et chaude sur le visage afin de vous détendre un peu, et maintenant laissez moi faire.

 

 

Elle pose alors sur mon visage un linge doux tiède et parfumé qui me tourne légèrement la tête et retourne vers mon bas ventre qui semble tant l’intéresser

 

 

 

 

 

Je sens ses mains glisser au long de mes jambes, lissant la peau sur les tibias, glissant autour des genoux, et déroulant leur geste jusqu'en haut de mes cuisses. Ses doigts entrent entrés en contact avec la dentelle du mini string léopard, à l'échancrure de la hanche. Elle a du se pencher un peu car je sens son souffle sur mon pubis à peine recouvert.

 

 

Un instant passe. Que fait-elle ?? Mes yeux sont couverts par la serviette délicatement parfumée et ne perçoivent plus rien. Seules mes pensées et les frôlements m’indiquent désormais ses gestes. J'ai maintenant fermé les yeux, décidée à me laisser faire et à me concentrer sur ces sensations tactiles qui sont loin de me laisser indifférente …

 

 

Peut être admire-t-elle le spectacle de plus prêt ?!! Deux pouces se glissent alors sous la minuscule dentelle africaine couvrant mes aines. Elle soulève l’ensemble et fait lentement glisser le fin tissu, découvrant progressivement mes premiers poils blonds, puis le cœur de mon mont de vénus un peu ébouriffé. Une pause. Je me surprends à retenir mon souffle. Décidément cette séance prend une drôle de tournure.

 

 

Le mouvement de descente de mon dernier rempart arachnéen se poursuit alors, mais se trouve bientôt entravé par mes fesses posées sur la couche. Les mains contournent alors mon ventre pour se faufiler sous mes pommes d’amour, les soulèvent à pleine paume, attrapent le fil de tissu,  le fait basculer jusqu’au plis de la cuisse et se repositionnent sur mon aine.

 

 

Mon string est maintenant presque ôté. Seule la fine bande de tissu de l’entrejambe est resté coincée dans ma fente déjà humide. Elle tire encore sur le tissu et je sens le petit vêtement étirer mes petites lèvres, dévoilant ainsi un bref instant un peu du cœur nacré de ma vulve, jusqu’à ce que la tension soit telle qu’elle libère d’un coup mon cache sexe de fortune, faisant jaillir mes petites lèvres oblongues hors de la cachette humide de mes grandes lèvres.

 

 

Je sens alors le string tiré vers le bas le long de mes hanches.

 

 

Bientôt, le vêtement quitte mes hanches et roule sur mes cuisses, mes mollets. Sylvia me débarrasse alors complètement des quelques grammes de dentelle qui m'entravaient encore et repose mes jambes sur le matelas en les écartant bien davantage encore que tout à l’heure, lorsque j’étais sur le ventre.

 

 

Mon esprit anticipe le contact qui va forcément se produire. Les yeux à nouveau fermés sous mon voile parfumé, j'imagine la chaleur de la cire puis la douleur de l’arrachage …

 

 

Mais ce sont les poils humides et gorgés de savon d’un blaireau qui me caressent.

 

 

- Comme vous n’êtes pas habituée, je vais plutôt procéder à un rasage, nous ferons une épilation dans les règles de l’art la prochaine fois.

 

 

Elle entreprend d'étendre la mousse sur toutes les parties de mon sexe qui sont à sa portée. Elle se rend vite compte qu'il n'y parviendra pas si facilement dans la position qu'elle m'a fait adopter, et elle dépose son petit matériel pour me soulever à nouveau les reins et poser un traversin sous mes fesses. Elle repousse mes jambes vers ma poitrine, et m'indique en me prenant les poignets, de saisir et de maintenir mes genoux avec les mains.

 

 

Je l'entendis souffler doucement. Bien sûr, ma position offre une vue parfaite sur la partie inférieure de la touffe de poils frisés, quelle n'a pas encore touchée de son blaireau, se contentant de poser la mousse tout autour. Je me sens envahie d'une curieuse sensation, un peu comme si quelques milliers de fourmis avaient soudain entrepris un pèlerinage  le long de mon pubis. J’imagine que ses yeux parcourent le profond sillon sombre qui fend en deux parties bien  charnues ma vulve qui s’échauffe maintenant de plus en plus. Ce sillon se perd un peu plus loin, au-delà du petit espace hyper sensible du périné, entre mes deux globes fessiers, au creux duquel elle doit découvrir mon œillet rectal entrouvert par la position. J’espère au moins que ma liqueur ne se devine pas encore sous la lumière chaude de la pièce…

 

 

.

 

 

- Restez comme vous êtes, ordonne-t-elle sur un ton devenu autoritaire. Vous devez vous rendre compte qu'il est moins dangereux pour votre ravissant coquillage de vous tenir tranquille. Tenez bien les jambes comme elles sont. Non, écartez les légèrement et maintenez les bien fermement. »

 

 

J'obéis, et ma peau fait entendre un léger bruit de succion en se décollant du skye du matelas.  Je commence à transpirer. Le blaireau reprend son travail directement sur mon sexe, et je dois me mordre les lèvres sous l'abominable chatouillis. Je devine brièvement l'éclair de la lame du rasoir qui s'ouvre, et elle doit être horriblement grande, brillante et terriblement annonciatrice de dégâts irrémédiables. J'ouvre la bouche et la referme finalement. Je me mords la lèvre inférieure. Pourquoi suis-je en train de laisser cette fille me faire tout cela, aux dépens de mon indépendance en matière de « décoration intime » ?...

 

 

Elle entreprend de raser très soigneusement mon pubis, en commençant par l'extérieur, là où les poils sont plus clairsemés. Elle me fait rabaisser les jambes, et je me retrouve les pieds pendant hors du lit. Elle me les fait ensuite ouvrir, et je sens  la paume de sa main libre peser sur ma hanche, tendant la peau de l'aine et dégageant bien les zones à attaquer. Je devine la lame glissant aux abords de mon ventre, en suivant la courbe selon laquelle celui-ci s'incurve en cet endroit. Elle passe à nouveau de la mousse, puis elle rase, à petits coups précis. Et elle passe d'un côté à l'autre. Elle dispose sans doute d'une serviette éponge sur laquelle elle doit essuyer régulièrement la lame du rasoir, y déposant savon et poils. D'un geste, elle me fait reprendre ma position initiale. Ainsi, comme elle me dispose, mes bras enserrant mes jambes, elle ne peut plus apercevoir qu'une infime partie de ma toison, dont la taille rétrécit à chaque coup de lame.

 

 

Lorsqu'elle parvient vers le milieu, je ne peux résister à une crispation de tout mon être.  Elle fait alors quelques bruits de langue désapprobateurs, et je tente de me laisser aller. Je sais que le rasage va petit à petit lui révéler les détails de mon intimité, et que vraisemblablement cela va l'émouvoir. J'espère qu'elle continuera de tenir fermement sa lame ! Celle-ci glisse à grands coups plus francs, là où elle est déjà passée, ramassant ici et là une boucle oubliée. Je suis troublée, toujours bien décidée à serrer jambes et fesses pour ne lui dévoiler que l'extérieur de mon pubis, gardant secrets les replis de ma vulve. Elle fait voler les derniers reliefs de ma touffe, au centre du triangle, et elle glisse sur la légère bosse signant  ma féminité, trace incurvée vers l'extérieur de ses formes internes. Je sens en sursautant un doigt reconnaître légèrement une peau enfin nue et lisse, s'assurant de la réussite de l'opération.

 

 

 

 

 

Maintenant, la courbe fine du sexe doit être complètement révélée. J’aimerais me voir avec ses yeux à elle, découvrir de l'extérieur de mon corps ces lignes que seul un miroir a jamais pu me divulguer. La position révèle certainement parfaitement le bourgeonnement de l'orifice, les plis de chair tendre protégeant le clitoris, les bords plus larges et colorés des lèvres. Je voudrais bouger, maintenant, toujours plus nue et sans défense, mais la lame demeure proche de ma chair.

 

 

« Ouvrez les jambes, et maintenez les bien. »

 

 

Je ne dois pas réagir suffisamment vite, car elle pense devoir être plus explicite.

 

 

« Ecartez les jambes en les tenant levées, il y a encore des poils plus bas... »

 

 

Autant aller jusqu'au bout. Je me laisse faire, et je sens bientôt ses doigts entre mes fesses. Elle  entreprend de raser, à nouveau tout doucement, tout au long du périnée, jusqu'à l'anus. Le froid de l'acier à cet endroit me fait littéralement frissonner.

 

 

Désormais, ainsi ouverte, ainsi dénudée et davantage que nue, je lui offre « la totale ». Elle peut plonger son regard tout du long, du pubis jusqu’à mon cul, et admirer cette longue fente, cette « bouche » comme disent certains hommes, cette longue bouche verticale qui sait si bien parler, avec ses doubles lèvres... Une bouche qui, pourtant, ne s'ouvre pas de la même manière que celle de mon visage, une bouche dont les lèvres ne s'écartent que si je décide de les faire saillir. Là, tout de suite, elle ne peut encore voir que deux lèvres closes, barrage au désir de vue totale –sans doute- qui l'a fait manier le rasoir jusqu'à ce moment précis.

 

 

Je suis le ventre nu, mais fermée. Je souris sous ma serviette qui refroidie.

 

 

- maintenant, c’est déjà mieux ! dit-elle,

 

 

Je devinais  qu’elle attendait que je lui offre un spectacle plus impudique, les lèvres  ouvertes, offrant à chacun leur intérieur, plus pâle, plus mystérieux, mais je ne veux pas lui montrer de suite toutes les couleurs de ma chair, et je sers à nouveau les jambes, convulsivement.

 

 

Elle rit :  vous savez que je vais vous « ouvrir» ?!

 

 

Elle reprend son blaireau et le rince dans le bol. Elle se met alors à le passer délicatement sur mon sexe, glissant jusqu'au petites lèvres, montant et descendant du bourgeon au périnée, allant et venant sans discontinuer. Je tente de me contracter. Elle ne m'aura pas aussi facilement, pas après ce révélateur d'acier qu'a déjà été le rasoir. Je dois garder quelque chose pour moi.

 

 

- égoïste... 

 

 

C'était sa voix, mais également une autre petite voix tout à l'intérieur de moi.

 

 

Je fonds.

 

 

Elle garde maintenant mes jambes dans le creux d'un bras, et je sens contre ma cuisse sa propre cuisse nue qui m’effleure, et elle me brosse avec minutie et délicatesse l'arête des petites lèvres et le capuchon du clitoris. Mon bouton d’amour est turgescent à éclater, je sens son volume s’amplifier et sa petite tête mauve tendre son cou avide de caresses. Je respire de plus en plus vite.

 

 

Alors, à mesure que le blaireau va et vient sur ma vulve électrisée, je sens mes fesses rouler vers l'avant et mon bassin basculer, précipitant sans retour tout mon sexe glabre vers une ouverture encore refoulée. Mes lèvres du haut se dessèchent et je les humecte de salive, et mes lèvres du bas se décollent imperceptiblement. Leur nudité parfaite doit lui montrer avec tous les détails, le plus infime de leurs mouvements. Je m'ouvre. Lentement. Implacablement. Irrésistiblement. Mes pétales vont être bientôt complètement écartés, lui offrant les corolles successives qu'elles sont censées protéger et dissimuler, les corolles pâles qui aiment tant le contact d'une langue, d'un doigt, d'une verge, et qui se plissent au seul contact d'un regard...

 

 

Je suis maintenant complètement écartée.

 

 

- encore, dit-elle …

 

 

Elle avance alors une chaise à ma gauche et une autre à ma droite, au niveau de mon bassin à un mètre de ma couche de suppliciée. Sa main attrape ma cheville gauche, et la pose sur le dossier de la première chaise. Elle enlace alors ma seconde cheville et commence à l’écarter en direction de la seconde chaise. Elle le fait lentement, consciente que ma grande souplesse, qu’elle a pressentie, l’autorise, mais que les muscles vont résister.

 

 

Ils résistent peu en définitive, le grand échauffement de tous mes sens a  été communicatif, tout mon corps et tout mon être est concentré vers le but qu’elle me fixe.

 

 

Mon grand écart est maintenant à son maximum. Je suis maintenant complètement écartelée, mon pubis parfaitement lisse et proéminent saille outrancièrement au-dessus de mon ventre creusé, mes grandes lèvres distendues par la tension de mes adducteurs ont presque disparu dans l’étirement de la position. Elles ne cachent plus rien de mes petites lèvres, un peu longues et dentelées, qui pendent à l’extérieur de ma vulve, pauvres remparts pourpres et inutiles ne pouvant plus me protéger de rien.  En leur centre, un volcan profond et mauve, découvre son cratère encore étroit. Mais je ne me retiens plus. Les muscles de mon vagin cèdent et se relâchent, mes chairs se disjoignent et préparent l’irruption imminente.

 

 

Et moi, de l'intérieur, maintenant je pousse comme pour déplier ma vulve vers l'extérieur, comme pour exhiber tous les replis de mon sexe, tous les replis de mon être aussi... Je veux renverser les rapports de l'intérieur et de l'extérieur. Mon ventre suit le rythme et mes reins commencent à se mettre en mouvement par longues ondulations. Mon sexe est désormais béant comme une bouche qui s’ouvrirait sur une verge à engloutir, et sa lave luisante remonte en spasmes magmatiques de mes entrailles, explose en jets pyroclastiques et commence à sourdre en de longues coulées visqueuses et brûlantes sur mon anus à vif et le plastique noir de la table où je suis crucifiée par l’attente.

 

 

 

 

 

Elle s’appuie plus fermement sur mes genoux.

 

 

Je m’entends murmurer...

 

 

« Viens... viens... » …

 

 

Par Maxime - Publié dans : Récits érotiques
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